La "chedda" tlemcénienne, classée patrimoine culturel immatériel de l'humanité, "devrait être valorisée à travers tout le territoire algérien", a estimé un cadre du Centre national d'interprétation du costume traditionnel algérien de Tlemcen, lors de la célébration du 3e anniversaire du classement de cet habit par l'Unesco. La "chedda" tlemcénienne, classée patrimoine culturel immatériel de l'humanité, "devrait être valorisée à travers tout le territoire algérien", a estimé un cadre du Centre national d'interprétation du costume traditionnel algérien de Tlemcen, lors de la célébration du 3e anniversaire du classement de cet habit par l'Unesco. "La chedda est un habit féminin algérien que nous souhaitons valoriser à travers toute l'Algérie, voire même à l'étranger, car il représente le summum du savoirfaire artisanal d'hommes et de femmes depuis l'époque zianide", a indiqué Bachir Naïma, attachée de restauration de l'habit du Centre national d'interprétation du costume traditionnel algérien de Tlemcen. Le costume traditionnel de Tlemcen, à savoir le kaftan et ses accessoires, a connu, au fil des temps, une évolution positive qui lui a permis de figurer parmi le Patrimoine de l'humanité. Porté par la femme zianide au quotidien et dans les grandes occasions festives telles que les mariages, le kaftan n'a cessé de progresser tant sur le plan du design et de la décoration que dans sa manière d'être porté. Les anciens portaient le kaftan avec la blouse pailletée faite à la mainpour assembler ensuite la blouse du "mensoudj" composée de fil doré et autres. "Notre souci dans le Centre d'interprétation du costume traditionnel algérien est de sauvegarder ce costume qui est le symbole de notre identité et de transmettre aux jeunes générations, notamment les filles, la manière correcte avec laquelle il est porté", a souligné Melle Bachir. La cérémonie de célébration de cet anniversaire a donné lieu à la projection d'un film-documentaire réalisé avec des artisans activant dans le domaine de la confection du kaftan tlemcenien et de ses différents accessoires, en présence d'hommes de culture et d'artistes qui ont bien voulu marquer cet événement historique, à savoir l'inscription de la chedda au Patrimoine universel. La chedda tlemcénienne a été classée Patrimoine culturel immatériel de l'humanité le 5 décembre 2012 par l'Unesco et depuis la création du centre précité, d'importantes manifestations lui ont été consacrées afin de la promouvoir, la valoriser et la sauvegarder. "La chedda est un habit féminin algérien que nous souhaitons valoriser à travers toute l'Algérie, voire même à l'étranger, car il représente le summum du savoirfaire artisanal d'hommes et de femmes depuis l'époque zianide", a indiqué Bachir Naïma, attachée de restauration de l'habit du Centre national d'interprétation du costume traditionnel algérien de Tlemcen. Le costume traditionnel de Tlemcen, à savoir le kaftan et ses accessoires, a connu, au fil des temps, une évolution positive qui lui a permis de figurer parmi le Patrimoine de l'humanité. Porté par la femme zianide au quotidien et dans les grandes occasions festives telles que les mariages, le kaftan n'a cessé de progresser tant sur le plan du design et de la décoration que dans sa manière d'être porté. Les anciens portaient le kaftan avec la blouse pailletée faite à la mainpour assembler ensuite la blouse du "mensoudj" composée de fil doré et autres. "Notre souci dans le Centre d'interprétation du costume traditionnel algérien est de sauvegarder ce costume qui est le symbole de notre identité et de transmettre aux jeunes générations, notamment les filles, la manière correcte avec laquelle il est porté", a souligné Melle Bachir. La cérémonie de célébration de cet anniversaire a donné lieu à la projection d'un film-documentaire réalisé avec des artisans activant dans le domaine de la confection du kaftan tlemcenien et de ses différents accessoires, en présence d'hommes de culture et d'artistes qui ont bien voulu marquer cet événement historique, à savoir l'inscription de la chedda au Patrimoine universel. La chedda tlemcénienne a été classée Patrimoine culturel immatériel de l'humanité le 5 décembre 2012 par l'Unesco et depuis la création du centre précité, d'importantes manifestations lui ont été consacrées afin de la promouvoir, la valoriser et la sauvegarder.