Les fortes intempéries qui ont affectées tout le nord de l'Algérie et une bonne partie des Haut-Plateaux, sontelles directement responsables de la hausse des prix des légumes proposés à la vente sur les marchés de détail ? Les fortes intempéries qui ont affectées tout le nord de l'Algérie et une bonne partie des Haut-Plateaux, sontelles directement responsables de la hausse des prix des légumes proposés à la vente sur les marchés de détail ? C'est le reportage proposé hier par la chaîne 3 de la Radio algérienne qui a approché des propriétaires d'étals et des citoyens, une nouvelle fois, désemparés. Si l'on en croit certains vendeurs rencontrés par ce dernier, ce serait les fortes pluies qui, en entravant les cueillettes de ces produits ont, du même coup, augmenté les cours des faibles quantités livrées aux marchés de gros. D'autres incriminent les mandataires, qu'ils accusent de renchérir indûment leurs prix. L'auteur du reportage signale que le kilo de pomme de terre, un féculent particulièrement consommé par les ménages, est débité à 75 DA alors que la tomate qui était, il y a deux semaines, vendue à 50 DA pour la même quantité, est cédée, cette fois, à 180 dinars pour une même quantité. Le poivron, lui, est proposé à 160 DA, la courgette à 150 DA et l'oignon à 65 DA. Un acheteur tente de comprendre le pourquoi de ces augmentations effrénées, se demandant s'il existe "des gens" qui font en sorte de réguler le marché, afin de maintenir les prix à un niveau normalisé. "Très cher, très cher" constate une autre personne qui, désabusée, lâche "chaque année c'est comme çà, et ça continue". Une autre, située à proximité, estime que les consommateurs sont pour "quelque chose" dans cette situation, qui, dit-il, donne l'occasion "à ces gens-là" de s'enrichir, reconnaissant que lui-même joue ce jeu ajoutant laconiquement, "on n'a pas le choix". Le dernier mot reviendra à un agriculteur qui accuse les intempéries d'être à l'origine de ces fortes hausses se plaignant, d'autre part, de trouver difficilement des ouvriers chargés de cueillir ses productions de légumes. C'est le reportage proposé hier par la chaîne 3 de la Radio algérienne qui a approché des propriétaires d'étals et des citoyens, une nouvelle fois, désemparés. Si l'on en croit certains vendeurs rencontrés par ce dernier, ce serait les fortes pluies qui, en entravant les cueillettes de ces produits ont, du même coup, augmenté les cours des faibles quantités livrées aux marchés de gros. D'autres incriminent les mandataires, qu'ils accusent de renchérir indûment leurs prix. L'auteur du reportage signale que le kilo de pomme de terre, un féculent particulièrement consommé par les ménages, est débité à 75 DA alors que la tomate qui était, il y a deux semaines, vendue à 50 DA pour la même quantité, est cédée, cette fois, à 180 dinars pour une même quantité. Le poivron, lui, est proposé à 160 DA, la courgette à 150 DA et l'oignon à 65 DA. Un acheteur tente de comprendre le pourquoi de ces augmentations effrénées, se demandant s'il existe "des gens" qui font en sorte de réguler le marché, afin de maintenir les prix à un niveau normalisé. "Très cher, très cher" constate une autre personne qui, désabusée, lâche "chaque année c'est comme çà, et ça continue". Une autre, située à proximité, estime que les consommateurs sont pour "quelque chose" dans cette situation, qui, dit-il, donne l'occasion "à ces gens-là" de s'enrichir, reconnaissant que lui-même joue ce jeu ajoutant laconiquement, "on n'a pas le choix". Le dernier mot reviendra à un agriculteur qui accuse les intempéries d'être à l'origine de ces fortes hausses se plaignant, d'autre part, de trouver difficilement des ouvriers chargés de cueillir ses productions de légumes.