Comme il fallait s'y attendre, la crise de logements qui secoue depuis plusieurs années la commune de Legata à une vingtaine de kms à l'est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, a fait sortir les habitants de cette bourgade dans la rue. Des dizaines de citoyens ont fermé, hier, l'axe routier Legata-Bordj Ménaïel-Zemmouri, pour réclamer des logements sociaux. Comme il fallait s'y attendre, la crise de logements qui secoue depuis plusieurs années la commune de Legata à une vingtaine de kms à l'est du chef-lieu de la wilaya de Boumerdès, a fait sortir les habitants de cette bourgade dans la rue. Des dizaines de citoyens ont fermé, hier, l'axe routier Legata-Bordj Ménaïel-Zemmouri, pour réclamer des logements sociaux. Cette crise est enfantée, selon un élu à l'APC, par le blocage du programme d'auto-construction dans le cadre du FONAL. Le quota d'aide à la construction rural accuse des retards considérables en raison de la nature du foncier où la plupart des terrains sont dans l'indivision et que certains propriétaires sont décédés depuis plusieurs années. De ce fait, plusieurs dossiers ne sont toujours pas validés et les éventuels souscripteurs ont perdu toute patience de voir réaliser un jour leur habitation. Le retard mis dans la réalisation des programmes de construction de logements a fait perdre également espoir aux demandeurs de logements sociaux dont le nombre s'accroît de jour en jour alors que l'APC n'est pas en mesure de satisfaire les besoins des citoyens. Selon notre interlocuteur, pas moins de 800 logements sociaux ne sont pas lancés alors que les demandes pullulent. D'autres projets, notamment celui des 100 logements attribués dans le cadre de la Résorption de l'habitat précaire (RHP) accusent d'énormes retards en raison de la défaillance des entreprises retenues pour leur construction. Outre cela, notre interlocuteur a précisé que les oppositions enregistrées lors des choix de terrain, constituent un frein pour le développement local. Une délégation de manifestants, a été reçue par le P/APC afin de trouver une solution aux problèmes exposés par les citoyens. La semaine, écoulée, à titre de rappel, les habitants du village Ouled Ziane, toujours dans la même localité, ont fermé le siège de l'APC pour réclamer le revêtement de la route de village et son raccordement au réseau d'assainissement ainsi que la réalisation d'éclairage public. Cette crise est enfantée, selon un élu à l'APC, par le blocage du programme d'auto-construction dans le cadre du FONAL. Le quota d'aide à la construction rural accuse des retards considérables en raison de la nature du foncier où la plupart des terrains sont dans l'indivision et que certains propriétaires sont décédés depuis plusieurs années. De ce fait, plusieurs dossiers ne sont toujours pas validés et les éventuels souscripteurs ont perdu toute patience de voir réaliser un jour leur habitation. Le retard mis dans la réalisation des programmes de construction de logements a fait perdre également espoir aux demandeurs de logements sociaux dont le nombre s'accroît de jour en jour alors que l'APC n'est pas en mesure de satisfaire les besoins des citoyens. Selon notre interlocuteur, pas moins de 800 logements sociaux ne sont pas lancés alors que les demandes pullulent. D'autres projets, notamment celui des 100 logements attribués dans le cadre de la Résorption de l'habitat précaire (RHP) accusent d'énormes retards en raison de la défaillance des entreprises retenues pour leur construction. Outre cela, notre interlocuteur a précisé que les oppositions enregistrées lors des choix de terrain, constituent un frein pour le développement local. Une délégation de manifestants, a été reçue par le P/APC afin de trouver une solution aux problèmes exposés par les citoyens. La semaine, écoulée, à titre de rappel, les habitants du village Ouled Ziane, toujours dans la même localité, ont fermé le siège de l'APC pour réclamer le revêtement de la route de village et son raccordement au réseau d'assainissement ainsi que la réalisation d'éclairage public.