A travers un partenariat avec la Corée du Sud, l'Algérie "a réussi à maîtriser les techniques de l'aquaculture moderne" et œuvrera à l'avenir à "étendre ce partenariat". A travers un partenariat avec la Corée du Sud, l'Algérie "a réussi à maîtriser les techniques de l'aquaculture moderne" et œuvrera à l'avenir à "étendre ce partenariat". A Skikda, le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, Sid Ahmed Ferroukhi, a estimé, mardi dernier, que la ferme pilote d'élevage de crevette d'El-Marsa était une "réussite", ajoutant que cette dernière, lancée il y a quatre ans, était aujourd'hui au "stade de la maturité", les chercheurs algériens qui en sont responsables ayant réussi à "relever le défi et à maîtriser les techniques aquacoles modernes". A travers un partenariat avec la Corée du Sud, l'Algérie "a réussi à maîtriser les techniques de l'aquaculture moderne" et œuvrera à l'avenir à "étendre ce partenariat", a déclaré M. Ferroukhi, soulignant que les investisseurs privés désirant se lancer dans ce créneau pourront bénéficier de l'accompagnement des cadres nationaux formés par les experts sud-coréens aux techniques de crevetticulture. Selon l'APS, le ministre a également affirmé que son département est disposé à ouvrir ce créneau aux diplômés des universités et des Instituts nationaux et à leur assurer des formations et un accompagnement lors de la phase de lancement de leurs projets dans le cadre des divers dispositifs de soutien à l'emploi de jeunes. Soutenant que l'Etat algérien est déterminé à poursuivre sa coopération avec le partenaire sud-coréen pour le développement de la pénéiculture, M. Ferroukhi, accompagné du représentant en Algérie de l'Agence coréenne de coopération internationale (KOICA), a participé à une dégustation de crevettes produites par la ferme pilote d'El-Marsa, a indiqué l'APS. La ferme pilote d'El-Marsa, qui est placée sous la tutelle du Centre national de recherche et de développement de la pêche et de l'aquaculture de Bousmaïl (Tipasa), a été lancée en mars 2009 sur une superficie de 15 hectares extensible pour un coût de 210 millions de dinars fournis par l'Algérie, en plus de 2,3 millions de dollars représentant la contribution du partenaire sud-coréen. La ferme comprend huit bassins, dont quatre réalisés par le partenaire sud-coréen et quatre par la partie algérienne, et leur production est d'environ 5 tonnes/an, précise l'APS, ajoutant qu'elle dispose également d'une écloserie capable de produire entre 20 et 30 millions de larves par an, outre une station de pompage d'eau de mer, des logements d'astreinte, une salle de conférence et un laboratoire scientifique. Fournissant aux autres fermes aquacoles dont celle d'Ouargla des larves de crevettes destinées à être engraissées, la formation est une des autres vocations de la ferme d'El-Marsa. A Skikda, le ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, Sid Ahmed Ferroukhi, a estimé, mardi dernier, que la ferme pilote d'élevage de crevette d'El-Marsa était une "réussite", ajoutant que cette dernière, lancée il y a quatre ans, était aujourd'hui au "stade de la maturité", les chercheurs algériens qui en sont responsables ayant réussi à "relever le défi et à maîtriser les techniques aquacoles modernes". A travers un partenariat avec la Corée du Sud, l'Algérie "a réussi à maîtriser les techniques de l'aquaculture moderne" et œuvrera à l'avenir à "étendre ce partenariat", a déclaré M. Ferroukhi, soulignant que les investisseurs privés désirant se lancer dans ce créneau pourront bénéficier de l'accompagnement des cadres nationaux formés par les experts sud-coréens aux techniques de crevetticulture. Selon l'APS, le ministre a également affirmé que son département est disposé à ouvrir ce créneau aux diplômés des universités et des Instituts nationaux et à leur assurer des formations et un accompagnement lors de la phase de lancement de leurs projets dans le cadre des divers dispositifs de soutien à l'emploi de jeunes. Soutenant que l'Etat algérien est déterminé à poursuivre sa coopération avec le partenaire sud-coréen pour le développement de la pénéiculture, M. Ferroukhi, accompagné du représentant en Algérie de l'Agence coréenne de coopération internationale (KOICA), a participé à une dégustation de crevettes produites par la ferme pilote d'El-Marsa, a indiqué l'APS. La ferme pilote d'El-Marsa, qui est placée sous la tutelle du Centre national de recherche et de développement de la pêche et de l'aquaculture de Bousmaïl (Tipasa), a été lancée en mars 2009 sur une superficie de 15 hectares extensible pour un coût de 210 millions de dinars fournis par l'Algérie, en plus de 2,3 millions de dollars représentant la contribution du partenaire sud-coréen. La ferme comprend huit bassins, dont quatre réalisés par le partenaire sud-coréen et quatre par la partie algérienne, et leur production est d'environ 5 tonnes/an, précise l'APS, ajoutant qu'elle dispose également d'une écloserie capable de produire entre 20 et 30 millions de larves par an, outre une station de pompage d'eau de mer, des logements d'astreinte, une salle de conférence et un laboratoire scientifique. Fournissant aux autres fermes aquacoles dont celle d'Ouargla des larves de crevettes destinées à être engraissées, la formation est une des autres vocations de la ferme d'El-Marsa.