L'Algérie est à la 104e place sur les 109 pays étudiés d'après l'édition 2015-2016 de l'Indice mondial sur la compétitivité des talents (GTCI) repris hier par le site d'information TSA (Tout sur l'Algérie L'Algérie est à la 104e place sur les 109 pays étudiés d'après l'édition 2015-2016 de l'Indice mondial sur la compétitivité des talents (GTCI) repris hier par le site d'information TSA (Tout sur l'Algérie Placé sous la thématique "Attraction des talents et mobilité internationale" se concentre sur l'importante corrélation entre mouvement des talents et prospérité économique. L'Algérie se classe à la 104e place dans la productivité du travail, à la 106e place dans les exportations de haute valeur et à la 103e place pour la qualité des institutions scientifiques. Ce rapport souligne par ailleurs que l'Algérie est classée dernière du classement à la 109e place dans l'utilisation des technologies. Selon ce rapport GTCI 2015-16, la Tunisie est classée à la 73e position, alors que le Maroc est 93e. Par ailleurs, les Emirats arabes unis occupent la 23e position, le Qatar arrive 24e, l'Arabie saoudite 42e, le Kuwait 51e, la Turquie 63e, la Jordanie 70e, le Liban 77e, l'Egypte 88e. L'indice est calculé sur la base des points obtenus sur 61 paramètres. L'Algérie obtient une note de 27,964 sur 100. Les différents éléments sont répartis dans 6 catégories ou "piliers", que sont les éléments à permettre l'émergence des talents (et des affaires en général), les capacités d'attraction, la croissance (développement des compétences), la rétention, le travail et les compétences professionnelles (formation) et enfin, les compétences de haut niveau (supérieures). Parmi les 61 paramètres l'on retrouve des éléments de base comme la facilité de recruter (66e), l'efficacité de l'administration (93e) et ses relations avec le monde de l'entreprise (81e), ou la stabilité politique (98e). le domaine de l'attraction, l'indice note le niveau des investissements directs étrangers et le transfert de technologie (97e), la fuite des cerveaux (100e) ou la tolérance envers les immigrés (100e). Par ailleurs, dans le domaine du développement (formation), le GTCI évalue le classement des universités (72e), la qualité des écoles de management (95e) et la formation dans les entreprises (71e – données de 2007), ainsi que la liberté d'expression (104e). Pour le système des retraites, l'Algérie arrive 54e, l'un de ses meilleurs résultats, alors qu'elle est 70e en termes de taxation. Pour la sécurité durant la nuit, l'Algérie est classée 72e. Ces éléments font partie des paramètres qui permettent de retenir les compétences dans le pays. De plus, le GTCI inclue des indicateurs comme la productivité par employé, plaçant l'Algérie à la 62e place mondiale. Enfin, l'Algérie arrive 67e en termes de nombre de chercheurs, avec 165 pour un million d'habitants. Pour la qualité des institutions de recherche scientifique, l'Algérie arrive 103e avec une note de 2,63 sur 7. Placé sous la thématique "Attraction des talents et mobilité internationale" se concentre sur l'importante corrélation entre mouvement des talents et prospérité économique. L'Algérie se classe à la 104e place dans la productivité du travail, à la 106e place dans les exportations de haute valeur et à la 103e place pour la qualité des institutions scientifiques. Ce rapport souligne par ailleurs que l'Algérie est classée dernière du classement à la 109e place dans l'utilisation des technologies. Selon ce rapport GTCI 2015-16, la Tunisie est classée à la 73e position, alors que le Maroc est 93e. Par ailleurs, les Emirats arabes unis occupent la 23e position, le Qatar arrive 24e, l'Arabie saoudite 42e, le Kuwait 51e, la Turquie 63e, la Jordanie 70e, le Liban 77e, l'Egypte 88e. L'indice est calculé sur la base des points obtenus sur 61 paramètres. L'Algérie obtient une note de 27,964 sur 100. Les différents éléments sont répartis dans 6 catégories ou "piliers", que sont les éléments à permettre l'émergence des talents (et des affaires en général), les capacités d'attraction, la croissance (développement des compétences), la rétention, le travail et les compétences professionnelles (formation) et enfin, les compétences de haut niveau (supérieures). Parmi les 61 paramètres l'on retrouve des éléments de base comme la facilité de recruter (66e), l'efficacité de l'administration (93e) et ses relations avec le monde de l'entreprise (81e), ou la stabilité politique (98e). le domaine de l'attraction, l'indice note le niveau des investissements directs étrangers et le transfert de technologie (97e), la fuite des cerveaux (100e) ou la tolérance envers les immigrés (100e). Par ailleurs, dans le domaine du développement (formation), le GTCI évalue le classement des universités (72e), la qualité des écoles de management (95e) et la formation dans les entreprises (71e – données de 2007), ainsi que la liberté d'expression (104e). Pour le système des retraites, l'Algérie arrive 54e, l'un de ses meilleurs résultats, alors qu'elle est 70e en termes de taxation. Pour la sécurité durant la nuit, l'Algérie est classée 72e. Ces éléments font partie des paramètres qui permettent de retenir les compétences dans le pays. De plus, le GTCI inclue des indicateurs comme la productivité par employé, plaçant l'Algérie à la 62e place mondiale. Enfin, l'Algérie arrive 67e en termes de nombre de chercheurs, avec 165 pour un million d'habitants. Pour la qualité des institutions de recherche scientifique, l'Algérie arrive 103e avec une note de 2,63 sur 7.