L'enquête sur l'origine de l'incendie de l'usine Samsung Samha-Cevital a été clôturée depuis vingt jours, a révélé, lundi soir à Sétif, le colonel Nacer Chettab, le chef de groupement de la Gendarmerie de Sétif. L'enquête sur l'origine de l'incendie de l'usine Samsung Samha-Cevital a été clôturée depuis vingt jours, a révélé, lundi soir à Sétif, le colonel Nacer Chettab, le chef de groupement de la Gendarmerie de Sétif. Le haut gradé de la Gendarmerie de Sétif a expliqué que les enquêteurs de la Gendarmerie nationale de Sétif n'ont pas trouvé d'indices pouvant faire croire à un acte criminel. Les experts de ce corps constitué ont auditionné plusieurs personnes faisant partie du personnel d'encadrement et de maîtrise pour les besoins de l'enquête, a-t-il précisé. Il a indiqué que les recherches menées par ses élements sur l'origine du sinistre se sont avérées infructueuses. L'enquête a révélé, explique le colonel Nacer Chettab, que l'incendie est dû à "une insuffisance en matière de sécurité industrielle" de la part du personnel d'encadrement et de maîtrise de l'unité de production. Au lendemain du sinistre, Issad Rebrab, le patron de Cevital, avait déclaré qu'il n'avait "absolument aucun soupçon". L'incendie, a-t-il souligné, "s'est déclaré quinze minutes seulement après le départ des ouvriers. Le sinistre n'a pas fait de victimes. Toutefois, les dégâts causés par l'incendie de l'usine sont très importants. Toute la partie renfermant les unités de production des réfrigérateurs, de climatiseurs et des machines à laver ont été ravagées par les flammes", a précise Issad Rebrab qui n'a avancé aucune estimation des dégâts. Située dans la zone industrielle de la commune de Sétif, l'usine Samsung-Samha du groupe Cevital a pris feu peu avant 19h le 20 juillet dernier. Le feu se serait déclaré au niveau d'un compartiment de montage des appareils électro-ménagers fabriqués dans cette unité de production. Le feu n'a été maîtrisé par les sapeurs pompiers qu'au bout de plus de cinq heures de lutte contre les flammes. Le haut gradé de la Gendarmerie de Sétif a expliqué que les enquêteurs de la Gendarmerie nationale de Sétif n'ont pas trouvé d'indices pouvant faire croire à un acte criminel. Les experts de ce corps constitué ont auditionné plusieurs personnes faisant partie du personnel d'encadrement et de maîtrise pour les besoins de l'enquête, a-t-il précisé. Il a indiqué que les recherches menées par ses élements sur l'origine du sinistre se sont avérées infructueuses. L'enquête a révélé, explique le colonel Nacer Chettab, que l'incendie est dû à "une insuffisance en matière de sécurité industrielle" de la part du personnel d'encadrement et de maîtrise de l'unité de production. Au lendemain du sinistre, Issad Rebrab, le patron de Cevital, avait déclaré qu'il n'avait "absolument aucun soupçon". L'incendie, a-t-il souligné, "s'est déclaré quinze minutes seulement après le départ des ouvriers. Le sinistre n'a pas fait de victimes. Toutefois, les dégâts causés par l'incendie de l'usine sont très importants. Toute la partie renfermant les unités de production des réfrigérateurs, de climatiseurs et des machines à laver ont été ravagées par les flammes", a précise Issad Rebrab qui n'a avancé aucune estimation des dégâts. Située dans la zone industrielle de la commune de Sétif, l'usine Samsung-Samha du groupe Cevital a pris feu peu avant 19h le 20 juillet dernier. Le feu se serait déclaré au niveau d'un compartiment de montage des appareils électro-ménagers fabriqués dans cette unité de production. Le feu n'a été maîtrisé par les sapeurs pompiers qu'au bout de plus de cinq heures de lutte contre les flammes.