Les opérateurs économiques doivent comprendre que la Bourse constitue un moyen de financement au service du développement de leurs entreprises, a affirmé le directeur général de la Bourse d'Alger, Yazid Benmouhoub. Les opérateurs économiques doivent comprendre que la Bourse constitue un moyen de financement au service du développement de leurs entreprises, a affirmé le directeur général de la Bourse d'Alger, Yazid Benmouhoub. Intervenant au cours d'une journée régionale d'information sur "Le financement des entreprises via la Bourse", organisée à l'Institut de formation professionnelle (IFP), il a souligné "l'opportunité, en cas de réelle volonté de moderniser l'entreprise économique algérienne et de construire une économie vivante et solide, d'opter pour un financement autre que ceux classiques". Pour Benmouhoub, la globalisation et la nécessaire ouverture de l'économie nationale ont imposé "une compétition féroce" à l'entreprise qui doit se mettre à niveau et améliorer sa gouvernance et son mode de gestion pour se développer et assurer sa pérennité. L'introduction de l'entreprise en bourse lui donne accès aux sources de financement nécessaires à son évolution, a encore insisté le directeur général de la Bourse d'Alger, soulignant que la rentabilité des actions de la Bourse oscillent entre 7 et 10%. La bourse offre également à l'entreprise, a-t-il noté, un service d'audit qui lui permet de connaître ses insuffisances et de les corriger. L'ambition de la Bourse d'Alger est de se hisser au niveau des bourses régionales performantes. Belkacem Betouche, directeur-adjoint des études à la Bourse d'Alger, a insisté, de son côté, sur les "avantages accordés par la loi de finances 2014 aux entreprises cotées en bourse, dont la possibilité de multiplier leurs sources de financement, de bénéficier d'exonérations fiscales et/ou d'allègements d'impôts". Il a également estimé que la cotation en bourse "assure la survie de l'entreprise et lui donne un nouvel élan". Rafik Boussa, promoteur en bourse, a inscrit la rencontre dans le cadre de la stratégie de la Bourse d'Alger visant à ouvrir un nouveau marché pour les PME soucieuses de se développer et d'accroitre leurs activités et leurs performances. La rencontre a réuni des opérateurs affiliés aux chambres de commerce et d'industrie des wilayas de Sétif, Bordj Bou Arreridj, Mila, Batna, Constantine, M'sila, Béjaïa et de Jijel. Elle fait suite au 1er séminaire organisé le 21 décembre dernier à Oran. Intervenant au cours d'une journée régionale d'information sur "Le financement des entreprises via la Bourse", organisée à l'Institut de formation professionnelle (IFP), il a souligné "l'opportunité, en cas de réelle volonté de moderniser l'entreprise économique algérienne et de construire une économie vivante et solide, d'opter pour un financement autre que ceux classiques". Pour Benmouhoub, la globalisation et la nécessaire ouverture de l'économie nationale ont imposé "une compétition féroce" à l'entreprise qui doit se mettre à niveau et améliorer sa gouvernance et son mode de gestion pour se développer et assurer sa pérennité. L'introduction de l'entreprise en bourse lui donne accès aux sources de financement nécessaires à son évolution, a encore insisté le directeur général de la Bourse d'Alger, soulignant que la rentabilité des actions de la Bourse oscillent entre 7 et 10%. La bourse offre également à l'entreprise, a-t-il noté, un service d'audit qui lui permet de connaître ses insuffisances et de les corriger. L'ambition de la Bourse d'Alger est de se hisser au niveau des bourses régionales performantes. Belkacem Betouche, directeur-adjoint des études à la Bourse d'Alger, a insisté, de son côté, sur les "avantages accordés par la loi de finances 2014 aux entreprises cotées en bourse, dont la possibilité de multiplier leurs sources de financement, de bénéficier d'exonérations fiscales et/ou d'allègements d'impôts". Il a également estimé que la cotation en bourse "assure la survie de l'entreprise et lui donne un nouvel élan". Rafik Boussa, promoteur en bourse, a inscrit la rencontre dans le cadre de la stratégie de la Bourse d'Alger visant à ouvrir un nouveau marché pour les PME soucieuses de se développer et d'accroitre leurs activités et leurs performances. La rencontre a réuni des opérateurs affiliés aux chambres de commerce et d'industrie des wilayas de Sétif, Bordj Bou Arreridj, Mila, Batna, Constantine, M'sila, Béjaïa et de Jijel. Elle fait suite au 1er séminaire organisé le 21 décembre dernier à Oran.