La première édition des "Rencontres Abdelkader Alloula" a pris fin samedi à Oran après trois journées d'activités qui ont constitué un creuset de formation pour les jeunes troupes théâtrales. "Cette rencontre a permis aux troupes participantes de mieux connaître les implications théoriques et pratiques d'Alloula", s'est félicité Azri Ghaouti, le directeur du Théâtre régional d'Oran. La première édition des "Rencontres Abdelkader Alloula" a pris fin samedi à Oran après trois journées d'activités qui ont constitué un creuset de formation pour les jeunes troupes théâtrales. "Cette rencontre a permis aux troupes participantes de mieux connaître les implications théoriques et pratiques d'Alloula", s'est félicité Azri Ghaouti, le directeur du Théâtre régional d'Oran. "Les jeunes artistes, qui se sont produits sur scène avec des reprises de certaines pièces du regretté dramaturge, ont pu s'imprégner des conclusions tirées de son travail, notamment lors des débats ayant suivi leurs prestations", a expliqué M. Azri en marge de la cérémonie de clôture. D'un autre côté, a-t-il souligné, les témoignages livrés lors de cette édition par les compagnons de cette figure emblématique du 4ème Art algérien, ont également permis de révéler à ces talents en herbe "la valeur humaniste de Alloula qui était toujours à l'écoute de son prochain et vouait un grand amour, une abnégation sans faille aux enfants malades du cancer". "L'intérêt des jeunes générations pour l'œuvre d'Alloula constitue un précieux indicateur de la valeur de son travail qui demeure toujours d'actualité, et appelle encore à la réflexion et à de nouvelles approches analytiques", a observé M. Azri. La nécessité de pérenniser ces "Rencontres" dédiées à Alloula a été également mise en avant par plusieurs artistes ayant connu l'auteur de la célèbre trilogie "Legoual, Lejouad et Lithem", à l'instar de M. Azri. A ce titre, les comédiens Mohamed Adar et Abdelkader Belkaid ont, en substance, insisté sur le fait que ces rencontres aient mis en lumière "à la fois le génie créatif et les techniques scéniques de Alloula qui peuvent servir de référence pour les jeunes talents". Pour le dramaturge Mourad Senouci, la reprise des œuvres d'Alloula par de jeunes troupes amatrices est "une initiative encourageante, car cela permet de revisiter son travail avec un nouveau regard qui ne peut être qu'objectif, puisque ces artistes ne connaissent le défunt que par la richesse de son legs". Cette première édition des "Rencontres Abdelkader Alloula" a été initiée, pour rappel, dans le cadre de la commémoration de la 20e année de la disparition tragique du défunt, sous le thème générique "Alloula, 20 ans après... Quel impact dans l'activité théâtrale et artistique d'aujourd'hui ?" Cinq pièces théâtrales, jouées par des troupes évoluant dans différentes wilayas du pays, ont été proposées lors de cet événement organisé par la Fondation Abdelkader Alloula en partenariat avec le Théâtre régional d'Oran. Une table ronde regroupant plusieurs chercheurs, des concerts de musique, des expositions photos et des projections de films figuraient également au menu de cette édition marquée, en outre, par la pose d'une plaque commémorative en hommage au défunt et une cérémonie de recueillement sur sa tombe au cimetière d'Aïn El-Beida. "Les jeunes artistes, qui se sont produits sur scène avec des reprises de certaines pièces du regretté dramaturge, ont pu s'imprégner des conclusions tirées de son travail, notamment lors des débats ayant suivi leurs prestations", a expliqué M. Azri en marge de la cérémonie de clôture. D'un autre côté, a-t-il souligné, les témoignages livrés lors de cette édition par les compagnons de cette figure emblématique du 4ème Art algérien, ont également permis de révéler à ces talents en herbe "la valeur humaniste de Alloula qui était toujours à l'écoute de son prochain et vouait un grand amour, une abnégation sans faille aux enfants malades du cancer". "L'intérêt des jeunes générations pour l'œuvre d'Alloula constitue un précieux indicateur de la valeur de son travail qui demeure toujours d'actualité, et appelle encore à la réflexion et à de nouvelles approches analytiques", a observé M. Azri. La nécessité de pérenniser ces "Rencontres" dédiées à Alloula a été également mise en avant par plusieurs artistes ayant connu l'auteur de la célèbre trilogie "Legoual, Lejouad et Lithem", à l'instar de M. Azri. A ce titre, les comédiens Mohamed Adar et Abdelkader Belkaid ont, en substance, insisté sur le fait que ces rencontres aient mis en lumière "à la fois le génie créatif et les techniques scéniques de Alloula qui peuvent servir de référence pour les jeunes talents". Pour le dramaturge Mourad Senouci, la reprise des œuvres d'Alloula par de jeunes troupes amatrices est "une initiative encourageante, car cela permet de revisiter son travail avec un nouveau regard qui ne peut être qu'objectif, puisque ces artistes ne connaissent le défunt que par la richesse de son legs". Cette première édition des "Rencontres Abdelkader Alloula" a été initiée, pour rappel, dans le cadre de la commémoration de la 20e année de la disparition tragique du défunt, sous le thème générique "Alloula, 20 ans après... Quel impact dans l'activité théâtrale et artistique d'aujourd'hui ?" Cinq pièces théâtrales, jouées par des troupes évoluant dans différentes wilayas du pays, ont été proposées lors de cet événement organisé par la Fondation Abdelkader Alloula en partenariat avec le Théâtre régional d'Oran. Une table ronde regroupant plusieurs chercheurs, des concerts de musique, des expositions photos et des projections de films figuraient également au menu de cette édition marquée, en outre, par la pose d'une plaque commémorative en hommage au défunt et une cérémonie de recueillement sur sa tombe au cimetière d'Aïn El-Beida.