Dans son discours, et ne dérogeant pas à la règle, Bensalah a aussi évoqué des questions brûlantes de l'actualité nationale. Il a ainsi fait cas de la rentrée sociale et de la violence qui sévit non seulement dans les stades, mais aussi dans la société. Dans son discours, et ne dérogeant pas à la règle, Bensalah a aussi évoqué des questions brûlantes de l'actualité nationale. Il a ainsi fait cas de la rentrée sociale et de la violence qui sévit non seulement dans les stades, mais aussi dans la société. Les parlementaires des deux chambres, l'APN et le Conseil de la nation, ont repris du service. La session d'automne du Parlement a été, en effet, ouverte hier, en présence des membres du gouvernement mais en l'absence du premier ministre, Abdelmalek Sellal, qui assise à Nairobi à un sommet de l'Union africaine. Cette session, contrairement à la session de printemps, promet d'être chargée puisque au moins 17 projets de loi seront au programme. Le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, a mis en évidence ce point lors de son discours d'ouverture. Il a ainsi énuméré la majorité des projets qui seront examinés et adoptés par les deux chambres du Parlement au premier rang desquels figure le projet de loi de finances 2015. Dans son discours, et ne dérogeant pas à la règle, Bensalah a aussi évoqué des questions brûlantes de l'actualité nationale. Il a ainsi fait cas de la rentrée sociale et de la violence qui sévit non seulement dans les stades, mais aussi dans la société. « La rentré sociale sera ordinaire » dira d'emblée le président du Conseil de la nation comme pour contredire toutes les affirmations selon lesquelles cette rentrée s'annonce explosive. Car pour Bensalah les mesures déjà prises par le gouvernement et celles qui le seront à l'avenir à l'exemple de la distribution des logements, celles relatives à la rentrée scolaire et la prochaine suppression de l'article 87 bis, sont à même d'apaiser le front social ce d'autant qu'elles ont eu un écho favorable auprès de larges pans de la société. Mais, pour Bensalah, cela ne veut nullement dire que tout va bien puisqu'il a admis l'existence de nombre d'insuffisances dans certains secteurs. Il a ainsi appelé au dialogue social pour trouver des solutions appropriées. Bensalah a par ailleurs reconnu l'ampleur du phénomène de la violence dans la société. « C'est un phénomène inquiétant et on ne peut ignorer ses conséquences sur le tissu social » dira-t-il. Il a appelé à la mobilisation de l'ensemble de la société pour lutter contre ce fléau. Si Bensalah a fait l'impasse sur la question du projet de révision constitutionnelle ce n'était pas le cas pour le président de l'APN, Mohamed Larbi Ould Khelifa. Ce denier a, en effet, évoqué les consultations menées par Ahmed Ouyahia avec la classe politique. Il a aussi évoqué les événements de Ghardaïa sans omettre de parler de la situation dans certains pays voisins de l'Algerie, comme la Libye ou le Mali. Les parlementaires des deux chambres, l'APN et le Conseil de la nation, ont repris du service. La session d'automne du Parlement a été, en effet, ouverte hier, en présence des membres du gouvernement mais en l'absence du premier ministre, Abdelmalek Sellal, qui assise à Nairobi à un sommet de l'Union africaine. Cette session, contrairement à la session de printemps, promet d'être chargée puisque au moins 17 projets de loi seront au programme. Le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, a mis en évidence ce point lors de son discours d'ouverture. Il a ainsi énuméré la majorité des projets qui seront examinés et adoptés par les deux chambres du Parlement au premier rang desquels figure le projet de loi de finances 2015. Dans son discours, et ne dérogeant pas à la règle, Bensalah a aussi évoqué des questions brûlantes de l'actualité nationale. Il a ainsi fait cas de la rentrée sociale et de la violence qui sévit non seulement dans les stades, mais aussi dans la société. « La rentré sociale sera ordinaire » dira d'emblée le président du Conseil de la nation comme pour contredire toutes les affirmations selon lesquelles cette rentrée s'annonce explosive. Car pour Bensalah les mesures déjà prises par le gouvernement et celles qui le seront à l'avenir à l'exemple de la distribution des logements, celles relatives à la rentrée scolaire et la prochaine suppression de l'article 87 bis, sont à même d'apaiser le front social ce d'autant qu'elles ont eu un écho favorable auprès de larges pans de la société. Mais, pour Bensalah, cela ne veut nullement dire que tout va bien puisqu'il a admis l'existence de nombre d'insuffisances dans certains secteurs. Il a ainsi appelé au dialogue social pour trouver des solutions appropriées. Bensalah a par ailleurs reconnu l'ampleur du phénomène de la violence dans la société. « C'est un phénomène inquiétant et on ne peut ignorer ses conséquences sur le tissu social » dira-t-il. Il a appelé à la mobilisation de l'ensemble de la société pour lutter contre ce fléau. Si Bensalah a fait l'impasse sur la question du projet de révision constitutionnelle ce n'était pas le cas pour le président de l'APN, Mohamed Larbi Ould Khelifa. Ce denier a, en effet, évoqué les consultations menées par Ahmed Ouyahia avec la classe politique. Il a aussi évoqué les événements de Ghardaïa sans omettre de parler de la situation dans certains pays voisins de l'Algerie, comme la Libye ou le Mali.