L'Algérie et la France se sont félicitées, à l'issue de la 2e session du Comité intergouvernemental de haut niveau (CIHN) tenue jeudi à Paris, de leur convergence de vues sur l'ensemble des questions régionales et internationales d'intérêt commun. L'Algérie et la France se sont félicitées, à l'issue de la 2e session du Comité intergouvernemental de haut niveau (CIHN) tenue jeudi à Paris, de leur convergence de vues sur l'ensemble des questions régionales et internationales d'intérêt commun. Les deux pays se sont félicités de leur "convergence de vues" sur l'ensemble des questions régionales et internationales d'intérêt commun, "notamment sur les étapes franchies par les négociations inter maliennes sous la conduite de l'Algérie, chef de file de la médiation internationale", selon le communiqué conjoint rendu public à l'issue de la 2e session du CIHN. L'Algérie et la France encouragent, en outre, le gouvernement malien et les "groupes rebelles non terroristes" à continuer à s'"investir pleinement dans la poursuite des négociations afin d'aboutir, dans les meilleurs délais, à un accord de paix juste et durable". Les deux pays ont salué également les efforts du représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour la Libye, "avec le soutien actif de l'Algérie", en vue de "réunir les conditions d'un dialogue entre les parties libyennes, à l'exclusion des groupes terroristes reconnus en tant que tels, afin de promouvoir une solution qui préserve l'intégrité et l'unité territoriale de ce pays", souligne encore le communiqué commun. Lutte antiterroriste : approfondir leur coopération Aussi et à l'issue de cette réunion, l'Algérie et la France ont exprimé leur détermination à approfondir leur coopération en matière de lutte contre le terrorisme. Les deux pays ont marqué leur "détermination" à poursuivre leur dialogue et à "approfondir" leur coopération en matière de lutte contre le terrorisme, et noté "avec satisfaction" l'intensification des échanges et le développement de la coopération bilatérale en matière de sécurité. Ils ont également souhaité que cette dynamique soit poursuivie, notamment en matière de coopération opérationnelle, d'échanges d'informations et de formation. Les deux pays ont souligné que leur coopération bilatérale dispose d'"un important potentiel de croissance fondé sur une vision convergente des défis sécuritaires". Ils ont noté que la 7e session de la réunion des sous commission spécialisées de la commission mixte de coopération dans le domaine de la défense algéro-française, qui s'est tenue les 17 et 18 novembre 2014, a permis d'ouvrir de "nouvelles perspectives" de coopération pour l'année 2015. Des propositions concrètes ont été formulées à cette occasion pour dynamiser les échanges d'analyses sécuritaires et stratégiques, accroître l'échange d'expertise, renforcer la coordination opérationnelle dans le cadre de la lutte contre le terrorisme dans la sous-région du Sahel et oeuvrer pour le tarissement des sources de financement des groupes terroristes, à travers le paiement des rançons, le crime organisé et le trafic de drogue. Les deux parties ont, en outre, plaidé pour le développement de projets d'évaluation techniques communs ou de partenariats industriels dans le domaine de l'armement. Ils ont salué, à ce titre, les processus de consultations qui sont en cours pour aboutir à l'établissement de partenariats dans plusieurs domaines, notamment dans l'industrie aéronautique, le transfert de technologie, le savoir-faire et la santé militaire. La concrétisation de ces projets renforcera la coopération militaire entre les deux pays, est-il mentionné dans le communiqué conjoint. Les deux pays se sont félicités de leur "convergence de vues" sur l'ensemble des questions régionales et internationales d'intérêt commun, "notamment sur les étapes franchies par les négociations inter maliennes sous la conduite de l'Algérie, chef de file de la médiation internationale", selon le communiqué conjoint rendu public à l'issue de la 2e session du CIHN. L'Algérie et la France encouragent, en outre, le gouvernement malien et les "groupes rebelles non terroristes" à continuer à s'"investir pleinement dans la poursuite des négociations afin d'aboutir, dans les meilleurs délais, à un accord de paix juste et durable". Les deux pays ont salué également les efforts du représentant spécial du secrétaire général des Nations unies pour la Libye, "avec le soutien actif de l'Algérie", en vue de "réunir les conditions d'un dialogue entre les parties libyennes, à l'exclusion des groupes terroristes reconnus en tant que tels, afin de promouvoir une solution qui préserve l'intégrité et l'unité territoriale de ce pays", souligne encore le communiqué commun. Lutte antiterroriste : approfondir leur coopération Aussi et à l'issue de cette réunion, l'Algérie et la France ont exprimé leur détermination à approfondir leur coopération en matière de lutte contre le terrorisme. Les deux pays ont marqué leur "détermination" à poursuivre leur dialogue et à "approfondir" leur coopération en matière de lutte contre le terrorisme, et noté "avec satisfaction" l'intensification des échanges et le développement de la coopération bilatérale en matière de sécurité. Ils ont également souhaité que cette dynamique soit poursuivie, notamment en matière de coopération opérationnelle, d'échanges d'informations et de formation. Les deux pays ont souligné que leur coopération bilatérale dispose d'"un important potentiel de croissance fondé sur une vision convergente des défis sécuritaires". Ils ont noté que la 7e session de la réunion des sous commission spécialisées de la commission mixte de coopération dans le domaine de la défense algéro-française, qui s'est tenue les 17 et 18 novembre 2014, a permis d'ouvrir de "nouvelles perspectives" de coopération pour l'année 2015. Des propositions concrètes ont été formulées à cette occasion pour dynamiser les échanges d'analyses sécuritaires et stratégiques, accroître l'échange d'expertise, renforcer la coordination opérationnelle dans le cadre de la lutte contre le terrorisme dans la sous-région du Sahel et oeuvrer pour le tarissement des sources de financement des groupes terroristes, à travers le paiement des rançons, le crime organisé et le trafic de drogue. Les deux parties ont, en outre, plaidé pour le développement de projets d'évaluation techniques communs ou de partenariats industriels dans le domaine de l'armement. Ils ont salué, à ce titre, les processus de consultations qui sont en cours pour aboutir à l'établissement de partenariats dans plusieurs domaines, notamment dans l'industrie aéronautique, le transfert de technologie, le savoir-faire et la santé militaire. La concrétisation de ces projets renforcera la coopération militaire entre les deux pays, est-il mentionné dans le communiqué conjoint.