La désignation de l'entraîneur belge Georges Leekens à la tête de la barre technique de la sélection algérienne de football ne fait pas forcément l'unanimité chez les Algériens, qui se partagent entre pour et contre. La désignation de l'entraîneur belge Georges Leekens à la tête de la barre technique de la sélection algérienne de football ne fait pas forcément l'unanimité chez les Algériens, qui se partagent entre pour et contre. Âgé de 67 ans, le technicien belge Georges Leekens avait déjà fait un premier petit passage à la tête de la barre technique de la sélection algérienne en 2003, avant de céder sa place à l'entraîneur algérien Rabah Saâdan. En effet, son retour en Algérie cette fois-ci divise les techniciens en la matière. Si certains ont qualifié de ‘'mauvais'' le choix de la FAF, d'autres confirment qu'il est le mieux placé pour diriger les Verts en ce moment. Mohamed Mihoubi qui était l'adjoint de Leekens à cette époque confirme que cet entraîneur pourra réussir quelque chose avec les Verts en raison de son caractère et sa bonne relation avec les joueurs. ‘'Je ne peux pas faire de commentaire sur le choix de la FAF. Ce que je peux dire, Leekens possède une bonne méthode de communication. C'est ce qui manque d'ailleurs pour les joueurs algériens qui sont tous issus de l'autre côté de la mer. Il n'a pas un style de jeu propre à lui mais il le confectionne en fonction de l'effectif et de l'adversaire'', s'est-il contenté de dire. Les techniciens algériens ne partagent pas forcément le même avis, mais la plupart d'entre eux avouent qu'ils s'attendaient à une grosse pointure pour une grande sélection comme l'Algérie. Mais cela exige, selon le président Raouraoua, de gros moyens financiers. Adel Amrouche qui vit actuellement en Belgique connaît parfaitement bien cet entraîneur et confirme qu'il trop connu dans son pays. ‘'Leekens est un entraîneur très connu en Belgique. Il est connu pour son jeu proprement défensif. Peut-être que cela va constituer un complémentaire puisque l'équipe joue l'offensif et lui c'est quelqu'un qui ferme le jeu. Une chose est sûre, cet entraîneur pourra apporter un plus sur le plan défensif, où l'équipe trouvait quelques difficultés'', a indiqué l'ancien entraîneur de l'USM Alger et de pas mal d'équipe africaines. Le même son de cloche pour Ali Fergane, l'ancien sélectionneur national. ‘'L'avenir nous dira si la FAF a fait un bon choix ou pas. Ce que je peux dire, tout le monde s'attendait à un choix plus judicieux. Maintenant, il faut laisser cet entraîneur travailler. J'espère qu'il va réussir son aventure avec les Verts contrairement à son passé'', a-t-il indiqué. De leur côté, les inconditionnels des Verts se disent surpris par la désignation de cet entraîneur à la tête de la selection algérienne. Les supporters sont unanimes à dire que l'Algérie possède une grande équipe qui mérite un entraîneur à la hauteur de son standing. Il aura du pain sur la planche Une chose est sûre, Leekens, qui n'y est resté que six mois avec les Verts en 2003, aura du pain sur la planche cette fois-ci. Les membres du bureau fédéral qui ont approuvé à l'unanimité ce choix à l'occasion de l'Assemblée générale de la FAF, tenue jeudi, ont fixé la qualification à la Coupe du monde 2018 comme principal objectif. Le faux-pas concédé le 9 octobre dernier au stade de Blida face au Cameroun (1-1) a mis la sélection nationale dans de sales draps avant le déplacement truffé d'embûches à Uyo, prévu le 12 novembre prochain. Avant la suite des éliminatoires de la Coupe du monde, il y a la phase finale de la Coupe d'Afrique des nations 2017 au Gabon, prévu en janvier et février prochains. Cette fois-ci, l'Algérie mise sur un titre continental. Cet entraîneur n'aura pas beaucoup de temps pour connaître l'ensemble des joueurs puisque le prochain stage ne débutera qu'une semaine avant le rendez- vous nigérian. Entraîner cette sélection algérienne avec son armada de joueurs d'expérience et à vocation offensive, l'ancien défenseur belge est appelé à revoir sa copie pour éviter le scenario vécu au pays de Carthage. Avec sa qualification historique aux huitièmes de finale de la Coupe du monde et la place qu'elle occupe au niveau continental, la sélection algérienne ne doit pas s'arrêter en si bon chemin. Maintenir une certaine dynamique déclenchée il y a plus de cinq années n'est pas une simple sinécure. Et puis, les matchs en Afrique ont leur particularité. Affronter des adversaires comme le Nigeria, Cameroun, Sénégal n'est guère une tâche facile pour les joueurs algériens qui ont l'habitude d'évoluer dans un climat plus frais. Les Verts sont, donc, avertis et le nouvel entraîneur aura comme objectif de faire mieux que ses prédécesseurs. Âgé de 67 ans, le technicien belge Georges Leekens avait déjà fait un premier petit passage à la tête de la barre technique de la sélection algérienne en 2003, avant de céder sa place à l'entraîneur algérien Rabah Saâdan. En effet, son retour en Algérie cette fois-ci divise les techniciens en la matière. Si certains ont qualifié de ‘'mauvais'' le choix de la FAF, d'autres confirment qu'il est le mieux placé pour diriger les Verts en ce moment. Mohamed Mihoubi qui était l'adjoint de Leekens à cette époque confirme que cet entraîneur pourra réussir quelque chose avec les Verts en raison de son caractère et sa bonne relation avec les joueurs. ‘'Je ne peux pas faire de commentaire sur le choix de la FAF. Ce que je peux dire, Leekens possède une bonne méthode de communication. C'est ce qui manque d'ailleurs pour les joueurs algériens qui sont tous issus de l'autre côté de la mer. Il n'a pas un style de jeu propre à lui mais il le confectionne en fonction de l'effectif et de l'adversaire'', s'est-il contenté de dire. Les techniciens algériens ne partagent pas forcément le même avis, mais la plupart d'entre eux avouent qu'ils s'attendaient à une grosse pointure pour une grande sélection comme l'Algérie. Mais cela exige, selon le président Raouraoua, de gros moyens financiers. Adel Amrouche qui vit actuellement en Belgique connaît parfaitement bien cet entraîneur et confirme qu'il trop connu dans son pays. ‘'Leekens est un entraîneur très connu en Belgique. Il est connu pour son jeu proprement défensif. Peut-être que cela va constituer un complémentaire puisque l'équipe joue l'offensif et lui c'est quelqu'un qui ferme le jeu. Une chose est sûre, cet entraîneur pourra apporter un plus sur le plan défensif, où l'équipe trouvait quelques difficultés'', a indiqué l'ancien entraîneur de l'USM Alger et de pas mal d'équipe africaines. Le même son de cloche pour Ali Fergane, l'ancien sélectionneur national. ‘'L'avenir nous dira si la FAF a fait un bon choix ou pas. Ce que je peux dire, tout le monde s'attendait à un choix plus judicieux. Maintenant, il faut laisser cet entraîneur travailler. J'espère qu'il va réussir son aventure avec les Verts contrairement à son passé'', a-t-il indiqué. De leur côté, les inconditionnels des Verts se disent surpris par la désignation de cet entraîneur à la tête de la selection algérienne. Les supporters sont unanimes à dire que l'Algérie possède une grande équipe qui mérite un entraîneur à la hauteur de son standing. Il aura du pain sur la planche Une chose est sûre, Leekens, qui n'y est resté que six mois avec les Verts en 2003, aura du pain sur la planche cette fois-ci. Les membres du bureau fédéral qui ont approuvé à l'unanimité ce choix à l'occasion de l'Assemblée générale de la FAF, tenue jeudi, ont fixé la qualification à la Coupe du monde 2018 comme principal objectif. Le faux-pas concédé le 9 octobre dernier au stade de Blida face au Cameroun (1-1) a mis la sélection nationale dans de sales draps avant le déplacement truffé d'embûches à Uyo, prévu le 12 novembre prochain. Avant la suite des éliminatoires de la Coupe du monde, il y a la phase finale de la Coupe d'Afrique des nations 2017 au Gabon, prévu en janvier et février prochains. Cette fois-ci, l'Algérie mise sur un titre continental. Cet entraîneur n'aura pas beaucoup de temps pour connaître l'ensemble des joueurs puisque le prochain stage ne débutera qu'une semaine avant le rendez- vous nigérian. Entraîner cette sélection algérienne avec son armada de joueurs d'expérience et à vocation offensive, l'ancien défenseur belge est appelé à revoir sa copie pour éviter le scenario vécu au pays de Carthage. Avec sa qualification historique aux huitièmes de finale de la Coupe du monde et la place qu'elle occupe au niveau continental, la sélection algérienne ne doit pas s'arrêter en si bon chemin. Maintenir une certaine dynamique déclenchée il y a plus de cinq années n'est pas une simple sinécure. Et puis, les matchs en Afrique ont leur particularité. Affronter des adversaires comme le Nigeria, Cameroun, Sénégal n'est guère une tâche facile pour les joueurs algériens qui ont l'habitude d'évoluer dans un climat plus frais. Les Verts sont, donc, avertis et le nouvel entraîneur aura comme objectif de faire mieux que ses prédécesseurs.