Le président du Forum des chefs d'entreprise, Ali Haddad, poursuit son cycle de rencontres avec les membres du gouvernement, notamment ceux détenteurs de portefeuilles liés à l'Economie. Le président du Forum des chefs d'entreprise, Ali Haddad, poursuit son cycle de rencontres avec les membres du gouvernement, notamment ceux détenteurs de portefeuilles liés à l'Economie. Après avoir rencontré le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, fin décembre, le FCE a entamé sous la houlette de nouveau président, un cycle de rencontres avec les ministres afin d'exposer les préoccupations des chefs d'entreprise. Dès son élection à la tête du FCE, Ali Haddad a procédé à l'installation de 29 commissions sectorielles pour recenser les difficultés rencontrées par les patrons et faire des propositions dans le but d'améliorer le climat des affaires. Des préoccupations liées, notamment à la préférence nationale, au patriotisme économique en ces temps de crise induite par la baisse des revenus pétrolier, à l'environnement de l'entreprise, qui l'empêche de s'inscrire dans la logique du marché. La première rencontre s'est tenue entre le ministre du Commerce, Amara Benyounes, et une délégation du FCE conduite par son président, Ali Haddad qui s'est traduite par une mesure destinée à booster la production nationale et à préserver l'économie nationale. « Le gouvernement lancera prochainement une vaste campagne de sensibilisation citoyenne pour consommer "made in Algérie" afin d'amortir la faramineuse facture des 9 milliards de dollars qu'absorbent les importations », a déclaré le ministre du Commerce, affirmant que le gouvernement accordait, en soutien, la priorité à l'entreprise algérienne pour lui permettre d'améliorer la qualité et la compétitivité de son produit et à la protection de l'économie nationale dans un contexte marqué par la chute des prix du pétrole. La deuxième rencontre du genre regroupait le ministère de l'Habitat et le FCE qui s'est traduite, elle aussi, par des mesures en faveur de l'entreprise algérienne. La plus importante concerne le BTPH. Dans un souci de favoriser et d'encourager la production nationale, les entreprises de réalisation dans le secteur du bâtiment seront interdites d'importer tout matériau de construction produit localement, avait annoncé Abdelmadjid Tebboune l'issue de cette rencontre, Cette interdiction sera appliquée graduellement, selon Tebboune qui rappelle qu'une instruction a été récemment promulguée dans ce sens. Cependant, le ministre de l'Habitat conditionne cette mesure par l'engagement des producteurs nationaux à améliorer la qualité de ces matériaux. Selon les statistiques, la production nationale de céramique, un matériau très utilisé dans le secteur du bâtiment, s'élève à 80 millions de mètres carrés par an, alors que les importations en la matière sont estimées à quelque 70 millions m2. Donc, les producteurs nationaux se voient offrir l'opportunité de gagner d'importants plans de charge pour leurs unités de production de carreaux de faïence et dalles de sol, des matériaux qui sont, en grande partie, importés. Autre acquis pour les opérateurs économiques nationaux. Lors de cette rencontre avec le président du Forum des chefs d'entreprise (FCE, le ministre s'est dit d'accord pour réviser la loi actuelle sur la promotion immobilière en réponse à des sollicitations des professionnels du secteur. En outre, un projet de loi régissant l'activité des bureaux d'études en Algérie « sera incessamment présenté au Conseil des ministres », a annoncé le ministre. Elle portera notamment sur les modalités de fonctionnement et sur la classification des bureaux d'études opérant en Algérie. Il est utile de rappeler que des bureaux d'études étrangers opérant dans notre pays se contenter de louer un bureau dans un grande ville et emploient le savoirfaire algérien pour en récolter en définitive les dividendes qu'ils s'empressent de transférer à l'étranger. Sans aucun investissement au préalable à leurs installations en Algérie. Les rencontres de concertation du FCE avec plusieurs ministères seront sanctionnées par une rencontre avec le Premier ministre le 31 janvier prochain. Après avoir rencontré le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, fin décembre, le FCE a entamé sous la houlette de nouveau président, un cycle de rencontres avec les ministres afin d'exposer les préoccupations des chefs d'entreprise. Dès son élection à la tête du FCE, Ali Haddad a procédé à l'installation de 29 commissions sectorielles pour recenser les difficultés rencontrées par les patrons et faire des propositions dans le but d'améliorer le climat des affaires. Des préoccupations liées, notamment à la préférence nationale, au patriotisme économique en ces temps de crise induite par la baisse des revenus pétrolier, à l'environnement de l'entreprise, qui l'empêche de s'inscrire dans la logique du marché. La première rencontre s'est tenue entre le ministre du Commerce, Amara Benyounes, et une délégation du FCE conduite par son président, Ali Haddad qui s'est traduite par une mesure destinée à booster la production nationale et à préserver l'économie nationale. « Le gouvernement lancera prochainement une vaste campagne de sensibilisation citoyenne pour consommer "made in Algérie" afin d'amortir la faramineuse facture des 9 milliards de dollars qu'absorbent les importations », a déclaré le ministre du Commerce, affirmant que le gouvernement accordait, en soutien, la priorité à l'entreprise algérienne pour lui permettre d'améliorer la qualité et la compétitivité de son produit et à la protection de l'économie nationale dans un contexte marqué par la chute des prix du pétrole. La deuxième rencontre du genre regroupait le ministère de l'Habitat et le FCE qui s'est traduite, elle aussi, par des mesures en faveur de l'entreprise algérienne. La plus importante concerne le BTPH. Dans un souci de favoriser et d'encourager la production nationale, les entreprises de réalisation dans le secteur du bâtiment seront interdites d'importer tout matériau de construction produit localement, avait annoncé Abdelmadjid Tebboune l'issue de cette rencontre, Cette interdiction sera appliquée graduellement, selon Tebboune qui rappelle qu'une instruction a été récemment promulguée dans ce sens. Cependant, le ministre de l'Habitat conditionne cette mesure par l'engagement des producteurs nationaux à améliorer la qualité de ces matériaux. Selon les statistiques, la production nationale de céramique, un matériau très utilisé dans le secteur du bâtiment, s'élève à 80 millions de mètres carrés par an, alors que les importations en la matière sont estimées à quelque 70 millions m2. Donc, les producteurs nationaux se voient offrir l'opportunité de gagner d'importants plans de charge pour leurs unités de production de carreaux de faïence et dalles de sol, des matériaux qui sont, en grande partie, importés. Autre acquis pour les opérateurs économiques nationaux. Lors de cette rencontre avec le président du Forum des chefs d'entreprise (FCE, le ministre s'est dit d'accord pour réviser la loi actuelle sur la promotion immobilière en réponse à des sollicitations des professionnels du secteur. En outre, un projet de loi régissant l'activité des bureaux d'études en Algérie « sera incessamment présenté au Conseil des ministres », a annoncé le ministre. Elle portera notamment sur les modalités de fonctionnement et sur la classification des bureaux d'études opérant en Algérie. Il est utile de rappeler que des bureaux d'études étrangers opérant dans notre pays se contenter de louer un bureau dans un grande ville et emploient le savoirfaire algérien pour en récolter en définitive les dividendes qu'ils s'empressent de transférer à l'étranger. Sans aucun investissement au préalable à leurs installations en Algérie. Les rencontres de concertation du FCE avec plusieurs ministères seront sanctionnées par une rencontre avec le Premier ministre le 31 janvier prochain.