Un nouveau violent séisme, de magnitude 7,3 sur l'échelle de Richter, a ébranlé mardi le Népal, faisant au moins 37 morts et plus de 1.000 blessés, des bâtiments fragilisés par le tremblement de terre du 25 avril s'étant effondrés. Un nouveau violent séisme, de magnitude 7,3 sur l'échelle de Richter, a ébranlé mardi le Népal, faisant au moins 37 morts et plus de 1.000 blessés, des bâtiments fragilisés par le tremblement de terre du 25 avril s'étant effondrés. A ce bilan s'ajoutent, dans le nord de l'Inde frontalier du Népal, cinq morts dans l'effondrement de bâtiments. Au Tibet, des chutes de pierres ont tué un automobiliste, ont rapporté les médias chinois. L'épicentre a été localisé à 76 km à l'est de Katmandou, dans une région montagneuse proche de la frontière avec le Tibet. Le séisme a été ressenti jusqu'à New Delhi et Dacca, la capitale du Bangladesh, et a été suivi d'une demi-douzaine de répliques, dont une a atteint la magnitude 6,3. Dans la capitale indienne, des employés de bureaux alarmés par la secousse sont descendus dans les rues. A Siliguri, ville indienne proche de la frontière népalaise, des blocs de béton sont tombés d'un ou de deux bâtiments. Cette secousse survient alors que le Népal panse toujours ses plaies après le séisme du 25 avril, de magnitude 7,8, qui a fait 8.046 morts et plus de 17.800 blessés selon le dernier bilan fourni par les autorités, et détruit des centaines de milliers de bâtiments. Après le nouveau séisme, le centre de crise et de soutien du ministère français des Affaires étrangères a ouvert mardi matin une cellule de crise et activé un numéro d'urgence.Des victimes ont été signalées en divers points du Népal, notamment à Sindhupalchowk, qui déplore cinq morts. Ce district à l'est de la capitale Katmandou est celui qui a fait état du plus grand nombre de morts le 25 avril, a déclaré un responsable local, Krishna Gwayali. Panique à Katmandou Des bâtiments se sont également effondrés à Chautara, où au moins quatre corps ont été retirés des décombres, ont rapporté des ONG présentes sur place et l'Organisation pour les migrations des Nations unies (OIM). On dénombre au moins trois tués à Katmandou, où le séisme a provoqué des scènes de panique à la mi-journée, ont rapporté des témoins et un responsable de la police. Les commerçants de la capitale ont fermé leurs échoppes et les rues se sont remplies en peu de temps de personnes retournant chez elles pour voir si leur famille et leurs biens étaient touchés. Des habitants terrifiés se sont massés sur les places publiques, trop inquiets pour retourner à l'intérieur des bâtiments. A ce bilan s'ajoutent, dans le nord de l'Inde frontalier du Népal, cinq morts dans l'effondrement de bâtiments. Au Tibet, des chutes de pierres ont tué un automobiliste, ont rapporté les médias chinois. L'épicentre a été localisé à 76 km à l'est de Katmandou, dans une région montagneuse proche de la frontière avec le Tibet. Le séisme a été ressenti jusqu'à New Delhi et Dacca, la capitale du Bangladesh, et a été suivi d'une demi-douzaine de répliques, dont une a atteint la magnitude 6,3. Dans la capitale indienne, des employés de bureaux alarmés par la secousse sont descendus dans les rues. A Siliguri, ville indienne proche de la frontière népalaise, des blocs de béton sont tombés d'un ou de deux bâtiments. Cette secousse survient alors que le Népal panse toujours ses plaies après le séisme du 25 avril, de magnitude 7,8, qui a fait 8.046 morts et plus de 17.800 blessés selon le dernier bilan fourni par les autorités, et détruit des centaines de milliers de bâtiments. Après le nouveau séisme, le centre de crise et de soutien du ministère français des Affaires étrangères a ouvert mardi matin une cellule de crise et activé un numéro d'urgence.Des victimes ont été signalées en divers points du Népal, notamment à Sindhupalchowk, qui déplore cinq morts. Ce district à l'est de la capitale Katmandou est celui qui a fait état du plus grand nombre de morts le 25 avril, a déclaré un responsable local, Krishna Gwayali. Panique à Katmandou Des bâtiments se sont également effondrés à Chautara, où au moins quatre corps ont été retirés des décombres, ont rapporté des ONG présentes sur place et l'Organisation pour les migrations des Nations unies (OIM). On dénombre au moins trois tués à Katmandou, où le séisme a provoqué des scènes de panique à la mi-journée, ont rapporté des témoins et un responsable de la police. Les commerçants de la capitale ont fermé leurs échoppes et les rues se sont remplies en peu de temps de personnes retournant chez elles pour voir si leur famille et leurs biens étaient touchés. Des habitants terrifiés se sont massés sur les places publiques, trop inquiets pour retourner à l'intérieur des bâtiments.