Beaucoup d'estivants ont préféré annuler leurs vacances à l'étranger. La plupart des destinations étant chères, ils se rabattent sur les plages du littoral. Beaucoup d'estivants ont préféré annuler leurs vacances à l'étranger. La plupart des destinations étant chères, ils se rabattent sur les plages du littoral. Les juillettistes peuvent attendre. La plupart des tarifs pour court séjour dans les destinations de rêve : Turquie, Malaise ou même Espagne sont hors de portée pour les petites bourses. A titre illustratif, les agences proposent actuellement des tarifs de 120.000 DA pour Antalya en Turquie avec demi-pension et à Istanbul pour une semaine, l'offre est de 140.000 DA. Pour ceux de la classe huppée, un séjour d'une semaine à Kuala Lampur en Malaisie s'offre à 210.000 DA. Ces circuits sont bien entendu organisés en groupe de personnes qui généralement doivent se limiter à visiter quelques sites avec un bus, mais l'hébergement dans un hôtel étoilé ne fait pas l'affaire de tous puisque le voyageur ne peut s'aventurer seul en dehors des points officiels à visiter. Reste la Tunisie qui constitue la destination attractive malgré une relative stabilité sécuritaire, les Algériens sont nombreux à ne pas rater l'occasion avec des tarifs abordables pour moins de 40.000 DA pour un séjour de 10 nuitées. Certaines agences baissent même les prix à 34.000 DA pour package famille. C'est dire que le voyage à l'étranger pour évasion ou détente est l'apanage des fortunés. La plupart des citoyens en congé optent finalement pour le tourisme balnéaire où le rush des estivants dans les plages est notable. Les plages restent la seule bouffée d'oxygène entre amis ou en famille qui ne lésinent pas sur les moyens pour une journée au bord des plages. Mais avec un littoral bondé de monde, quelques-uns préfèrent s'éloigner avec une possibilité de trouver des petits hôtels, auberges ou même des appartements pour location. Les plus en vue actuellement, ce sont les stations balnéaires de l'est du pays. Evidemment, Jijel, Annaba et Collo à Skikda voient déferler des milliers de visiteurs et la plupart des hôtels ou bungalow affichent déjà complet. Certains nous ont assuré avoir loué des appartements ou niveau de villa dès le mois de mai en payant une avance sur un loyer d'un mois. D'autres qui ont des liens familiaux dans ces villes, ont l'aubaine à prolonger leur séjour sans trop de frais à consentir pour l'hébergement. Des lieux méconnus à visiter On note que l'Algérie dispose actuellement de 487 plages dont 213 sont interdites à la baignade. Dans cette abondance de plages, des noms comme Stora près de Skikda qui est un coin doré et paisible pour apprécier un repos bien mérité, à Annaba, les Algériens préfèrent la Corniche et Seraidi comme havre de paix tant les plages sont propres et surveillées. A la différence des autres, ces lieux sont renforcés par une présence sécuritaire fort appréciée par les vacanciers. Les sites romains et numides sont près de ces lieux de villégiatures et les responsables locaux en ont fait des places privilégiées pour des touristes en herbe ou des curieux qui n'hésitent pas à y faire des haltes. Il y a également la longue côte sinueuse de la Kabylie à travers des reliefs tourmentés et ces plages qui commencent déjà à faire le plein. Des aménagements ont été réalisés sur des petites villes de la côte de Bejaia à l'instar de Tigzirt, Béni-Ksila, Aokas et Boulimat. Ceux qui y sont habitués prennent le chemin de ces endroits féeriques et n'hésitent pas à louer pour quelques jours sauf qu'il faut réserver à l'avance dans un hôtel ou complexe qui commencent à être envahis. Leur label touristique et leurs prestations de service sans équivoque, ont aidé à travailler une image bien taillée sur le marbre pour un séjour court ou long pour les familles. C'est ainsi que la façade maritime de la Grande et Petite Kabylie est devenue une des destinations attractives dès que l'été pointe son horizon. Mais il faut bien le dire qu'il existe bien des endroits non défrichés et qui restent méconnus du grand public que certains aventuriers ou amateurs curieux ont découvert. Il s'agit à titre d'exemple de Cap Carbon sur le littoral oranais dont un village écologique est prévu, les îles Habibas près d'Aïn-Témouchent qui est non encore exploitée ou à l'Est encore où sévissent des belles plages dorées près d'El Tarf. Des endroits où le vide sidéral règne en maître alors que les autorités ne cessent de parler de pôles touristiques à créer. Les juillettistes peuvent attendre. La plupart des tarifs pour court séjour dans les destinations de rêve : Turquie, Malaise ou même Espagne sont hors de portée pour les petites bourses. A titre illustratif, les agences proposent actuellement des tarifs de 120.000 DA pour Antalya en Turquie avec demi-pension et à Istanbul pour une semaine, l'offre est de 140.000 DA. Pour ceux de la classe huppée, un séjour d'une semaine à Kuala Lampur en Malaisie s'offre à 210.000 DA. Ces circuits sont bien entendu organisés en groupe de personnes qui généralement doivent se limiter à visiter quelques sites avec un bus, mais l'hébergement dans un hôtel étoilé ne fait pas l'affaire de tous puisque le voyageur ne peut s'aventurer seul en dehors des points officiels à visiter. Reste la Tunisie qui constitue la destination attractive malgré une relative stabilité sécuritaire, les Algériens sont nombreux à ne pas rater l'occasion avec des tarifs abordables pour moins de 40.000 DA pour un séjour de 10 nuitées. Certaines agences baissent même les prix à 34.000 DA pour package famille. C'est dire que le voyage à l'étranger pour évasion ou détente est l'apanage des fortunés. La plupart des citoyens en congé optent finalement pour le tourisme balnéaire où le rush des estivants dans les plages est notable. Les plages restent la seule bouffée d'oxygène entre amis ou en famille qui ne lésinent pas sur les moyens pour une journée au bord des plages. Mais avec un littoral bondé de monde, quelques-uns préfèrent s'éloigner avec une possibilité de trouver des petits hôtels, auberges ou même des appartements pour location. Les plus en vue actuellement, ce sont les stations balnéaires de l'est du pays. Evidemment, Jijel, Annaba et Collo à Skikda voient déferler des milliers de visiteurs et la plupart des hôtels ou bungalow affichent déjà complet. Certains nous ont assuré avoir loué des appartements ou niveau de villa dès le mois de mai en payant une avance sur un loyer d'un mois. D'autres qui ont des liens familiaux dans ces villes, ont l'aubaine à prolonger leur séjour sans trop de frais à consentir pour l'hébergement. Des lieux méconnus à visiter On note que l'Algérie dispose actuellement de 487 plages dont 213 sont interdites à la baignade. Dans cette abondance de plages, des noms comme Stora près de Skikda qui est un coin doré et paisible pour apprécier un repos bien mérité, à Annaba, les Algériens préfèrent la Corniche et Seraidi comme havre de paix tant les plages sont propres et surveillées. A la différence des autres, ces lieux sont renforcés par une présence sécuritaire fort appréciée par les vacanciers. Les sites romains et numides sont près de ces lieux de villégiatures et les responsables locaux en ont fait des places privilégiées pour des touristes en herbe ou des curieux qui n'hésitent pas à y faire des haltes. Il y a également la longue côte sinueuse de la Kabylie à travers des reliefs tourmentés et ces plages qui commencent déjà à faire le plein. Des aménagements ont été réalisés sur des petites villes de la côte de Bejaia à l'instar de Tigzirt, Béni-Ksila, Aokas et Boulimat. Ceux qui y sont habitués prennent le chemin de ces endroits féeriques et n'hésitent pas à louer pour quelques jours sauf qu'il faut réserver à l'avance dans un hôtel ou complexe qui commencent à être envahis. Leur label touristique et leurs prestations de service sans équivoque, ont aidé à travailler une image bien taillée sur le marbre pour un séjour court ou long pour les familles. C'est ainsi que la façade maritime de la Grande et Petite Kabylie est devenue une des destinations attractives dès que l'été pointe son horizon. Mais il faut bien le dire qu'il existe bien des endroits non défrichés et qui restent méconnus du grand public que certains aventuriers ou amateurs curieux ont découvert. Il s'agit à titre d'exemple de Cap Carbon sur le littoral oranais dont un village écologique est prévu, les îles Habibas près d'Aïn-Témouchent qui est non encore exploitée ou à l'Est encore où sévissent des belles plages dorées près d'El Tarf. Des endroits où le vide sidéral règne en maître alors que les autorités ne cessent de parler de pôles touristiques à créer.