Le rideau est tombé avant-hier sur les festivités de la huitième édition du salon Djurdjura des arts plastiques abritée par la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou et son annexe d'Azazga depuis le 11 avril dernier. Le rideau est tombé avant-hier sur les festivités de la huitième édition du salon Djurdjura des arts plastiques abritée par la maison de la culture Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou et son annexe d'Azazga depuis le 11 avril dernier. La cérémonie de clôture de la manifestation, qui a connu la participation de plus de 60 artistes peintres issus de neuf wilayas du pays, a été marquée par la remise de diplômes aux plasticiens participants ainsi qu'aux lauréats des ateliers de miniature et de photographie. La directrice de la culture, Nabila Goumeziane, a affirmé, à l'occasion, que le programme de la 8ème adition a été exécuté dans sa totalité et que les élèves des écoles des Beaux-arts, présents à la maison de la culture, ont manifesté un grand intérêt aux travaux d'ateliers, mais aussi aux conférences programmées au niveau de la salle du petit théâtre. Mme Gouméziane a également mis en exergue la qualité des oeuvres d'arts qui ont eu les honneurs de la cimaise de la maison de la culture ou de son annexe d'Azazga et qui, a-t-elle ajouté, "ont été adaptées à la thématique retenue, à savoir "Regard des arts sur les cultures populaires"". La directrice de la culture de la wilaya de Tizi- Ouzou a rappelé, par ailleurs, sa disponibilité à accompagner les artistes et les écoles des Beaux-arts dans leur travail dans le but de promouvoir l'activité culturelle au niveau de la région. Dans le même ordre d'idées, les artistes peintres, diplômés ou autodidactes n'ayant toujours pas obtenu leur carte d'artiste, ont été conviés à se rapprocher des services de la direction pour retirer le formulaire de demande de la carte et déposer leurs dossiers. "Même si l'artiste n'a pas de diplôme dans les arts plastiques, il a le droit de demander sa carte d'artiste pour le simple fait qu'il a participé à une exposition ou une manifestation culturelle", a-t-elle expliqué, invitant ainsi les concernés à se rapprocher des services de la direction pour recevoir des orientations sur le sujet. Et dans la perspective d'offrir aux plasticiens des espaces d'exposition en dehors des salons et des activités officielles, l'intervenante a invité les organisateurs et les participants à initier des rencontres locales pour échanger leurs expériences et présenter leurs oeuvres. "Nous devons aussi penser dès maintenant à préparer la neuvième édition du salon qui aura lieu l'année prochaine tout en prenant en compte les avis exprimés par les artistes et le public dans le registre de doléances mis à leur disposition pendant toute la durée de l'évènement", a relevé Mme Goumeziane. La 8e édition du salon a rendu cette année hommage à deux icônes de la peinture algérienne, Mohammed Bouzid et Laroussi Abdelhamid. La cérémonie de clôture de la manifestation, qui a connu la participation de plus de 60 artistes peintres issus de neuf wilayas du pays, a été marquée par la remise de diplômes aux plasticiens participants ainsi qu'aux lauréats des ateliers de miniature et de photographie. La directrice de la culture, Nabila Goumeziane, a affirmé, à l'occasion, que le programme de la 8ème adition a été exécuté dans sa totalité et que les élèves des écoles des Beaux-arts, présents à la maison de la culture, ont manifesté un grand intérêt aux travaux d'ateliers, mais aussi aux conférences programmées au niveau de la salle du petit théâtre. Mme Gouméziane a également mis en exergue la qualité des oeuvres d'arts qui ont eu les honneurs de la cimaise de la maison de la culture ou de son annexe d'Azazga et qui, a-t-elle ajouté, "ont été adaptées à la thématique retenue, à savoir "Regard des arts sur les cultures populaires"". La directrice de la culture de la wilaya de Tizi- Ouzou a rappelé, par ailleurs, sa disponibilité à accompagner les artistes et les écoles des Beaux-arts dans leur travail dans le but de promouvoir l'activité culturelle au niveau de la région. Dans le même ordre d'idées, les artistes peintres, diplômés ou autodidactes n'ayant toujours pas obtenu leur carte d'artiste, ont été conviés à se rapprocher des services de la direction pour retirer le formulaire de demande de la carte et déposer leurs dossiers. "Même si l'artiste n'a pas de diplôme dans les arts plastiques, il a le droit de demander sa carte d'artiste pour le simple fait qu'il a participé à une exposition ou une manifestation culturelle", a-t-elle expliqué, invitant ainsi les concernés à se rapprocher des services de la direction pour recevoir des orientations sur le sujet. Et dans la perspective d'offrir aux plasticiens des espaces d'exposition en dehors des salons et des activités officielles, l'intervenante a invité les organisateurs et les participants à initier des rencontres locales pour échanger leurs expériences et présenter leurs oeuvres. "Nous devons aussi penser dès maintenant à préparer la neuvième édition du salon qui aura lieu l'année prochaine tout en prenant en compte les avis exprimés par les artistes et le public dans le registre de doléances mis à leur disposition pendant toute la durée de l'évènement", a relevé Mme Goumeziane. La 8e édition du salon a rendu cette année hommage à deux icônes de la peinture algérienne, Mohammed Bouzid et Laroussi Abdelhamid.
