Le quota de pêche au thon rouge de l'Algérie a été reconduit pour 2014 à 243 tonnes lors de la 23e réunion de la commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique (CICTA), qui s'est achevée lundi au Cap (Afrique du Sud) avec la reconduction du quota de pêche global à 13.400 tonnes. Le quota de pêche au thon rouge de l'Algérie a été reconduit pour 2014 à 243 tonnes lors de la 23e réunion de la commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique (CICTA), qui s'est achevée lundi au Cap (Afrique du Sud) avec la reconduction du quota de pêche global à 13.400 tonnes. La délégation algérienne à cette réunion a ''lutté pour préserver les acquis, et si possible augmenter'' le quota de pêche au thon rouge, a indiqué à l'APS Mme Khazem, responsable de la communication au ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques. La Cicta, à l'issue d'une réunion ordinaire qui s'est terminée sur une avancée en matière préservation des stocks de thon rouge dans l'Atlantique et en Méditerranée, mais sur un échec quant à la protection des requins, a décidé de maintenir inchangé le quota global de pêche pour 2014 à 13.400 tonnes. ''Les quotas de thon rouge ont été à nouveau maintenus aux niveaux qui permettraient la croissance durable et le rétablissement des stocks'', précise la Cicta dans son communiqué final. La Commission, qui a confirmé que le maintien des stocks de pêche pour 2014 tient ''compte de l'avis formulé par sa communauté scientifique'', reconnaît toutefois ''le droit des Etats côtiers à capturer leurs quotas dans leurs propres eaux (...)''. Un comité scientifique avait recommandé le maintien des quotas, laissant toutefois une petite marge de négociation, alors que plusieurs gouvernements avaient exercé de fortes pressions pour les augmenter de quelque 400 tonnes (environ 3%), notamment, selon le WWF, le Japon, qui absorbe 80% du thon pêché en Méditerranée. L'Algérie a participé avec une forte délégation du ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques à cette réunion annuelle de la Cicta, qui est également suivie de très près par d'influentes ONG de protection de la nature (WWF, Pew), de lobbies et milieux d'affaires liés à l'industrie du poisson. L'objectif de la délégation algérienne à cette réunion de la Cicta, était d'arracher le plus de concessions pour ramener les quotas de pêche au niveau de celui antérieur à 2010, c'est-à-dire recouvrer le droit de pêcher l'ancien quota qui était de 680 tonnes. ''Pour nous, il s'agit de recouvrer au plus vite notre quota'', a ajouté Mme Khazem. A Agadir (Maroc) en novembre 2013, l'Algérie contre attaque et réussit à renégocier son contingent de pêche au thon, en augmentant sensiblement son quota, mais sans parvenir à le ramener à son ancien niveau de 680 tonnes. Le quota de l'Algérie pour la pêche au thon rouge en 2013 a été fixé à 143,83 (1,073 %) sur les 13.400 tonnes alloués par la Cicta, avec une allocation supplémentaire et temporaire de 100 tonnes/an au titre des années 2013 et 2014 en vue des révisions futures. "L'Algérie reçoit une allocation supplémentaire et temporaire de 100 tonnes/an pour la pêche au thon rouge au titre des années 2013 et 2014 en vue des révisions futures", avait souligné le rapport final de la 18e réunion extraordinaire de la commission, qui ajoute que "le rétablissement de la quote-part historique de l'Algérie sera considéré de manière prioritaire lors des prochaines révisions du TAC et de l'allocation". Le rapport avait mentionné que "toutes les dispositions pertinentes de la présente recommandation s'appliquent à cette allocation". La délégation algérienne à cette réunion a ''lutté pour préserver les acquis, et si possible augmenter'' le quota de pêche au thon rouge, a indiqué à l'APS Mme Khazem, responsable de la communication au ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques. La Cicta, à l'issue d'une réunion ordinaire qui s'est terminée sur une avancée en matière préservation des stocks de thon rouge dans l'Atlantique et en Méditerranée, mais sur un échec quant à la protection des requins, a décidé de maintenir inchangé le quota global de pêche pour 2014 à 13.400 tonnes. ''Les quotas de thon rouge ont été à nouveau maintenus aux niveaux qui permettraient la croissance durable et le rétablissement des stocks'', précise la Cicta dans son communiqué final. La Commission, qui a confirmé que le maintien des stocks de pêche pour 2014 tient ''compte de l'avis formulé par sa communauté scientifique'', reconnaît toutefois ''le droit des Etats côtiers à capturer leurs quotas dans leurs propres eaux (...)''. Un comité scientifique avait recommandé le maintien des quotas, laissant toutefois une petite marge de négociation, alors que plusieurs gouvernements avaient exercé de fortes pressions pour les augmenter de quelque 400 tonnes (environ 3%), notamment, selon le WWF, le Japon, qui absorbe 80% du thon pêché en Méditerranée. L'Algérie a participé avec une forte délégation du ministère de la Pêche et des Ressources halieutiques à cette réunion annuelle de la Cicta, qui est également suivie de très près par d'influentes ONG de protection de la nature (WWF, Pew), de lobbies et milieux d'affaires liés à l'industrie du poisson. L'objectif de la délégation algérienne à cette réunion de la Cicta, était d'arracher le plus de concessions pour ramener les quotas de pêche au niveau de celui antérieur à 2010, c'est-à-dire recouvrer le droit de pêcher l'ancien quota qui était de 680 tonnes. ''Pour nous, il s'agit de recouvrer au plus vite notre quota'', a ajouté Mme Khazem. A Agadir (Maroc) en novembre 2013, l'Algérie contre attaque et réussit à renégocier son contingent de pêche au thon, en augmentant sensiblement son quota, mais sans parvenir à le ramener à son ancien niveau de 680 tonnes. Le quota de l'Algérie pour la pêche au thon rouge en 2013 a été fixé à 143,83 (1,073 %) sur les 13.400 tonnes alloués par la Cicta, avec une allocation supplémentaire et temporaire de 100 tonnes/an au titre des années 2013 et 2014 en vue des révisions futures. "L'Algérie reçoit une allocation supplémentaire et temporaire de 100 tonnes/an pour la pêche au thon rouge au titre des années 2013 et 2014 en vue des révisions futures", avait souligné le rapport final de la 18e réunion extraordinaire de la commission, qui ajoute que "le rétablissement de la quote-part historique de l'Algérie sera considéré de manière prioritaire lors des prochaines révisions du TAC et de l'allocation". Le rapport avait mentionné que "toutes les dispositions pertinentes de la présente recommandation s'appliquent à cette allocation".