Les anciens souscripteurs auront enfin leurs logements avant la fin de l'année. Leur calvaire qui a duré presque 14 ans, va prendre une fin heureuse selon le ministre de l'Habitat. Les anciens souscripteurs auront enfin leurs logements avant la fin de l'année. Leur calvaire qui a duré presque 14 ans, va prendre une fin heureuse selon le ministre de l'Habitat. L'heureux dénouement de cette affaire va permettre à des milliers de souscripteurs de l'AADL 2001 et 2002 d'obtenir leurs logements au plus tard à la fin de l'année. L'annonce solennelle a été faite par le ministre Abdelmadjid Teboune qui s'est engagé à livrer les clés à ces derniers dans les nouvelles tranches consacrées à l'habitat AADL. Ils recevront ainsi leurs préaffectations comme priorité selon les dires du ministre qui n'a pas omis de signaler l'immense retard pris dans ce cadre tout en indiquant que la dernière échéance pour ceux qui sont concernés par les anciens dossiers est le 1er trimestre de l'année 2016 et pas plus. Il a même donné des instructions fermes au DG de l'AADL pour régler définitivement ce problème pour lequel c'est désormais l'ENPI (Entreprise nationale de promotion immobilière) qui est en charge du dossier. Entre temps, les anciens postulants de l'AADL peuvent connaître les sites où ils habiteront avec un plan détaillé sur l'îlot. Une première dans le domaine de l'habitat. De plus, les futurs acquéreurs ont le droit d'obtenir une décision finale d'habiter si les sites en question sont complètement achevés. La deuxième assurance qu'a donnée le ministre de l'Habitat est relative aux nouveaux souscripteurs du programme 2013 et ceux du LPP (logement public promotionnel). Pour les premiers, ils auront à payer leur deuxième tranche de versement dès le 3eme trimestre de l'année. Là aussi, la direction de l'AADL devra être dans les délais pour ne pas reporter cette opération, qui rappelons-le, n'a pas pris beaucoup de retard par rapport à la cadence de réalisations des chantiers. Dans la foulée, les responsables de l'habitat au niveau national ont reçu d'autres instructions pour inspecter tous les chantiers et d'établir de rapports de situation tous les mois. L'année en cours qui verra la réception de 350.000 logements toutes catégories confondues va soulager des milliers de postulants parmi les relogés dans le cadre de l'habitat précaire et du LPP ainsi que ceux du programme participatif. La qualité du logement sous la loupe Le premier responsable du secteur n'a pas épargné en critiques le manque de qualité des logements précédents l'assimilant à une véritable catastrophe. Sur ce sujet, des inspecteurs de l'habitat aidés par les architectes et les professionnels du génie civil auront carte blanche pour s'attarder sur la qualité du bâti. Il faut signaler que plusieurs contrats ont été résiliés aux entreprises réalisatrices et même à certains maîtres d'ouvrage qui ont été responsables de ce désastre urbain à travers les malfaçons constatées, l'absence de normes parasismiques et des appartements exigus. Tebboune qui a exprimé son mécontentement ne compte pas baisser les bras. D'ores et déjà des réunions d'évaluation de tout ce qui va se faire en matière de qualité du logement est une affaire du gouvernement et non d'un simple ministère technique. Des sanctions seront prévues pour tout manquement au plan de qualité de bâti. Les maîtres d'ouvrage et entreprises de réalisation seront soumises à une rude épreuve. Ils doivent mentionner tous les coûts de la réalisation, les ingrédients de constructions et les normes sismiques de leurs projets. Quant à l'argent alloué pour les projets de construction de nouveaux logements, il est indiqué que les auditeurs qualifiés et assermentés vont devoir se pencher de plus près sur la gestion des montants financiers accordés et les autorisations de programme qui voient absorber des milliards pour des résultats pas toujours satisfaisants. L'heureux dénouement de cette affaire va permettre à des milliers de souscripteurs de l'AADL 2001 et 2002 d'obtenir leurs logements au plus tard à la fin de l'année. L'annonce solennelle a été faite par le ministre Abdelmadjid Teboune qui s'est engagé à livrer les clés à ces derniers dans les nouvelles tranches consacrées à l'habitat AADL. Ils recevront ainsi leurs préaffectations comme priorité selon les dires du ministre qui n'a pas omis de signaler l'immense retard pris dans ce cadre tout en indiquant que la dernière échéance pour ceux qui sont concernés par les anciens dossiers est le 1er trimestre de l'année 2016 et pas plus. Il a même donné des instructions fermes au DG de l'AADL pour régler définitivement ce problème pour lequel c'est désormais l'ENPI (Entreprise nationale de promotion immobilière) qui est en charge du dossier. Entre temps, les anciens postulants de l'AADL peuvent connaître les sites où ils habiteront avec un plan détaillé sur l'îlot. Une première dans le domaine de l'habitat. De plus, les futurs acquéreurs ont le droit d'obtenir une décision finale d'habiter si les sites en question sont complètement achevés. La deuxième assurance qu'a donnée le ministre de l'Habitat est relative aux nouveaux souscripteurs du programme 2013 et ceux du LPP (logement public promotionnel). Pour les premiers, ils auront à payer leur deuxième tranche de versement dès le 3eme trimestre de l'année. Là aussi, la direction de l'AADL devra être dans les délais pour ne pas reporter cette opération, qui rappelons-le, n'a pas pris beaucoup de retard par rapport à la cadence de réalisations des chantiers. Dans la foulée, les responsables de l'habitat au niveau national ont reçu d'autres instructions pour inspecter tous les chantiers et d'établir de rapports de situation tous les mois. L'année en cours qui verra la réception de 350.000 logements toutes catégories confondues va soulager des milliers de postulants parmi les relogés dans le cadre de l'habitat précaire et du LPP ainsi que ceux du programme participatif. La qualité du logement sous la loupe Le premier responsable du secteur n'a pas épargné en critiques le manque de qualité des logements précédents l'assimilant à une véritable catastrophe. Sur ce sujet, des inspecteurs de l'habitat aidés par les architectes et les professionnels du génie civil auront carte blanche pour s'attarder sur la qualité du bâti. Il faut signaler que plusieurs contrats ont été résiliés aux entreprises réalisatrices et même à certains maîtres d'ouvrage qui ont été responsables de ce désastre urbain à travers les malfaçons constatées, l'absence de normes parasismiques et des appartements exigus. Tebboune qui a exprimé son mécontentement ne compte pas baisser les bras. D'ores et déjà des réunions d'évaluation de tout ce qui va se faire en matière de qualité du logement est une affaire du gouvernement et non d'un simple ministère technique. Des sanctions seront prévues pour tout manquement au plan de qualité de bâti. Les maîtres d'ouvrage et entreprises de réalisation seront soumises à une rude épreuve. Ils doivent mentionner tous les coûts de la réalisation, les ingrédients de constructions et les normes sismiques de leurs projets. Quant à l'argent alloué pour les projets de construction de nouveaux logements, il est indiqué que les auditeurs qualifiés et assermentés vont devoir se pencher de plus près sur la gestion des montants financiers accordés et les autorisations de programme qui voient absorber des milliards pour des résultats pas toujours satisfaisants.