La Fédération nationale des associations de diabétiques a exprimé son rejet de la décision de limitation des bandelettes d'autosurveillance glycémique à une seule boite par trimestre pour les diabétiques de type 2 stabilisés et traités par voie orale exclusivement. La Fédération nationale des associations de diabétiques a exprimé son rejet de la décision de limitation des bandelettes d'autosurveillance glycémique à une seule boite par trimestre pour les diabétiques de type 2 stabilisés et traités par voie orale exclusivement. Dans une déclaration à l'APS, M. Boucetta a estimé "inacceptable" la décision de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNAS) devant entrer en vigueur après le mois de ramadhan, au regard du nombre de contrôles de la glycémie effectués par jour (4 à 5 fois). Selon M. Boucetta, une seule boite de bandelettes d'autosurveillance glycémique par trimestre (2 contrôles par jours) est "insuffisant" pour les diabétiques de type 2 en raison des risques de complications auxquels les patients sont sujets même si le taux de glycémie dans le sang est relativement stable. Il a déploré une décision "unilatérale" adoptée par la Cnas sans consulter les partenaires (médecins spécialistes, associations de diabétiques, pharmacies), estimant que la limitation des bandelettes d'autosurveillance glycémique devait être décidée par le médecin traitant et non par l'administration de la Cnas qui a annulé la même décision en 2011. 500.000 diabétiques (types 1 et 2 confondus) sont traités par voie orale et injection d'insuline en même temps, a-til fait savoir s'interrogeant sur les motivations de la CNAS qui a axé sa décision sur les diabétiques de type 2 stabilisés et traités par voie orale exclusivement. Dans une déclaration à l'APS, M. Boucetta a estimé "inacceptable" la décision de la Caisse nationale de sécurité sociale (CNAS) devant entrer en vigueur après le mois de ramadhan, au regard du nombre de contrôles de la glycémie effectués par jour (4 à 5 fois). Selon M. Boucetta, une seule boite de bandelettes d'autosurveillance glycémique par trimestre (2 contrôles par jours) est "insuffisant" pour les diabétiques de type 2 en raison des risques de complications auxquels les patients sont sujets même si le taux de glycémie dans le sang est relativement stable. Il a déploré une décision "unilatérale" adoptée par la Cnas sans consulter les partenaires (médecins spécialistes, associations de diabétiques, pharmacies), estimant que la limitation des bandelettes d'autosurveillance glycémique devait être décidée par le médecin traitant et non par l'administration de la Cnas qui a annulé la même décision en 2011. 500.000 diabétiques (types 1 et 2 confondus) sont traités par voie orale et injection d'insuline en même temps, a-til fait savoir s'interrogeant sur les motivations de la CNAS qui a axé sa décision sur les diabétiques de type 2 stabilisés et traités par voie orale exclusivement.