Le président de la Ligue du football professionnel, (LFP) Mahfoud Kerbadj, a indiqué jeudi qu'aucun des onze clubs des deux Ligues 1 et 2 interdits de recrutement lors de l'actuelle période des transferts d'hiver, n'a encore bénéficié de la levée de cette mesure. Le président de la Ligue du football professionnel, (LFP) Mahfoud Kerbadj, a indiqué jeudi qu'aucun des onze clubs des deux Ligues 1 et 2 interdits de recrutement lors de l'actuelle période des transferts d'hiver, n'a encore bénéficié de la levée de cette mesure. "La situation n'a connu aucun changement dans ce registre, en ce sens qu'aucun des onze clubs concernés n'est encore parvenu à régler ses litiges avec ses anciens joueurs", a déclaré, à l'APS, le premier responsable de la structure footballistique chargée de la gestion des championnats des deux Ligues 1 et 2. Le nouveau président du CA Bordj Bou Arréridj, Djamel Messaoudene, a assuré, il y a quelques jours, que son club sera désormais autorisé à recruter lors de l'actuel mercato après avoir régler ses litiges. "A notre niveau, rien n'est encore fait par les dirigeants du CABBA. Du coup, aucune nouvelle licence ne sera délivrée à cette équipe tant qu'elle n'a pas encore régularisé la situation financière de ses anciens joueurs ayant déposé des plaintes au niveau de la commission des litiges", a encore précisé le patron de la LFP. Quatre clubs de la Ligue 1 professionnelle de football, et sept de la Ligue 2, sont interdits de recrutement lors de la deuxième période d'enregistrement, pour n'avoir pas réglé leurs dettes avec leurs anciens joueurs, avait annoncé récemment la fédération algérienne de football (FAF) sur son site. Il s'agit du MC Oran, du CABB Arréridj, de la JSM Béjaia, du MO Béjaia (Ligue 1), et du CA Batna, de l'USM Annaba, de l'Olympique Médéa, du MSP Batna, de l'USM Bel Abbés, de l'ES Mostaganem, et de l'AS Khroub (Ligue 2), avait précisé l'instance de Mohamed Raouraoua. Outre l'interdiction de recrutement infligée à ces clubs, la FAF a souligné que d'autres sanctions sont prévues par les règlements. La LFP avait accordé à ces formations un premier délai pour régler leurs litiges. Ce délai avait expiré le 30 septembre dernier, ce qui a poussé l'instance à convoquer leurs dirigeants afin de leur adresser une dernière mise en garde avant d'appliquer la réglementation en vigueur qui prévoit, comme première sanction, une défalcation de trois points dans le classement du championnat. "La situation n'a connu aucun changement dans ce registre, en ce sens qu'aucun des onze clubs concernés n'est encore parvenu à régler ses litiges avec ses anciens joueurs", a déclaré, à l'APS, le premier responsable de la structure footballistique chargée de la gestion des championnats des deux Ligues 1 et 2. Le nouveau président du CA Bordj Bou Arréridj, Djamel Messaoudene, a assuré, il y a quelques jours, que son club sera désormais autorisé à recruter lors de l'actuel mercato après avoir régler ses litiges. "A notre niveau, rien n'est encore fait par les dirigeants du CABBA. Du coup, aucune nouvelle licence ne sera délivrée à cette équipe tant qu'elle n'a pas encore régularisé la situation financière de ses anciens joueurs ayant déposé des plaintes au niveau de la commission des litiges", a encore précisé le patron de la LFP. Quatre clubs de la Ligue 1 professionnelle de football, et sept de la Ligue 2, sont interdits de recrutement lors de la deuxième période d'enregistrement, pour n'avoir pas réglé leurs dettes avec leurs anciens joueurs, avait annoncé récemment la fédération algérienne de football (FAF) sur son site. Il s'agit du MC Oran, du CABB Arréridj, de la JSM Béjaia, du MO Béjaia (Ligue 1), et du CA Batna, de l'USM Annaba, de l'Olympique Médéa, du MSP Batna, de l'USM Bel Abbés, de l'ES Mostaganem, et de l'AS Khroub (Ligue 2), avait précisé l'instance de Mohamed Raouraoua. Outre l'interdiction de recrutement infligée à ces clubs, la FAF a souligné que d'autres sanctions sont prévues par les règlements. La LFP avait accordé à ces formations un premier délai pour régler leurs litiges. Ce délai avait expiré le 30 septembre dernier, ce qui a poussé l'instance à convoquer leurs dirigeants afin de leur adresser une dernière mise en garde avant d'appliquer la réglementation en vigueur qui prévoit, comme première sanction, une défalcation de trois points dans le classement du championnat.