Selon Amnesty International, 75.000 réfugiés seraient bloqués à la frontière jordano-syrienne depuis deux mois sans aide humanitaire. Selon Amnesty International, 75.000 réfugiés seraient bloqués à la frontière jordano-syrienne depuis deux mois sans aide humanitaire. Les réfugiés commencent à manquer d'eau et de nourriture et les maladies se développent dans le camp, informe l'organisation jeudi dans un communiqué. Amnesty International réclame l'intervention de la communauté internationale. Les milliers de réfugiés syriens sont piégés dans une zone appelée "la berme", du nom du mur de sable marquant la frontière jordanienne. Le pays a fermé sa frontière depuis le 21 juin 2016 à la suite d'un attentat qui a fait sept morts parmi les gardes frontières. Depuis lors, les autorités interdisent aux organisations humanitaires de se rendre dans cette zone désertique. La nourriture doit être larguée par-dessus le mur de sable au moyen de grues. La situation se dégrade à l'intérieur du camp dû au manque d'hygiène, aux mauvaises conditions sanitaires et à l'accès limité à l'eau, indique l'ONG. Par conséquence, les maladies telles que l'hépatite et la jaunisse se développent. Le nombre exact de décès est difficile à confirmer, selon l'organisation, car l'accès à la zone est très restreint. Les réfugiés commencent à manquer d'eau et de nourriture et les maladies se développent dans le camp, informe l'organisation jeudi dans un communiqué. Amnesty International réclame l'intervention de la communauté internationale. Les milliers de réfugiés syriens sont piégés dans une zone appelée "la berme", du nom du mur de sable marquant la frontière jordanienne. Le pays a fermé sa frontière depuis le 21 juin 2016 à la suite d'un attentat qui a fait sept morts parmi les gardes frontières. Depuis lors, les autorités interdisent aux organisations humanitaires de se rendre dans cette zone désertique. La nourriture doit être larguée par-dessus le mur de sable au moyen de grues. La situation se dégrade à l'intérieur du camp dû au manque d'hygiène, aux mauvaises conditions sanitaires et à l'accès limité à l'eau, indique l'ONG. Par conséquence, les maladies telles que l'hépatite et la jaunisse se développent. Le nombre exact de décès est difficile à confirmer, selon l'organisation, car l'accès à la zone est très restreint.