Des inconnus ont tué à coups de machette un employé d'un monastère hindou au Bangladesh vendredi, nouvel épisode d'une longue série de crimes similaires ayant visé en particulier des membres de minorités religieuses. Des inconnus ont tué à coups de machette un employé d'un monastère hindou au Bangladesh vendredi, nouvel épisode d'une longue série de crimes similaires ayant visé en particulier des membres de minorités religieuses. Nityaranjan Pande a été tué alors qu'il faisait sa marche quotidienne du matin dans le district de Pabna où se trouve le monastère Shri Shri Thakur Anukulchandra Ashram, selon la police. L'assassinat n'a pas été revendiqué dans l'immédiat. Une cinquantaine d'assassinats ont été commis en trois ans au Bangladesh, la plupart revendiqués par l'organisation Daesh ou par la bran dernier, un prêtre hindou a été retrouvé dans une rizière près de sa maison, la tête pratiquement détachée du cou, dans l'ouest du Bangladesh. Dimanche, un épicier chrétien a été tué à l'arme blanche près d'une église. Le gouvernement de Sheikh Hasina, soumis à une pression croissante de la communauté internationale pour mettre fin à cette vague de violences, impute ces assassinats à des islamistes bangladais, rejetant les revendications des deux groupes djihadistes. La police a lancé cette semaine une série d'opérations contre des responsables présumés de ces assassinats, tuant cinq membres du Jamayetul Mujahideen Bangladesh au cours de ces coups de filet. Nityaranjan Pande a été tué alors qu'il faisait sa marche quotidienne du matin dans le district de Pabna où se trouve le monastère Shri Shri Thakur Anukulchandra Ashram, selon la police. L'assassinat n'a pas été revendiqué dans l'immédiat. Une cinquantaine d'assassinats ont été commis en trois ans au Bangladesh, la plupart revendiqués par l'organisation Daesh ou par la bran dernier, un prêtre hindou a été retrouvé dans une rizière près de sa maison, la tête pratiquement détachée du cou, dans l'ouest du Bangladesh. Dimanche, un épicier chrétien a été tué à l'arme blanche près d'une église. Le gouvernement de Sheikh Hasina, soumis à une pression croissante de la communauté internationale pour mettre fin à cette vague de violences, impute ces assassinats à des islamistes bangladais, rejetant les revendications des deux groupes djihadistes. La police a lancé cette semaine une série d'opérations contre des responsables présumés de ces assassinats, tuant cinq membres du Jamayetul Mujahideen Bangladesh au cours de ces coups de filet.