La ministre de la Poste, des Technologies de l'information et de la communication, Zohra Derdouri, a affirmé la détermination de l'Etat à rattraper le retard accusé dans l'utilisation des technologies de l'information et de la communication, notamment l'Internet à travers l'ensemble du territoire national. La ministre de la Poste, des Technologies de l'information et de la communication, Zohra Derdouri, a affirmé la détermination de l'Etat à rattraper le retard accusé dans l'utilisation des technologies de l'information et de la communication, notamment l'Internet à travers l'ensemble du territoire national. « Des erreurs ont été commises lors de l'introduction des TIC pour ne pas leur avoir consacrer assez de temps », a reconnu Mme Derdouri qui répondait aux préoccupations des députés de lors d'une séance de débat général sur le projet de loi définissant les règles générales relatives à la signature et à la certification électroniques. Elle a souligné, dans ce cadre, que les conditions ne sont pas réunies pour ces technologies notamment en matière d'infrastructures. Elle a cité, à titre d'exemple, l'introduction de la téléphonie mobile en Algérie qui a connu des erreurs au début mais aussitôt rattrapées. S'agissant de l'Internet, la ministre a fait part de l'existence d'une « stratégie nationale de généralisation de l'utilisation de cette technologie au niveau national ». D'après la ministre, « la généralisation de l'Internet et les différentes nouvelles technologies, a-t-elle poursuivi, exige des fonds et du temps », affirmant, à ce titre, que « l'Algérie avance doucement mais sûrement pour atteindre cet objectif ». Pour ce qui est du classement de l'Algérie au bas de l'échelle en matière d'utilisation des TIC évoqué par certains députés lors du débat, Mme Derdouri a signifié que ce classement ne constitue pas une référence. « Cette question n'intéresse pas l'Etat algérien qui préfère focaliser sur les efforts à déployer pour le développement et l'améliora- « Des erreurs ont été commises lors de l'introduction des TIC pour ne pas leur avoir consacrer assez de temps », a reconnu Mme Derdouri qui répondait aux préoccupations des députés de lors d'une séance de débat général sur le projet de loi définissant les règles générales relatives à la signature et à la certification électroniques. Elle a souligné, dans ce cadre, que les conditions ne sont pas réunies pour ces technologies notamment en matière d'infrastructures. Elle a cité, à titre d'exemple, l'introduction de la téléphonie mobile en Algérie qui a connu des erreurs au début mais aussitôt rattrapées. S'agissant de l'Internet, la ministre a fait part de l'existence d'une « stratégie nationale de généralisation de l'utilisation de cette technologie au niveau national ». D'après la ministre, « la généralisation de l'Internet et les différentes nouvelles technologies, a-t-elle poursuivi, exige des fonds et du temps », affirmant, à ce titre, que « l'Algérie avance doucement mais sûrement pour atteindre cet objectif ». Pour ce qui est du classement de l'Algérie au bas de l'échelle en matière d'utilisation des TIC évoqué par certains députés lors du débat, Mme Derdouri a signifié que ce classement ne constitue pas une référence. « Cette question n'intéresse pas l'Etat algérien qui préfère focaliser sur les efforts à déployer pour le développement et l'améliora-