Des partis politiques et des associations ont salué jeudi les décisions adoptées par le président de la République Abdelaziz Bouteflika concernant la situation qui prévaut à Ghardaia appelant par la même occasion à faire prévaloir le dialogue et la raison pour transcender cette crise qui a fait plusieurs victimes. Des partis politiques et des associations ont salué jeudi les décisions adoptées par le président de la République Abdelaziz Bouteflika concernant la situation qui prévaut à Ghardaia appelant par la même occasion à faire prévaloir le dialogue et la raison pour transcender cette crise qui a fait plusieurs victimes. La parti Tajamoue Amal Jazair (TAJ) s'est félicité des mesures décidées par les président de la République concernant la situation prévalant à Ghardaïa, et exhorté les autorités locales a appliquer la loi dans toute sa rigueur contre les auteurs d'atteintes a la sécurité des personnes et des biens. Pour sa part, l'Alliance nationale républicaine (ANR), a mis en avant les décisions et recommandations issues de la réunion sécuritaire restreinte présidée par le Chef de l'Etat, appelant les pouvoirs publics à "prendre toutes les mesures à même de favoriser le retour de la quiétude et du calme et garantir la sécurité des personnes et de leurs biens dans le cadre de la loi". Le Parti national algérien (PNA) a, pour sa part, appelé le gouvernement à "prendre des mesures dissuasives pour faire cesser la fitna" l'exhortant à "frapper d'une main de fer quiconque s'avise à porter atteinte au peuple algérien ainsi que les instigateurs de la fitna". Par ailleurs, le Mouvement El Islah a invité tous les dignitaires, les représentants de la société civile et les différents acteurs de la société à "déployer davantage d'efforts pour faire cesser la fitna et calmer les jeunes et citoyens de la région des deux parties". Le Parti de la jeunesse démocratique a souligné "l'urgence de mesures dissuasives pour cerner les commanditaires de la fitna à Ghardaïa et les traduire devant la justice". Le président du Haut conseil islamique (HCI), cheikh Bouamrane, a pour sa part, exhorté les acteurs de la société civile (responsables, politiques, hommes d'affaires, notables des quatre coins du pays, intellectuels, membres d'associations professionnelles et organisations estudiantines et de la jeunesse) à "ne ménager aucun effort pour démasquer les parties qui sont à l'origine de fitna afin d'éviter l'embrasement". La parti Tajamoue Amal Jazair (TAJ) s'est félicité des mesures décidées par les président de la République concernant la situation prévalant à Ghardaïa, et exhorté les autorités locales a appliquer la loi dans toute sa rigueur contre les auteurs d'atteintes a la sécurité des personnes et des biens. Pour sa part, l'Alliance nationale républicaine (ANR), a mis en avant les décisions et recommandations issues de la réunion sécuritaire restreinte présidée par le Chef de l'Etat, appelant les pouvoirs publics à "prendre toutes les mesures à même de favoriser le retour de la quiétude et du calme et garantir la sécurité des personnes et de leurs biens dans le cadre de la loi". Le Parti national algérien (PNA) a, pour sa part, appelé le gouvernement à "prendre des mesures dissuasives pour faire cesser la fitna" l'exhortant à "frapper d'une main de fer quiconque s'avise à porter atteinte au peuple algérien ainsi que les instigateurs de la fitna". Par ailleurs, le Mouvement El Islah a invité tous les dignitaires, les représentants de la société civile et les différents acteurs de la société à "déployer davantage d'efforts pour faire cesser la fitna et calmer les jeunes et citoyens de la région des deux parties". Le Parti de la jeunesse démocratique a souligné "l'urgence de mesures dissuasives pour cerner les commanditaires de la fitna à Ghardaïa et les traduire devant la justice". Le président du Haut conseil islamique (HCI), cheikh Bouamrane, a pour sa part, exhorté les acteurs de la société civile (responsables, politiques, hommes d'affaires, notables des quatre coins du pays, intellectuels, membres d'associations professionnelles et organisations estudiantines et de la jeunesse) à "ne ménager aucun effort pour démasquer les parties qui sont à l'origine de fitna afin d'éviter l'embrasement".