Israël est appelé piar les Etats -Unis à annuler sa décision de, s'approprier 400 hectares de terres en Cisjordanie, en représailles à l'un des évènements déclencheurs de la guerre. "Cette annonce (...) est contre-productive au regard de l'objectif fixé par Israël de parvenir à une solution négociée à deux Etats avec les Palestiniens", a estimé un responsable du département d'Etat. Israël est appelé piar les Etats -Unis à annuler sa décision de, s'approprier 400 hectares de terres en Cisjordanie, en représailles à l'un des évènements déclencheurs de la guerre. "Cette annonce (...) est contre-productive au regard de l'objectif fixé par Israël de parvenir à une solution négociée à deux Etats avec les Palestiniens", a estimé un responsable du département d'Etat. "Nous enjoignons le gouvernement israélien à annuler cette décision. Nous avons clairement fait part depuis longtemps de notre opposition à la poursuite de l'activité de colonisation" par Israël, a ajouté cette source. Israël a décidé de déclarer propriété de l'Etat israélien 400 hectares proches de la colonie de Gva'ot, dans les environs de Bethléem, en réaction au meurtre de trois jeunes Israéliens en juin dans le secteur, a indiqué l'armée dans un communiqué, précisant que les parties concernées avaient 45 jours pour faire appel. C'est la première annonce du genre rendue publique depuis le début de la guerre dans la bande de Ghaza, le 8 juillet. La guerre a parachevé un cycle de violences israélo-palestiniennes provoquées par l'enlèvement, le 12 juin, de trois adolescents près de Gush Etzion, un bloc de colonies situé en zone entièrement sous contrôle israélien. Gva'ot fait partie de Gush Etzion, où vivent environ 60.000 personnes. Les trois étudiants d'écoles religieuses ont été retrouvés morts le 30 juin. Israël a attribué leur meurtre au Hamas, l'organisation islamiste qui contrôle la bande de Ghaza et qui est aussi présente en Cisjordanie. Le Hamas nie et dit que, si des membres du Hamas sont impliqués, lui-même n'a jamais été informé de leur projet. L'Onu veut enquêter en Irak sur les actes des djihadistes Genève (Le Conseil des droits de l'Homme des Nations unies a décidé lundi l'envoi d'une mission pour enquêter sur les crimes d'une "ampleur inimaginable" commis par les djihadistes de l'Etat islamique (EI). Réuni en urgence à Genève, le Conseil a adopté une résolution présentée par l'Irak et la France. Il souhaite dépêcher en Irak une équipe de 11 enquêteurs dotée d'un budget de 1,18 million de dollars, chargée de venir lui rendre compte de sa mission d'ici mars 2015. Les hommes de l'Etat islamique ont conquis de vastes territoires dans le nord de l'Irak et en Syrie voisine depuis le mois de juin, proclamant l'avènement d'un califat et faisant fuir des centaines de milliers d'habitants. Au moins 1.420 personnes ont été tuées dans les violences en Irak durant le seul mois d'août, selon les chiffres des Nations unies. Avant le vote du texte à Genève, Flavia Pansieri, haut commissaire adjoint des Nations unies pour les droits de l'homme, a déclaré en ouverture des débats qu'il existait des "preuves accablantes" montrant que l'EI et ses alliés avaient commis des tueries ciblées, pratiqué des enlèvements, infligé des tortures et des violences sexuelles et contraint certains à se convertir. "Les informations en notre disposition font état d'actes inhumains à une échelle inimaginable", a-t-elle déclaré devant le Conseil, qui se réunissait pour la première fois depuis le début de l'offensive de l'EI. Les troupes irakiennes ont elles aussi commis des actes qui pourraient être qualifiés de crimes de guerre, a ajouté Flavia Pansieri, qui a dit par la suite à Reuters qu'ils n'étaient pas de la même ampleur "Nous enjoignons le gouvernement israélien à annuler cette décision. Nous avons clairement fait part depuis longtemps de notre opposition à la poursuite de l'activité de colonisation" par Israël, a ajouté cette source. Israël a décidé de déclarer propriété de l'Etat israélien 400 hectares proches de la colonie de Gva'ot, dans les environs de Bethléem, en réaction au meurtre de trois jeunes Israéliens en juin dans le secteur, a indiqué l'armée dans un communiqué, précisant que les parties concernées avaient 45 jours pour faire appel. C'est la première annonce du genre rendue publique depuis le début de la guerre dans la bande de Ghaza, le 8 juillet. La guerre a parachevé un cycle de violences israélo-palestiniennes provoquées par l'enlèvement, le 12 juin, de trois adolescents près de Gush Etzion, un bloc de colonies situé en zone entièrement sous contrôle israélien. Gva'ot fait partie de Gush Etzion, où vivent environ 60.000 personnes. Les trois étudiants d'écoles religieuses ont été retrouvés morts le 30 juin. Israël a attribué leur meurtre au Hamas, l'organisation islamiste qui contrôle la bande de Ghaza et qui est aussi présente en Cisjordanie. Le Hamas nie et dit que, si des membres du Hamas sont impliqués, lui-même n'a jamais été informé de leur projet. L'Onu veut enquêter en Irak sur les actes des djihadistes Genève (Le Conseil des droits de l'Homme des Nations unies a décidé lundi l'envoi d'une mission pour enquêter sur les crimes d'une "ampleur inimaginable" commis par les djihadistes de l'Etat islamique (EI). Réuni en urgence à Genève, le Conseil a adopté une résolution présentée par l'Irak et la France. Il souhaite dépêcher en Irak une équipe de 11 enquêteurs dotée d'un budget de 1,18 million de dollars, chargée de venir lui rendre compte de sa mission d'ici mars 2015. Les hommes de l'Etat islamique ont conquis de vastes territoires dans le nord de l'Irak et en Syrie voisine depuis le mois de juin, proclamant l'avènement d'un califat et faisant fuir des centaines de milliers d'habitants. Au moins 1.420 personnes ont été tuées dans les violences en Irak durant le seul mois d'août, selon les chiffres des Nations unies. Avant le vote du texte à Genève, Flavia Pansieri, haut commissaire adjoint des Nations unies pour les droits de l'homme, a déclaré en ouverture des débats qu'il existait des "preuves accablantes" montrant que l'EI et ses alliés avaient commis des tueries ciblées, pratiqué des enlèvements, infligé des tortures et des violences sexuelles et contraint certains à se convertir. "Les informations en notre disposition font état d'actes inhumains à une échelle inimaginable", a-t-elle déclaré devant le Conseil, qui se réunissait pour la première fois depuis le début de l'offensive de l'EI. Les troupes irakiennes ont elles aussi commis des actes qui pourraient être qualifiés de crimes de guerre, a ajouté Flavia Pansieri, qui a dit par la suite à Reuters qu'ils n'étaient pas de la même ampleur