Selon le Forum officiel des institutions monétaires et financières (OMFIF), la chute des cours du gaz et du pétrole, qui représentent 95 % des exportations en valeur de l'Algérie, ont entraîné une diminution de 90 % des actifs du Fonds de régulation des recettes (FRR) depuis la fin 2014. Selon le Forum officiel des institutions monétaires et financières (OMFIF), la chute des cours du gaz et du pétrole, qui représentent 95 % des exportations en valeur de l'Algérie, ont entraîné une diminution de 90 % des actifs du Fonds de régulation des recettes (FRR) depuis la fin 2014. Ainsi, le Fonds de régulation des recettes algérien a subi la plus forte baisse de réserves des grands investisseurs publics, ses actifs chutant de 85 %, soit de 42,4 milliards de dollars en raison de sa contribution à l'équilibre du budget du pays. L'OMFIF a interrogé des responsables des investissements de 31 institutions publiques dont les actifs totalisent plus de 4.200 milliards de dollars. Selon l'enquête annuelle publiée, hier, les grands investisseurs institutionnels publics – banques centrales, fonds de pension et fonds souverains – prévoient de renforcer leurs investissements dans l'immobilier, les infrastructures et obligations vertes et les ressources renouvelables. Les craintes d'une nouvelle crise au sein de l'Union européenne, le Brexit et les inquiétudes suscitées par la présidence de Donald Trump et par un retour en force du protectionnisme ont aussi été évoqués par les participants à l'enquête. Cette dernière fait aussi ressortir un intérêt croissant des grands investisseurs publics pour l'économie verte, 38 % des participants disant prévoir d'augmenter leurs investissements en obligations vertes et 35 % leur exposition aux ressources renouvelables. L'enquête a été réalisée parallèlement au rapport et au classement annuels de l'OMFIF qui portent sur 750 institutions monétaires et financières publiques. La Banque centrale chinoise reste le premier investisseur institutionnel public avec 3.097 milliards de dollars d'actifs à la fin 2016, en baisse toutefois de 9 %, soit de 307 milliards de dollars. Le nom de la Banque centrale est sorti de la liste des dix premiers investisseurs publics mondiaux, tombant à la 11e place, après un recul de 76,3 milliards de dollars de ses actifs à 539 milliards de dollars. Elle a été remplacée à la 10e place par le Fonds de pension des fonctionnaires fédéraux américains dont le total des actifs atteint près de 558 milliards de dollars. La Banque nationale suisse occupe la 7e position à la faveur d'une hausse de 76 milliards de dollars de ses actifs liée à ses interventions sur le marché des changes destinées à prévenir l'appréciation du franc suisse. Par ailleurs, les grands investisseurs institutionnels publics, principalement les Banques centrales ont augmenté leurs avoirs en or de 377 tonnes en 2016 pour les porter à 31.500 tonnes, au plus haut depuis 1999, selon le Forum officiel des institutions monétaires et financières. La Réserve fédérale américaine continue d'afficher les réserves d'or les plus importantes devant la Bundesbank. Ainsi, le Fonds de régulation des recettes algérien a subi la plus forte baisse de réserves des grands investisseurs publics, ses actifs chutant de 85 %, soit de 42,4 milliards de dollars en raison de sa contribution à l'équilibre du budget du pays. L'OMFIF a interrogé des responsables des investissements de 31 institutions publiques dont les actifs totalisent plus de 4.200 milliards de dollars. Selon l'enquête annuelle publiée, hier, les grands investisseurs institutionnels publics – banques centrales, fonds de pension et fonds souverains – prévoient de renforcer leurs investissements dans l'immobilier, les infrastructures et obligations vertes et les ressources renouvelables. Les craintes d'une nouvelle crise au sein de l'Union européenne, le Brexit et les inquiétudes suscitées par la présidence de Donald Trump et par un retour en force du protectionnisme ont aussi été évoqués par les participants à l'enquête. Cette dernière fait aussi ressortir un intérêt croissant des grands investisseurs publics pour l'économie verte, 38 % des participants disant prévoir d'augmenter leurs investissements en obligations vertes et 35 % leur exposition aux ressources renouvelables. L'enquête a été réalisée parallèlement au rapport et au classement annuels de l'OMFIF qui portent sur 750 institutions monétaires et financières publiques. La Banque centrale chinoise reste le premier investisseur institutionnel public avec 3.097 milliards de dollars d'actifs à la fin 2016, en baisse toutefois de 9 %, soit de 307 milliards de dollars. Le nom de la Banque centrale est sorti de la liste des dix premiers investisseurs publics mondiaux, tombant à la 11e place, après un recul de 76,3 milliards de dollars de ses actifs à 539 milliards de dollars. Elle a été remplacée à la 10e place par le Fonds de pension des fonctionnaires fédéraux américains dont le total des actifs atteint près de 558 milliards de dollars. La Banque nationale suisse occupe la 7e position à la faveur d'une hausse de 76 milliards de dollars de ses actifs liée à ses interventions sur le marché des changes destinées à prévenir l'appréciation du franc suisse. Par ailleurs, les grands investisseurs institutionnels publics, principalement les Banques centrales ont augmenté leurs avoirs en or de 377 tonnes en 2016 pour les porter à 31.500 tonnes, au plus haut depuis 1999, selon le Forum officiel des institutions monétaires et financières. La Réserve fédérale américaine continue d'afficher les réserves d'or les plus importantes devant la Bundesbank.