L'Algérie a été officiellement élue, lors des réunions des institutions financières arabes qui se sont tenues à Tunis, à la tête du Conseil des ministres arabes des finances pour la période 2014-2015. Le Conseil des ministres arabes des Finances a été institué à l'occasion du sommet économique arabe tenu au Koweït en 2009. L'Algérie a été officiellement élue, lors des réunions des institutions financières arabes qui se sont tenues à Tunis, à la tête du Conseil des ministres arabes des finances pour la période 2014-2015. Le Conseil des ministres arabes des Finances a été institué à l'occasion du sommet économique arabe tenu au Koweït en 2009. Les économies des Etats arabes ont supporté, à des degrés différents, les répercussions de la crise financière mondiale, outre l'envolée effrénée des prix des produits alimentaires sur les marchés internationaux, a précisé le ministre des Finances, Karim Djoudi, lors de son intervention en sa qualité de président de la 5e session du Conseil des ministres arabes des Finances. Ces défis exigent davantage d'efforts de la part des pays arabes à la lumière de la consolidation du processus de réforme économique et financière de manière à soutenir les équilibres financiers et la stabilité, à réaliser la croissance économique globale et durable, à générer l'emploi productif et améliorer la compétitivité, a-t-il encore fait remarquer. Par ailleurs, Karim Djoudi a participé à la 4e session du Conseil de supervision du compte spécial pour le financement des projets relatifs aux PME privées dans les pays arabes. Le Conseil de supervision du Compte Spécial a été créé lors du sommet économique arabe tenue au Koweït en 2009 dans l'objectif de soutenir financièrement et techniquement les PME. Le ministre des Finances a eu, en marge de cette rencontre, des entretiens avec ses homologues arabes ayant permis d'échanger les vues sur la situation économique mondiale. Les entretiens ont également porté sur les moyens à même de consolider la coopération interarabe dans les domaines économique et financier. Il a, en outre, reçu plusieurs responsables d'institutions financières arabes qui se sont dit "satisfaits" du niveau des relations entre l'Algérie et ces institutions bien que l'Algérie n'ait pas eu recours à l'endettement extérieur. Les économies des Etats arabes ont supporté, à des degrés différents, les répercussions de la crise financière mondiale, outre l'envolée effrénée des prix des produits alimentaires sur les marchés internationaux, a précisé le ministre des Finances, Karim Djoudi, lors de son intervention en sa qualité de président de la 5e session du Conseil des ministres arabes des Finances. Ces défis exigent davantage d'efforts de la part des pays arabes à la lumière de la consolidation du processus de réforme économique et financière de manière à soutenir les équilibres financiers et la stabilité, à réaliser la croissance économique globale et durable, à générer l'emploi productif et améliorer la compétitivité, a-t-il encore fait remarquer. Par ailleurs, Karim Djoudi a participé à la 4e session du Conseil de supervision du compte spécial pour le financement des projets relatifs aux PME privées dans les pays arabes. Le Conseil de supervision du Compte Spécial a été créé lors du sommet économique arabe tenue au Koweït en 2009 dans l'objectif de soutenir financièrement et techniquement les PME. Le ministre des Finances a eu, en marge de cette rencontre, des entretiens avec ses homologues arabes ayant permis d'échanger les vues sur la situation économique mondiale. Les entretiens ont également porté sur les moyens à même de consolider la coopération interarabe dans les domaines économique et financier. Il a, en outre, reçu plusieurs responsables d'institutions financières arabes qui se sont dit "satisfaits" du niveau des relations entre l'Algérie et ces institutions bien que l'Algérie n'ait pas eu recours à l'endettement extérieur.