Renault-Nissan et Mitsubishi Motors Corp ont annoncé un projet de coopération prévoyant la production par Renault de voitures Mitsubishi et le développement en commun de véhicules électriques. Mitsubishi, déjà allié de Nissan dans le cadre d'une co-entreprise, pourrait étendre celle-ci au constructeur français. La JV NMKV travaille actuellement sur un petit véhicule à vocation mondiale, qui sera proposé en version thermique et électrique. Renault-Nissan et Mitsubishi Motors Corp ont annoncé un projet de coopération prévoyant la production par Renault de voitures Mitsubishi et le développement en commun de véhicules électriques. Mitsubishi, déjà allié de Nissan dans le cadre d'une co-entreprise, pourrait étendre celle-ci au constructeur français. La JV NMKV travaille actuellement sur un petit véhicule à vocation mondiale, qui sera proposé en version thermique et électrique. "Cette collaboration vise à étendre la couverture géographique des véhicules des trois partenaires et à exploiter les capacités de production dans les usines", ont annoncé les trois groupes dans un communiqué commun. Contrairement à l'alliance forgée en 1999 entre Renault et Nissan, puis élargie en 2010 à Daimler, la coopération avec Mitsubishi ne prévoit pas de prise de participation croisée. Les trois groupes ne sont pas engagés dans des discussions pour donner une dimension capitalistique à leur partenariat, ont indiqué des porte-parole de Nissan et Mitsubishi. Dans le cadre de cette coopération élargie, nouvelle illustration du vaste mécano qui s'organise à l'échelle de l'automobile mondiale, Mitsubishi devrait commercialiser sous sa marque deux nouvelles berlines basées sur des plateformes Renault. Mitsubishi profiterait ainsi de l'assouplissement prévu des relations commerciales entre les Etats-Unis et la Corée. Le lieu de production du deuxième modèle - de taille plus compacte - fait encore l'objet de discussions, ont ajouté les trois groupes, précisant que d'autres projets pourraient, par la suite, être étudiés. "Cette collaboration vise à étendre la couverture géographique des véhicules des trois partenaires et à exploiter les capacités de production dans les usines", ont annoncé les trois groupes dans un communiqué commun. Contrairement à l'alliance forgée en 1999 entre Renault et Nissan, puis élargie en 2010 à Daimler, la coopération avec Mitsubishi ne prévoit pas de prise de participation croisée. Les trois groupes ne sont pas engagés dans des discussions pour donner une dimension capitalistique à leur partenariat, ont indiqué des porte-parole de Nissan et Mitsubishi. Dans le cadre de cette coopération élargie, nouvelle illustration du vaste mécano qui s'organise à l'échelle de l'automobile mondiale, Mitsubishi devrait commercialiser sous sa marque deux nouvelles berlines basées sur des plateformes Renault. Mitsubishi profiterait ainsi de l'assouplissement prévu des relations commerciales entre les Etats-Unis et la Corée. Le lieu de production du deuxième modèle - de taille plus compacte - fait encore l'objet de discussions, ont ajouté les trois groupes, précisant que d'autres projets pourraient, par la suite, être étudiés.