A quelques jours du début des sessions d'examens des différentes filières d'enseignement, la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, intervenait, hier à l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne pour y commenter, notamment, les préparatifs nécessaires. A quelques jours du début des sessions d'examens des différentes filières d'enseignement, la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, intervenait, hier à l'émission l'Invité de la rédaction de la chaîne 3 de la Radio algérienne pour y commenter, notamment, les préparatifs nécessaires. Des épreuves du baccalauréat, appelées à débuter dimanche prochain, et auxquelles prendront part quelque 853.000 lauréats, la ministre déclare qu'il ne sera pas un Bac au « rabais ». Elle affirme, d'autre part, que l'organisation des examens du primaire, du secondaire et de terminale, « pour lesquels nous avons acquis la maîtrise professionnelle », ne poseront aucun problème, assurant, une nouvelle fois, que les sujets proposés aux élèves ne porteront que sur les matières qui auront été « réellement » enseignées. La ministre indique que 612.000 enseignants seront mobilisés dans 2.307 établissements pour encadrer 2 millions de candidats auxquels s'ajouteront les prétendants au diplôme du baccalauréat. Concernant cet examen, en particulier, Benghebrit fait part de sa volonté d'y introduire des « changements de fond ». Elle annonce l'organisation d'une conférence nationale, en juillet prochain, qui sera spécialement consacrée au Bac et lors de laquelle seront traitées proposées et discutées différentes questions relatives à cet examen de passage à l'université. L'invitée précise, ainsi, que seront examinées des points relatifs à la révision et la possibilité de diminution des matières enseignées, à l'introduction d'examens anticipés du Bact et à la possibilité de maintenir les élèves en classe jusqu'aux derniers jours précédant les épreuves. Elle fera aussi part de la possible introduction d'une gestion plus adaptée du temps scolaire, « compte tenu de spécificités géographiques ». Du système d'enseignement en général, la ministre considère qu'il est temps, désormais, de mettre de côté l'approche quantitative et à viser la qualité qu'elle escompte mener à bon port à travers une meilleure formation des enseignants. Revenant aux examens du baccalauréat, la ministre signale que « toutes les dispositions ont été prises pour que ceux-ci se déroulent dans les meilleures conditions possibles ». Elle avertit les candidats qui seront surpris à frauder, d'avoir à payer « extrêmement cher » et qu'ils sont passibles d'une suspension de trois années, avant de pouvoir se représenter à un nouvel examen, une période portée à 10 années pour les candidats libres. Concernant les enseignants elle affirme : « Nous avons décidé la suspension de la ponction des salaires des enseignants ayant pris part aux grèves. Cela fait partie de la magnanimité de l'Etat puisque cette mesure intervient en perspective du mois sacré du ramadhan, et des deux Aïds ». Des épreuves du baccalauréat, appelées à débuter dimanche prochain, et auxquelles prendront part quelque 853.000 lauréats, la ministre déclare qu'il ne sera pas un Bac au « rabais ». Elle affirme, d'autre part, que l'organisation des examens du primaire, du secondaire et de terminale, « pour lesquels nous avons acquis la maîtrise professionnelle », ne poseront aucun problème, assurant, une nouvelle fois, que les sujets proposés aux élèves ne porteront que sur les matières qui auront été « réellement » enseignées. La ministre indique que 612.000 enseignants seront mobilisés dans 2.307 établissements pour encadrer 2 millions de candidats auxquels s'ajouteront les prétendants au diplôme du baccalauréat. Concernant cet examen, en particulier, Benghebrit fait part de sa volonté d'y introduire des « changements de fond ». Elle annonce l'organisation d'une conférence nationale, en juillet prochain, qui sera spécialement consacrée au Bac et lors de laquelle seront traitées proposées et discutées différentes questions relatives à cet examen de passage à l'université. L'invitée précise, ainsi, que seront examinées des points relatifs à la révision et la possibilité de diminution des matières enseignées, à l'introduction d'examens anticipés du Bact et à la possibilité de maintenir les élèves en classe jusqu'aux derniers jours précédant les épreuves. Elle fera aussi part de la possible introduction d'une gestion plus adaptée du temps scolaire, « compte tenu de spécificités géographiques ». Du système d'enseignement en général, la ministre considère qu'il est temps, désormais, de mettre de côté l'approche quantitative et à viser la qualité qu'elle escompte mener à bon port à travers une meilleure formation des enseignants. Revenant aux examens du baccalauréat, la ministre signale que « toutes les dispositions ont été prises pour que ceux-ci se déroulent dans les meilleures conditions possibles ». Elle avertit les candidats qui seront surpris à frauder, d'avoir à payer « extrêmement cher » et qu'ils sont passibles d'une suspension de trois années, avant de pouvoir se représenter à un nouvel examen, une période portée à 10 années pour les candidats libres. Concernant les enseignants elle affirme : « Nous avons décidé la suspension de la ponction des salaires des enseignants ayant pris part aux grèves. Cela fait partie de la magnanimité de l'Etat puisque cette mesure intervient en perspective du mois sacré du ramadhan, et des deux Aïds ».