La mobilité des étudiants algériens à l'international est inscrite dans un processus axé sur les besoins du pays, a indiqué à Oran le président de la Conférence régionale des universités de l'Ouest (CRUO), Larbi Chahed. La mobilité des étudiants algériens à l'international est inscrite dans un processus axé sur les besoins du pays, a indiqué à Oran le président de la Conférence régionale des universités de l'Ouest (CRUO), Larbi Chahed. "La demande (inscription), l'orientation (vers les établissements d'accueil) et le suivi des étudiants sont parfaitement maîtrisés au titre des programmes de mobilité", a affirmé M. Chahed à l'occasion de la 3e édition du Salon de l'enseignement supérieur Algérie-France, tenue à l'Ecole nationale polytechnique d'Oran (ENPO) après deux premières journées abritées par le Palais de la Culture Moufdi Zakaria à Alger. Ce Salon, qui se tient pour la première fois à Oran, se décline en "un espace de construction de la mobilité des étudiants à l'international, et en particulier en direction de la France, et ce, sur le socle de la coopération scientifique bilatérale entre les deux pays", a relevé le président de la CRUO, également recteur de l'Université d'Oran 1 Ahmed Benbella. Les programmes de mobilité consolident la formation des étudiants et leur permettent, au terme de leur cursus, de "contribuer à l'effort de développement économique national", a-t-il souligné, rappelant qu'au palier de la post-graduation, les doctorants passant par ce canal sont inscrits dans le système de cotutelle portant sur le suivi par les deux établissements (d'origine et d'accueil). Le Salon Algérie-France s'est tenu en présence du conseiller de coopération et d'action culturelle à l'ambassade de France en Algérie, Alexis Andres qui a qualifié cet événement de "temps fort de la coopération universitaire entre les deux pays". Ce responsable, également directeur de l'Institut français d'Algérie, a aussi donné un aperçu sur le programme de mobilité "Campus France" par le biais duquel les étudiants algériens sont orientés en vue de poursuivre leurs études au sein d'un établissement d'enseignement supérieur en France. Plus de 250 étudiants ont assisté à cette rencontre marquée par des communications sur les procédures d'inscription, animées par les représentants des établissements universitaires hôtes, dont des écoles d'ingénieurs, d'arts et de commerce. Ce salon, regroupant au total (Alger et Oran) 37 universités et écoles supérieures algériennes et 22 établissements français d'enseignement supérieur, a été organisé par le ministère algérien de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et l'Institut français d'Algérie. "La demande (inscription), l'orientation (vers les établissements d'accueil) et le suivi des étudiants sont parfaitement maîtrisés au titre des programmes de mobilité", a affirmé M. Chahed à l'occasion de la 3e édition du Salon de l'enseignement supérieur Algérie-France, tenue à l'Ecole nationale polytechnique d'Oran (ENPO) après deux premières journées abritées par le Palais de la Culture Moufdi Zakaria à Alger. Ce Salon, qui se tient pour la première fois à Oran, se décline en "un espace de construction de la mobilité des étudiants à l'international, et en particulier en direction de la France, et ce, sur le socle de la coopération scientifique bilatérale entre les deux pays", a relevé le président de la CRUO, également recteur de l'Université d'Oran 1 Ahmed Benbella. Les programmes de mobilité consolident la formation des étudiants et leur permettent, au terme de leur cursus, de "contribuer à l'effort de développement économique national", a-t-il souligné, rappelant qu'au palier de la post-graduation, les doctorants passant par ce canal sont inscrits dans le système de cotutelle portant sur le suivi par les deux établissements (d'origine et d'accueil). Le Salon Algérie-France s'est tenu en présence du conseiller de coopération et d'action culturelle à l'ambassade de France en Algérie, Alexis Andres qui a qualifié cet événement de "temps fort de la coopération universitaire entre les deux pays". Ce responsable, également directeur de l'Institut français d'Algérie, a aussi donné un aperçu sur le programme de mobilité "Campus France" par le biais duquel les étudiants algériens sont orientés en vue de poursuivre leurs études au sein d'un établissement d'enseignement supérieur en France. Plus de 250 étudiants ont assisté à cette rencontre marquée par des communications sur les procédures d'inscription, animées par les représentants des établissements universitaires hôtes, dont des écoles d'ingénieurs, d'arts et de commerce. Ce salon, regroupant au total (Alger et Oran) 37 universités et écoles supérieures algériennes et 22 établissements français d'enseignement supérieur, a été organisé par le ministère algérien de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique et l'Institut français d'Algérie.