La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a réaffirmé que le lancement de l'évaluation du palier de l'enseignement secondaire vient compléter l'opération similaire qui avait ciblé l'enseignement obligatoire, en l'occurrence les cycles primaire et moyen. La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, a réaffirmé que le lancement de l'évaluation du palier de l'enseignement secondaire vient compléter l'opération similaire qui avait ciblé l'enseignement obligatoire, en l'occurrence les cycles primaire et moyen. La ministre qui présidait, au Centre de recherche scientifique et technique sur les régions arides (CRSTRA), l'ouverture d'une conférence régionale de deux jours sur l'évaluation du secondaire, a fait remarquer que cette rencontre se tient simultanément avec des regroupements similaires à Annaba, Oran et Alger, au titre d'une "phase importante" de la préparation de la conférence nationale prévue en juillet prochain. Le ministère de l'Education a "ouvert la porte à un dialogue constructif et à une large concertation avec les acteurs du secteur que sont les enseignants, les inspecteurs, les chefs d'établissements, les parents d'élèves et les élèves", a ajouté Mme Benghebrit, soulignant que le dialogue a lieu autour de trois thèmes : la pédagogie, la gouvernance et la formation. "Si l'essence et les objectifs des réformes restent constants et intouchables, d'autres aspects peuvent être discutés et éventuellement révisés", a-t-elle indiqué. S'agissant du concours de recrutement d'enseignants, programmé pour cette année, la ministre a exhorté tous les intervenants à assurer le succès de l'opération par "l'amélioration de l'accueil des candidats" et en déployant "davantage d'efforts pour éviter toute remise en cause de la transparence et de probité dans l'examen des dossiers". Elle a également appelé à encourager les enseignants à "plus de mobilisation" et à "la concrétisation de la culture du dialogue" en prévision des prochaines épreuves officielles qui constituent une phase déterminante pour le système scolaire dans tous les pays et doivent de ce fait, a-t-elle insisté, "bénéficier de l'intérêt nécessaire pour leur organisation et leur gestion". Au cours d'une conférence de presse, la ministre a indiqué que la couverture des besoins des établissements scolaires du pays en ressources humaines pour l'enseignement des langues étrangères a été "réglée pour le français" mais le problème persiste "relativement" pour l'espagnol, l'italien et l'allemand. Elle a affirmé, à ce propos, que les directions de l'éducation des wilayas ont été invitées à "ne pas ouvrir de classes s'il n'y a pas d'enseignants jusqu'à ce que les universités en forment". A une question relative à la menace de grève brandie par les travailleurs des corps communs, Mme Benghebrit a indiqué que leurs représentants ont été rencontrés, comme tous les autres syndicats, et il leur a été demandé de faire preuve de responsabilité. Elle a estimé, dans ce contexte, que la mission du secteur de l'éducation doit être "au service de l'élève" et qu'il était attendu que chaque syndicat "respecte cet accord et offre le meilleur à l'élève". La ministre a également indiqué qu'il était "possible" d'adapter, au sud du pays, le calendrier scolaire aux spécificités climatiques. Les directions de wilaya ont été instruites à l'effet d'émettre des propositions "sans que ne soit remis en cause le principe des 32 semaines d'études par saison". Mme Benghebrit avait auparavant inauguré un lycée dans la commune de Metlili et un collège d'enseignement moyen (CEM) à la cité Feliache de Biskra, puis inspecté des chantiers de construction de lycées dans les communes de Bouchegroun et d'El Hadjeb. La ministre qui présidait, au Centre de recherche scientifique et technique sur les régions arides (CRSTRA), l'ouverture d'une conférence régionale de deux jours sur l'évaluation du secondaire, a fait remarquer que cette rencontre se tient simultanément avec des regroupements similaires à Annaba, Oran et Alger, au titre d'une "phase importante" de la préparation de la conférence nationale prévue en juillet prochain. Le ministère de l'Education a "ouvert la porte à un dialogue constructif et à une large concertation avec les acteurs du secteur que sont les enseignants, les inspecteurs, les chefs d'établissements, les parents d'élèves et les élèves", a ajouté Mme Benghebrit, soulignant que le dialogue a lieu autour de trois thèmes : la pédagogie, la gouvernance et la formation. "Si l'essence et les objectifs des réformes restent constants et intouchables, d'autres aspects peuvent être discutés et éventuellement révisés", a-t-elle indiqué. S'agissant du concours de recrutement d'enseignants, programmé pour cette année, la ministre a exhorté tous les intervenants à assurer le succès de l'opération par "l'amélioration de l'accueil des candidats" et en déployant "davantage d'efforts pour éviter toute remise en cause de la transparence et de probité dans l'examen des dossiers". Elle a également appelé à encourager les enseignants à "plus de mobilisation" et à "la concrétisation de la culture du dialogue" en prévision des prochaines épreuves officielles qui constituent une phase déterminante pour le système scolaire dans tous les pays et doivent de ce fait, a-t-elle insisté, "bénéficier de l'intérêt nécessaire pour leur organisation et leur gestion". Au cours d'une conférence de presse, la ministre a indiqué que la couverture des besoins des établissements scolaires du pays en ressources humaines pour l'enseignement des langues étrangères a été "réglée pour le français" mais le problème persiste "relativement" pour l'espagnol, l'italien et l'allemand. Elle a affirmé, à ce propos, que les directions de l'éducation des wilayas ont été invitées à "ne pas ouvrir de classes s'il n'y a pas d'enseignants jusqu'à ce que les universités en forment". A une question relative à la menace de grève brandie par les travailleurs des corps communs, Mme Benghebrit a indiqué que leurs représentants ont été rencontrés, comme tous les autres syndicats, et il leur a été demandé de faire preuve de responsabilité. Elle a estimé, dans ce contexte, que la mission du secteur de l'éducation doit être "au service de l'élève" et qu'il était attendu que chaque syndicat "respecte cet accord et offre le meilleur à l'élève". La ministre a également indiqué qu'il était "possible" d'adapter, au sud du pays, le calendrier scolaire aux spécificités climatiques. Les directions de wilaya ont été instruites à l'effet d'émettre des propositions "sans que ne soit remis en cause le principe des 32 semaines d'études par saison". Mme Benghebrit avait auparavant inauguré un lycée dans la commune de Metlili et un collège d'enseignement moyen (CEM) à la cité Feliache de Biskra, puis inspecté des chantiers de construction de lycées dans les communes de Bouchegroun et d'El Hadjeb.