Les scandales se succèdent dans le secteur du tourisme. En effet, une semaine après le scandale du détournement du foncier touristique, voila qu'une autre affaire vient de lui succéder. Les scandales se succèdent dans le secteur du tourisme. En effet, une semaine après le scandale du détournement du foncier touristique, voila qu'une autre affaire vient de lui succéder. Il s'agit de l'attribution illégale de 65 hectares au parc des grands vents communément appelé - Dounia parc -. Et c'est le ministre en charge de la gestion du secteur qui a révélé les deux scandaleuses affaires qui en disent long sur la transgression chronique de la loi par ceux-là même qui sont en charge de son application. Le ministre de l'Aménagement du Territoire, du Tourisme et de l'Artisanat, Abdelouahab Nouri, a en effet fustigé, jeudi à Tipasa, la distribution "illégale" de quelque 65 ha sur un total de 1.059 ha, du Parc des grands vents (Dounia parc) d'Alger, destinés à constituer un parc citadin de villégiature pour les habitants de la capitale. Dans une déclaration à la presse, au terme d'une visite de travail dans la wilaya, le ministre s'est dit "abasourdi" après avoir pris connaissance du dossier Dounia parc, qualifiant la situation de "très grave" et nécessitant des "mesures urgentes et rigoureuses". Visiblement très dépité par cette nouvelle affaire le ministre dira que "des lots de terrains ont été distribués dans un irrespect total de la législation en la matière et loin de toute transparence, en vue de l'implantation de projets imaginaires, représentés pour la plupart d'entre eux, par des fast-food". Après avoir souligné la résiliation, par ses services, des contrats relatifs à 96 projets, dont une quarantaine de fast-food, M. Nouri a soutenu qu'il est "impossible d'insuffler le développement du secteur touristique, par l'encouragement de la culture du fastfood, et du déni de la loi", assurant que la distribution des lots en question s'est faite, également, en l'absence de plans d'aménagement territoriaux, d'où la gravité de la situation. S'exprimant à propos des bénéficiaires de ces lots, il a signalé qu'ils seront indemnisés, et que les terrains seront récupérés. Des révélations d'une extrême gravité sur lagestion de ce grand projet qui n'a pas, décidément, fini de parler de lui depuis son lancement il y a déjà de très nombreuses années. En effet le projet Dounia parc a fait couler beaucoup d'encre tant il est caractérisé par de nombreuses zones d'ombres. Mais le ministre n'a pas dit si son département va ouvrir une enquête pour déterminer les responsabilités des uns et des autres et, par voie de conséquence, sévir contre ceux qui sont à l'origine de ce scandale de l'attribution de ces 65 hectares. D'aucuns n'hésitent pas d'ores et déjà de ponter un doigt accusateur en direction de l'ancien ministre en charge du secteur, Amar Ghoul en l'occurrence. Cela dit cette affaire intervient juste une semaine après celle relative au détournement du foncier touristique dans 14 wilayas côtières. Une affaire, elle aussi, révélée par le ministre Abdelwahab Nouri. Ce dernier a d'ailleurs annoncé l'institution d'une commission d'enquête afin de faire toute la lumière sur ces agissements. D'ailleurs s''exprimant sur les Zones d'expansion touristique (ZET), le ministre a signalé des préparatifs en cours pour évaluer la situation de ces zones créées en vertu d'une circulaire, datée de 1989. "Le foncier touristique est un sujet sensible qu'il faut traiter avec toute l'attention nécessaire, et dans le respect des Plans d'aménagement territoriaux pour éviter l'anarchie", a-t-il soutenu. D'autre part, le ministre a fait cas de l'élaboration en cours d'une "évaluation globale de la saison estivale 2016, en vue de faire le constat de ses insuffisances, afin d'y remédier à l'avenir", estimant que "l'Algérie possède les capacités l'habilitant à offrir de meilleurs prestations touristiques" . Il a notamment relevé le problème de parcage des véhicules rencontrés par les automobilistes sur tout le littoral algérien, parallèlement à des insuffisances en matière d'hygiène du milieu, appelant les citoyens à s'impliquer davantage dans la préservation de l'environnement. Il s'agit de l'attribution illégale de 65 hectares au parc des grands vents communément appelé - Dounia parc -. Et c'est le ministre en charge de la gestion du secteur qui a révélé les deux scandaleuses affaires qui en disent long sur la transgression chronique de la loi par ceux-là même qui sont en charge de son application. Le ministre de l'Aménagement du Territoire, du Tourisme et de l'Artisanat, Abdelouahab Nouri, a en effet fustigé, jeudi à Tipasa, la distribution "illégale" de quelque 65 ha sur un total de 1.059 ha, du Parc des grands vents (Dounia parc) d'Alger, destinés à constituer un parc citadin de villégiature pour les habitants de la capitale. Dans une déclaration à la presse, au terme d'une visite de travail dans la wilaya, le ministre s'est dit "abasourdi" après avoir pris connaissance du dossier Dounia parc, qualifiant la situation de "très grave" et nécessitant des "mesures urgentes et rigoureuses". Visiblement très dépité par cette nouvelle affaire le ministre dira que "des lots de terrains ont été distribués dans un irrespect total de la législation en la matière et loin de toute transparence, en vue de l'implantation de projets imaginaires, représentés pour la plupart d'entre eux, par des fast-food". Après avoir souligné la résiliation, par ses services, des contrats relatifs à 96 projets, dont une quarantaine de fast-food, M. Nouri a soutenu qu'il est "impossible d'insuffler le développement du secteur touristique, par l'encouragement de la culture du fastfood, et du déni de la loi", assurant que la distribution des lots en question s'est faite, également, en l'absence de plans d'aménagement territoriaux, d'où la gravité de la situation. S'exprimant à propos des bénéficiaires de ces lots, il a signalé qu'ils seront indemnisés, et que les terrains seront récupérés. Des révélations d'une extrême gravité sur lagestion de ce grand projet qui n'a pas, décidément, fini de parler de lui depuis son lancement il y a déjà de très nombreuses années. En effet le projet Dounia parc a fait couler beaucoup d'encre tant il est caractérisé par de nombreuses zones d'ombres. Mais le ministre n'a pas dit si son département va ouvrir une enquête pour déterminer les responsabilités des uns et des autres et, par voie de conséquence, sévir contre ceux qui sont à l'origine de ce scandale de l'attribution de ces 65 hectares. D'aucuns n'hésitent pas d'ores et déjà de ponter un doigt accusateur en direction de l'ancien ministre en charge du secteur, Amar Ghoul en l'occurrence. Cela dit cette affaire intervient juste une semaine après celle relative au détournement du foncier touristique dans 14 wilayas côtières. Une affaire, elle aussi, révélée par le ministre Abdelwahab Nouri. Ce dernier a d'ailleurs annoncé l'institution d'une commission d'enquête afin de faire toute la lumière sur ces agissements. D'ailleurs s''exprimant sur les Zones d'expansion touristique (ZET), le ministre a signalé des préparatifs en cours pour évaluer la situation de ces zones créées en vertu d'une circulaire, datée de 1989. "Le foncier touristique est un sujet sensible qu'il faut traiter avec toute l'attention nécessaire, et dans le respect des Plans d'aménagement territoriaux pour éviter l'anarchie", a-t-il soutenu. D'autre part, le ministre a fait cas de l'élaboration en cours d'une "évaluation globale de la saison estivale 2016, en vue de faire le constat de ses insuffisances, afin d'y remédier à l'avenir", estimant que "l'Algérie possède les capacités l'habilitant à offrir de meilleurs prestations touristiques" . Il a notamment relevé le problème de parcage des véhicules rencontrés par les automobilistes sur tout le littoral algérien, parallèlement à des insuffisances en matière d'hygiène du milieu, appelant les citoyens à s'impliquer davantage dans la préservation de l'environnement.