Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar, a affirmé hier à Alger que le texte de loi d'orientation sur la recherche scientifique visait à renforcer le système de la recherche nationale en vue d'améliorer son rendement et d'exploiter ses résultats dans le domaine économique. Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar, a affirmé hier à Alger que le texte de loi d'orientation sur la recherche scientifique visait à renforcer le système de la recherche nationale en vue d'améliorer son rendement et d'exploiter ses résultats dans le domaine économique. Les mesures "pratiques" contenues dans la loi vise à optimiser la méthodologie générale de la recherche scientifique et à exploiter ses résultats dans le domaine économique pour réaliser les objectifs du développement, a indiqué M. Hadjar lors de la présentation du texte de loi de aux membres du Conseil de la nation. Le texte qui compte 61 articles propose de mettre en place des mécanismes en vue de sélectionner les programmes nationaux de recherche prioritaires, tout en donnant la possibilité aux départements ministériels de proposer des domaines et des créneaux de recherches considérés comme prioritaires, à travers l'installation de commissions sectorielles permanentes. Cette loi permet d'assurer le préfinancement aux entreprises innovatrices et de soutenir les opérateurs économiques chargés des activités de recherche et de développement, outre la possibilité de créer des centres d'innovation et du transfert technologique pour encourager la coopération entre les établissements de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique et les entreprises économiques. Le texte tend à développer les ressources humaines dans le domaine de la recherche scientifique et à mobiliser les compétences scientifiques nationales, à travers l'augmentation annuelle du nombre des chercheurs et la formation d'équipes de recherches pour développer la recherche coopérative. Il définit le processus de programmation des activités ainsi que les droits et les devoirs des chercheurs permanents et des chargés du soutien de la recherche, conformément aux statuts spécifiques garantissant l'autonomie de l'initiative scientifique, la liberté d'analyse, l'accès aux informations, la contribution à la diffusion des connaissances et la formation continue, a-t-il précisé. Les mesures "pratiques" contenues dans la loi vise à optimiser la méthodologie générale de la recherche scientifique et à exploiter ses résultats dans le domaine économique pour réaliser les objectifs du développement, a indiqué M. Hadjar lors de la présentation du texte de loi de aux membres du Conseil de la nation. Le texte qui compte 61 articles propose de mettre en place des mécanismes en vue de sélectionner les programmes nationaux de recherche prioritaires, tout en donnant la possibilité aux départements ministériels de proposer des domaines et des créneaux de recherches considérés comme prioritaires, à travers l'installation de commissions sectorielles permanentes. Cette loi permet d'assurer le préfinancement aux entreprises innovatrices et de soutenir les opérateurs économiques chargés des activités de recherche et de développement, outre la possibilité de créer des centres d'innovation et du transfert technologique pour encourager la coopération entre les établissements de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique et les entreprises économiques. Le texte tend à développer les ressources humaines dans le domaine de la recherche scientifique et à mobiliser les compétences scientifiques nationales, à travers l'augmentation annuelle du nombre des chercheurs et la formation d'équipes de recherches pour développer la recherche coopérative. Il définit le processus de programmation des activités ainsi que les droits et les devoirs des chercheurs permanents et des chargés du soutien de la recherche, conformément aux statuts spécifiques garantissant l'autonomie de l'initiative scientifique, la liberté d'analyse, l'accès aux informations, la contribution à la diffusion des connaissances et la formation continue, a-t-il précisé.