L'autoroute Est-Ouest n'en finit pas de surprendre par ses aléas. Des experts italiens et canadiens, aidés d'ingénieurs algériens, concluent que le tronçon de Djebel Ouahch à Constantine va prendre du temps pour être achevé. La dernière tranche de l'autoroute devra attendre au moins un an pour être exploitée. L'autoroute Est-Ouest n'en finit pas de surprendre par ses aléas. Des experts italiens et canadiens, aidés d'ingénieurs algériens, concluent que le tronçon de Djebel Ouahch à Constantine va prendre du temps pour être achevé. La dernière tranche de l'autoroute devra attendre au moins un an pour être exploitée. Le dernier effondrement du tronçon de Djebel Ouahch il y a de cela quelques jours va être retardé dans son achèvement. Selon des sources concordantes, l'enquête diligentée par le ministère des Travaux publics avec l'apport d'experts étrangers et les ingénieurs algériens et ceux de Coojal ont abouti à un « relief compliqué et des risques qui n'ont pas été éliminés ». Le ministre des Travaux publics qui avait promis d'apporter toute la lumière sur les causes de ce glissement de terrain, a réussi le pari d'associer la partie technique dans l'enquête avec les cadres de l'entreprise de Coojal. Le même ministre avait souhaité que ce tunnel puisse être ouvert de nouveau sans trop tarder en accordant un délai supplémentaire jusqu'au mois de février ou mars. Mais, des sources avancent que ce travail n'est pas prêt d'être achevé dans les délais impartis par les autorités. Selon le constat technique du constructeur japonais, les risques sont toujours à prendre en considération dans ce genre de travaux. « On s'attend toujours à des glissements de terrain lors de ce genre de travaux, surtout que nous avons eu à faire face à plusieurs situations que nous avons pu régler lors du creusage du tunnel 1 droit, mais pour cette fois-ci, le problème est plus sérieux», affirme l'un des ingénieurs de la Cojaal. Il est à rappeler que les travaux d'excavation ont pris une cadence normale alors qu'il ne restait que 130 mètres à creuser pour achever le tunnel gauche. Cela dit, le groupe Coojal devra s'affairer vite à la besogne pour des raisons de délais. Les mesures de sécurité du tunnel ont été déjà prises pour la fermeture momentanée du tunnel. En tout état de cause, l'exploitation finale de ce tunnel ne pourra se faire qu'à partir de 2015. Contrairement à ce qui a été annoncé, il ne s'agit pas « d'un petit éboulement » selon les propos du DG de l'Agence nationale des autoroutes (AGA), encore moins d'un « phénomène naturel » selon le ministre des Travaux publics mais d'un « vrai chantier » qui devra avoir toutes les garanties techniques et les normes en vigueur pour être opérationnel. On se demande si ces travaux vont exiger de nouveaux coûts qui doivent être ajoutés aux autres dépenses ou pas ? Aucun détail sur cette question n'a filtré, laissant le doute subsister. Pour ce qui est du conflit autour du paiement des arriérés du contrat avec le groupe nippon, il est à rappeler que ces dettes ont toutes été honorées. Pour l'heure, les autorités sont arrivées à un compromis équitable avec le groupe Coojal. La parenthèse a été définitivement fermée sur ce sujet. Le dernier effondrement du tronçon de Djebel Ouahch il y a de cela quelques jours va être retardé dans son achèvement. Selon des sources concordantes, l'enquête diligentée par le ministère des Travaux publics avec l'apport d'experts étrangers et les ingénieurs algériens et ceux de Coojal ont abouti à un « relief compliqué et des risques qui n'ont pas été éliminés ». Le ministre des Travaux publics qui avait promis d'apporter toute la lumière sur les causes de ce glissement de terrain, a réussi le pari d'associer la partie technique dans l'enquête avec les cadres de l'entreprise de Coojal. Le même ministre avait souhaité que ce tunnel puisse être ouvert de nouveau sans trop tarder en accordant un délai supplémentaire jusqu'au mois de février ou mars. Mais, des sources avancent que ce travail n'est pas prêt d'être achevé dans les délais impartis par les autorités. Selon le constat technique du constructeur japonais, les risques sont toujours à prendre en considération dans ce genre de travaux. « On s'attend toujours à des glissements de terrain lors de ce genre de travaux, surtout que nous avons eu à faire face à plusieurs situations que nous avons pu régler lors du creusage du tunnel 1 droit, mais pour cette fois-ci, le problème est plus sérieux», affirme l'un des ingénieurs de la Cojaal. Il est à rappeler que les travaux d'excavation ont pris une cadence normale alors qu'il ne restait que 130 mètres à creuser pour achever le tunnel gauche. Cela dit, le groupe Coojal devra s'affairer vite à la besogne pour des raisons de délais. Les mesures de sécurité du tunnel ont été déjà prises pour la fermeture momentanée du tunnel. En tout état de cause, l'exploitation finale de ce tunnel ne pourra se faire qu'à partir de 2015. Contrairement à ce qui a été annoncé, il ne s'agit pas « d'un petit éboulement » selon les propos du DG de l'Agence nationale des autoroutes (AGA), encore moins d'un « phénomène naturel » selon le ministre des Travaux publics mais d'un « vrai chantier » qui devra avoir toutes les garanties techniques et les normes en vigueur pour être opérationnel. On se demande si ces travaux vont exiger de nouveaux coûts qui doivent être ajoutés aux autres dépenses ou pas ? Aucun détail sur cette question n'a filtré, laissant le doute subsister. Pour ce qui est du conflit autour du paiement des arriérés du contrat avec le groupe nippon, il est à rappeler que ces dettes ont toutes été honorées. Pour l'heure, les autorités sont arrivées à un compromis équitable avec le groupe Coojal. La parenthèse a été définitivement fermée sur ce sujet.