L' Algérie est touchée par la vague de cyberattaques de portée mondiale. Il s'agirait en fait d'une série d'attaques simultanées qui a touché une centaine de pays dans le monde dont l'Algérie Selon le quotidien américain, L' Algérie est touchée par la vague de cyberattaques de portée mondiale. Il s'agirait en fait d'une série d'attaques simultanées qui a touché une centaine de pays dans le monde dont l'Algérie Selon le quotidien américain, The New York Times, qui publie une carte montrant les pays affectés par cette vague cyberattaques, la capitale Alger n'a pas été épargnée. En effet, depuis avant-hier un logiciel verrouille les fichiers des utilisateurs et les force à payer une somme d'argent sous forme de bitcoins pour en recouvrer l'usage : on l'appelle le "rançongiciel". Suite à cela, les autorités américaines et britanniques avaient mis en garde en fin de journée d'hier contre ce logiciel de rançon utilisé, et conseillé de ne pas payer les pirates informatiques. Le logiciel verrouille les fichiers des utilisateurs et les force à payer une somme d'argent sous forme de bitcoins pour en recouvrer l'usage : on l'appelle le « rançongiciel ». La rançon réclamée doit intervenir dans les trois jours, ou le prix double, et si l'argent n'est pas versé dans les sept jours les fichiers piratés seront effacés, est précisé dans le message. Selon les premières investigations, les pirates auraient exploité une faille dans les systèmes Windows, divulguée dans des documents piratés de l'agence de sécurité américaine NSA. Cette vague de cyberattaques a semé la paniqué parmi même des experts en sécurité informatique dans le monde. Et selon la firme de sécurité informatique Avast, "plus de 75.000 attaques" ont été signalées dans "99 pays" jusqu"à avant-hier soir. The New York Times, qui publie une carte montrant les pays affectés par cette vague cyberattaques, la capitale Alger n'a pas été épargnée. En effet, depuis avant-hier un logiciel verrouille les fichiers des utilisateurs et les force à payer une somme d'argent sous forme de bitcoins pour en recouvrer l'usage : on l'appelle le "rançongiciel". Suite à cela, les autorités américaines et britanniques avaient mis en garde en fin de journée d'hier contre ce logiciel de rançon utilisé, et conseillé de ne pas payer les pirates informatiques. Le logiciel verrouille les fichiers des utilisateurs et les force à payer une somme d'argent sous forme de bitcoins pour en recouvrer l'usage : on l'appelle le « rançongiciel ». La rançon réclamée doit intervenir dans les trois jours, ou le prix double, et si l'argent n'est pas versé dans les sept jours les fichiers piratés seront effacés, est précisé dans le message. Selon les premières investigations, les pirates auraient exploité une faille dans les systèmes Windows, divulguée dans des documents piratés de l'agence de sécurité américaine NSA. Cette vague de cyberattaques a semé la paniqué parmi même des experts en sécurité informatique dans le monde. Et selon la firme de sécurité informatique Avast, "plus de 75.000 attaques" ont été signalées dans "99 pays" jusqu"à avant-hier soir.