l'artiste et le théâtre palestiniens a été organisée, mardi, à Mostaganem, en marge de la 50e édition du Festival national du théâtre amateur (FNTA). Le commissaire du festival, Nouari Mohamed, a souligné que cette journée, placée sous le slogan Théâtre palestinien à l'honneur du festival, est une halte de solidarité culturelle avec l'artiste et le théâtre palestiniens qui représentent une arme pour faire connaître la question palestinienne et la justesse de la lutte contre l'occupation israélienne. l'artiste et le théâtre palestiniens a été organisée, mardi, à Mostaganem, en marge de la 50e édition du Festival national du théâtre amateur (FNTA). Le commissaire du festival, Nouari Mohamed, a souligné que cette journée, placée sous le slogan Théâtre palestinien à l'honneur du festival, est une halte de solidarité culturelle avec l'artiste et le théâtre palestiniens qui représentent une arme pour faire connaître la question palestinienne et la justesse de la lutte contre l'occupation israélienne. L'orateur a rappelé que le FNTA est le premier festival arabe qui a consacré une journée en l'honneur de la cause palestinienne et décidé d'honorer les artistes et dramaturges palestiniens. Ces décisions sont inspirées de la position irréversible de l'Algérie et son soutien inconditionnel à la cause palestinienne. Pour sa part, le président de la Ligue culturelle nationale palestinienne et professeur de théâtre, le Dr Nader Al Guenna, s'est félicité de cette action de solidarité, initiée par les organisateurs du FNTA et les festivaliers. Cette journée de solidarité intervient sans protocole et sans cérémonie officielle de signature de conventions ou d'accords. C'est une solidarité sincère, vraie et sans calcul. Elle est l'expression de forts sentiments qu'éprouvent les algériens envers la cause palestinienne. Le président de la Ligue culturelle nationale palestinienne a annoncé la création d'un prix de Palestine de créativité théâtrale au FNTA de Mostaganem, à partir de l'année prochaine 2018 et ce, pour marquer un triste chapitre de l'histoire de la Palestine, celui de la signature, en 1917, du traité de Belfour. L'artiste palestinien s'est forgé une solide expérience dans la résistance face à l'occupant, comme ce fut le cas en Algérie, avec la troupe artistique du FLN, qui a porté haut la voix de l'Algérie combattante, a souligné le Dr. Nader Al Guenna. Un doyen du 4e art palestinien, Adel Tertir (70 ans), qui défend toujours la cause de son peuple par le biais de ses oeuvres, au sein même des territoires occupés a été honoré à cette occasion. Des lectures d'extraits d'oeuvres de poètes palestiniens ont été faites par des étudiants de l'université Abdelhamid Benbadis de Mostaganem. L'orateur a rappelé que le FNTA est le premier festival arabe qui a consacré une journée en l'honneur de la cause palestinienne et décidé d'honorer les artistes et dramaturges palestiniens. Ces décisions sont inspirées de la position irréversible de l'Algérie et son soutien inconditionnel à la cause palestinienne. Pour sa part, le président de la Ligue culturelle nationale palestinienne et professeur de théâtre, le Dr Nader Al Guenna, s'est félicité de cette action de solidarité, initiée par les organisateurs du FNTA et les festivaliers. Cette journée de solidarité intervient sans protocole et sans cérémonie officielle de signature de conventions ou d'accords. C'est une solidarité sincère, vraie et sans calcul. Elle est l'expression de forts sentiments qu'éprouvent les algériens envers la cause palestinienne. Le président de la Ligue culturelle nationale palestinienne a annoncé la création d'un prix de Palestine de créativité théâtrale au FNTA de Mostaganem, à partir de l'année prochaine 2018 et ce, pour marquer un triste chapitre de l'histoire de la Palestine, celui de la signature, en 1917, du traité de Belfour. L'artiste palestinien s'est forgé une solide expérience dans la résistance face à l'occupant, comme ce fut le cas en Algérie, avec la troupe artistique du FLN, qui a porté haut la voix de l'Algérie combattante, a souligné le Dr. Nader Al Guenna. Un doyen du 4e art palestinien, Adel Tertir (70 ans), qui défend toujours la cause de son peuple par le biais de ses oeuvres, au sein même des territoires occupés a été honoré à cette occasion. Des lectures d'extraits d'oeuvres de poètes palestiniens ont été faites par des étudiants de l'université Abdelhamid Benbadis de Mostaganem.