Cinquante-deux musiciens, venus de la Tunisie, observent depuis trois jours une grève de la faim à Constantine où ils sont venus pour prendre part à la cérémonie de clôture de Constantine, capitale de la Culture arabe. Cinquante-deux musiciens, venus de la Tunisie, observent depuis trois jours une grève de la faim à Constantine où ils sont venus pour prendre part à la cérémonie de clôture de Constantine, capitale de la Culture arabe. Deux membres de la troupe, Makram Habachi et Mehdi Ammar, dénoncent l'arbitraire dont ils ont fait objet, selon eux, de la part des organisateurs. Selon eux, le directeur de l'ONCI et le coordinateur de CCCA ont refusé de s'acquitter de leur dette à l'égard des artistes. Pourtant toutes les procédures comme l'attestent des documents présenté par les membres du groupe au site d'information TSA. La troupe devait se produire dans la soirée du 19 avril à la grande salle de spectacle Ahmed-Bey. Mais, au moment des dernières répétitions, les deux responsables algériens demandent au chef de la troupe Mehdi Ammar de revoir le cachet à la baisse. "Soit vous acceptez une somme raisonnable et vous rentrez chez vous, soit vous allez présenter votre spectacle ailleurs", leur ont-ils dit, selon les deux artistes tunisiens. Ce que la troupe a refusé de faire. Une partie de la troupe devait repartir vers la Tunisie ce matin, tandis que des représentants sont restés à Constantine pour réclamer leur dû. Nos tentatives de joindre le directeur de l'ONCI et le coordinateur de CCCA sont restées vaines. Deux membres de la troupe, Makram Habachi et Mehdi Ammar, dénoncent l'arbitraire dont ils ont fait objet, selon eux, de la part des organisateurs. Selon eux, le directeur de l'ONCI et le coordinateur de CCCA ont refusé de s'acquitter de leur dette à l'égard des artistes. Pourtant toutes les procédures comme l'attestent des documents présenté par les membres du groupe au site d'information TSA. La troupe devait se produire dans la soirée du 19 avril à la grande salle de spectacle Ahmed-Bey. Mais, au moment des dernières répétitions, les deux responsables algériens demandent au chef de la troupe Mehdi Ammar de revoir le cachet à la baisse. "Soit vous acceptez une somme raisonnable et vous rentrez chez vous, soit vous allez présenter votre spectacle ailleurs", leur ont-ils dit, selon les deux artistes tunisiens. Ce que la troupe a refusé de faire. Une partie de la troupe devait repartir vers la Tunisie ce matin, tandis que des représentants sont restés à Constantine pour réclamer leur dû. Nos tentatives de joindre le directeur de l'ONCI et le coordinateur de CCCA sont restées vaines.