La Belgique veut élargir sa liste des pays sûrs, en y ajoutant six nouveaux pays : l'Algérie, la Tunisie, le Maroc le Bénin, le Sénégal et la Moldavie. C'est en tout cas ce que prévoit pour l'année prochaine le secrétaire d'Etat à l'asile et la migration, Theo Francken, selon les journaux De Morgen et Het Laatste Nieuws, repris par le site d'information lavenir.net. La Belgique veut élargir sa liste des pays sûrs, en y ajoutant six nouveaux pays : l'Algérie, la Tunisie, le Maroc le Bénin, le Sénégal et la Moldavie. C'est en tout cas ce que prévoit pour l'année prochaine le secrétaire d'Etat à l'asile et la migration, Theo Francken, selon les journaux De Morgen et Het Laatste Nieuws, repris par le site d'information lavenir.net. Le but avoué est de réduire les chances des ressortissants de ces pays d'obtenir l'asile en Belgique, et faciliter leur rapatriement. Pour sa part, le secrétaire d'Etat à la Justice et la Sécurité des Pays-Bas, Klaas Dijkhoff, a décidé de mettre un terme aux versements de primes destinées aux immigrés clandestins algériens et marocains qui accepteraient de quitter volontairement le territoire du plat pays, rapporte l'ANP, l'agence de presse néerlandaise. Le nombre de demandes d'asile politique provenant de ces deux pays du Maghreb a augmenté significativement depuis juillet de l'année en cours, selon la même source. En octobredernier, le nombre de demandeurs d'asile le plus important venait du Maroc, suivi de l'Algérie, deux pays considérés comme sûrs par les autorités néerlandaises. Selon Klaas Dijkhoff, les ressortissants de ces deux pays savent qu'ils ont peu de chances d'obtenir un titre de séjour. Mais ils entament tout de même les procédures pour bénéficier d'avantages et d'hébergement. Le secrétaire d'Etat considère que ces "aides au départ" sont un privilège injustement concédé qui diffuse une fausse image des Pays-Bas comme étant "un grand sac plein d'argent qu'on peut venir prendre à sa guise". Le but avoué est de réduire les chances des ressortissants de ces pays d'obtenir l'asile en Belgique, et faciliter leur rapatriement. Pour sa part, le secrétaire d'Etat à la Justice et la Sécurité des Pays-Bas, Klaas Dijkhoff, a décidé de mettre un terme aux versements de primes destinées aux immigrés clandestins algériens et marocains qui accepteraient de quitter volontairement le territoire du plat pays, rapporte l'ANP, l'agence de presse néerlandaise. Le nombre de demandes d'asile politique provenant de ces deux pays du Maghreb a augmenté significativement depuis juillet de l'année en cours, selon la même source. En octobredernier, le nombre de demandeurs d'asile le plus important venait du Maroc, suivi de l'Algérie, deux pays considérés comme sûrs par les autorités néerlandaises. Selon Klaas Dijkhoff, les ressortissants de ces deux pays savent qu'ils ont peu de chances d'obtenir un titre de séjour. Mais ils entament tout de même les procédures pour bénéficier d'avantages et d'hébergement. Le secrétaire d'Etat considère que ces "aides au départ" sont un privilège injustement concédé qui diffuse une fausse image des Pays-Bas comme étant "un grand sac plein d'argent qu'on peut venir prendre à sa guise".