Ouyahia a exprimé les sentiments de respect et de solidarité que le gouvernement nourrit à l'endroit de tous les travailleurs, ajoutant qu'ilcultive aussi de la considération envers toutes les entreprises publiques, privées ou mixtes, qui constituent le levier de la croissance, de la création d'emplois et de la diversification de l'économie nationale. Ouyahia a exprimé les sentiments de respect et de solidarité que le gouvernement nourrit à l'endroit de tous les travailleurs, ajoutant qu'ilcultive aussi de la considération envers toutes les entreprises publiques, privées ou mixtes, qui constituent le levier de la croissance, de la création d'emplois et de la diversification de l'économie nationale. Ahmed Ouyahia a rencontré, jeudi 24 août, les partenaires sociaux. Le premier ministre les a informés "des tensions financières auxquelles fait face le pays", rapporte l'agence officielle. Il a également fait part aux patrons « de la feuille de route qui lui a été tracée par le président de la République, notamment pour mobiliser des financements internes non conventionnels, maintenir le soutien la croissance dans tous les secteurs, y compris l'industrie, les services et l'agriculture, préserver et rationaliser la politique publique de justice sociale et de solidarité nationale ». Le 14 juin, lors de son premier conseil des ministres de l'année, le président Abdelaziz Bouteflika a demandé au gouvernement de « mobiliser les financements internes non conventionnels » pour faire face à la crise économique qui frappe le pays, en raison de la baisse des recettes pétrolières. Tout en critiquant indirectement la méthode de son prédécesseur Tebboune en assurant que « l'Algérie est un Etat de droit qui a les moyens de faire appliquer la loi dans le calme », Ouyahia a tenté de rassurer les patrons. "Le gouvernement ne ménagera aucun effort pour améliorer le cadre de l'investissement et pour cultiver des relations sereines avec les entreprises, dans le cadre de la loi", a déclaré le Premier ministre. Il a exprimé "les sentiments de respect et de solidarité que le gouvernement nourrit àl'endroit de tous les travailleurs", ajoutant qu'il "cultive aussi de la considération envers toutes les entreprises publiques, privées ou mixtes, qui constituent le levier de la croissance, de la création d'emplois et de la diversification de l'économie nationale". Visage fermé, entouré de Sidi Said et d'AliHaddad, le premier ministre AhmedOuyahia s'est présenté, jeudi 24 août, faceà la caméra de l'ENTV, pour adresser unmessage aux Algériens.« La situation est difficile », a-t-il lâché,après une rencontre à huis clos avec lespartenaires sociaux. « Mais, a-t-il tenté de rassurer, le gouvernement maintiendra sapolitique de justice sociale et de solidariténationale ».Pour sa première sortie publique depuis sanomination il y a neuf jours au poste dePremier ministre, Ahmed Ouyahia aadressé aussi des messages aux milieuxd'affaires, durement affectés par le duelentre Ali Haddad et l'ex-premier ministre Abdelmadjid Tebboune. Pour rassurer les patrons, il a salué l'ensemble des entreprises du pays, qu'elles soient publiques, privées ou mixtes issues de partenariats. M. Ouyahia a tenu à assurer que "toutesles entreprises établies en Algérie sont les leviers du développement du pays", ce quitranche avec l'approche de sonprédécesseur, qui voulait que le secteurprivé mette la main à la poche pourfinancer ses projets. Et pour montrer sesbonnes intentions, le Premier ministre a critiqué indirectement la méthodeTebboune."L'Algérie est un Etat de droit qui s'estdoté de tous les instruments juridiquespour combattre toute atteinte à la loi, ens'appuyant sur une justice indépendante. Cependant, cette tâche consiste à oeuvrer àl'application des lois, y compris dans ledomaine économique avec toute l'efficacitévoulue", mais "aussi dans la sérénité et laquiétude et non en semant le trouble et la confusion", a-t-il dit. Aucune allusion à laséparation de la politique et de l'argent, qui était prônée par son prédécesseur. En revanche, Ouyahia hérite de la feuillede route fixée par le président Bouteflika àson prédécesseur, lors du Conseil des ministresdu 14 juin dernier, qui prévoit notamment le recours au financementinterne non conventionnel pour faire face à la crise économique. La réunion de la Tripartite reportée La réunion de la tripartite (gouvernement- UGTA-FCE), qui devait se tenir le 23 septembre prochain, a été reportée.Aucune nouvelle date n'a été fixée pour la tenue de cette réunion entre le gouvernement et les partenaires sociaux. Le report a été décidé jeudi lors de la réunion duPremier ministre Ahmed Ouyahia avec les organisations patronales et l'UGTA. La date de la réunion de la tripartite avait été fixée fin juillet et annoncée à l'issue d'une réunion préparatoire de l'ex-premier ministre, Abdelmadjid Tebboune avec les partenaires sociaux. Son limogeage le 15août avec un duel avec Ali Haddad, et lanomination d'Ahmed Ouyahia au poste depremier ministre, a rendu difficile la tenuede cette réunion à la date fixée.Ahmed Ouyahia devrait présenter le nouveauplan d'action du gouvernement devant le Parlement durant le mois de septembre. « On a tenu une Tripartite en mars dernier à Annaba, et les décisions prisesn'ont pas encore été appliquées, il n'y a pas d'urgence à tenir une autre tripartite, dans un délai aussi court », estime une source patronale. Ahmed Ouyahia a rencontré, jeudi 24 août, les partenaires sociaux. Le premier ministre les a informés "des tensions financières auxquelles fait face le pays", rapporte l'agence officielle. Il a également fait part aux patrons « de la feuille de route qui lui a été tracée par le président de la République, notamment pour mobiliser des financements internes non conventionnels, maintenir le soutien la croissance dans tous les secteurs, y compris l'industrie, les services et l'agriculture, préserver et rationaliser la politique publique de justice sociale et de solidarité nationale ». Le 14 juin, lors de son premier conseil des ministres de l'année, le président Abdelaziz Bouteflika a demandé au gouvernement de « mobiliser les financements internes non conventionnels » pour faire face à la crise économique qui frappe le pays, en raison de la baisse des recettes pétrolières. Tout en critiquant indirectement la méthode de son prédécesseur Tebboune en assurant que « l'Algérie est un Etat de droit qui a les moyens de faire appliquer la loi dans le calme », Ouyahia a tenté de rassurer les patrons. "Le gouvernement ne ménagera aucun effort pour améliorer le cadre de l'investissement et pour cultiver des relations sereines avec les entreprises, dans le cadre de la loi", a déclaré le Premier ministre. Il a exprimé "les sentiments de respect et de solidarité que le gouvernement nourrit àl'endroit de tous les travailleurs", ajoutant qu'il "cultive aussi de la considération envers toutes les entreprises publiques, privées ou mixtes, qui constituent le levier de la croissance, de la création d'emplois et de la diversification de l'économie nationale". Visage fermé, entouré de Sidi Said et d'AliHaddad, le premier ministre AhmedOuyahia s'est présenté, jeudi 24 août, faceà la caméra de l'ENTV, pour adresser unmessage aux Algériens.« La situation est difficile », a-t-il lâché,après une rencontre à huis clos avec lespartenaires sociaux. « Mais, a-t-il tenté de rassurer, le gouvernement maintiendra sapolitique de justice sociale et de solidariténationale ».Pour sa première sortie publique depuis sanomination il y a neuf jours au poste dePremier ministre, Ahmed Ouyahia aadressé aussi des messages aux milieuxd'affaires, durement affectés par le duelentre Ali Haddad et l'ex-premier ministre Abdelmadjid Tebboune. Pour rassurer les patrons, il a salué l'ensemble des entreprises du pays, qu'elles soient publiques, privées ou mixtes issues de partenariats. M. Ouyahia a tenu à assurer que "toutesles entreprises établies en Algérie sont les leviers du développement du pays", ce quitranche avec l'approche de sonprédécesseur, qui voulait que le secteurprivé mette la main à la poche pourfinancer ses projets. Et pour montrer sesbonnes intentions, le Premier ministre a critiqué indirectement la méthodeTebboune."L'Algérie est un Etat de droit qui s'estdoté de tous les instruments juridiquespour combattre toute atteinte à la loi, ens'appuyant sur une justice indépendante. Cependant, cette tâche consiste à oeuvrer àl'application des lois, y compris dans ledomaine économique avec toute l'efficacitévoulue", mais "aussi dans la sérénité et laquiétude et non en semant le trouble et la confusion", a-t-il dit. Aucune allusion à laséparation de la politique et de l'argent, qui était prônée par son prédécesseur. En revanche, Ouyahia hérite de la feuillede route fixée par le président Bouteflika àson prédécesseur, lors du Conseil des ministresdu 14 juin dernier, qui prévoit notamment le recours au financementinterne non conventionnel pour faire face à la crise économique. La réunion de la Tripartite reportée La réunion de la tripartite (gouvernement- UGTA-FCE), qui devait se tenir le 23 septembre prochain, a été reportée.Aucune nouvelle date n'a été fixée pour la tenue de cette réunion entre le gouvernement et les partenaires sociaux. Le report a été décidé jeudi lors de la réunion duPremier ministre Ahmed Ouyahia avec les organisations patronales et l'UGTA. La date de la réunion de la tripartite avait été fixée fin juillet et annoncée à l'issue d'une réunion préparatoire de l'ex-premier ministre, Abdelmadjid Tebboune avec les partenaires sociaux. Son limogeage le 15août avec un duel avec Ali Haddad, et lanomination d'Ahmed Ouyahia au poste depremier ministre, a rendu difficile la tenuede cette réunion à la date fixée.Ahmed Ouyahia devrait présenter le nouveauplan d'action du gouvernement devant le Parlement durant le mois de septembre. « On a tenu une Tripartite en mars dernier à Annaba, et les décisions prisesn'ont pas encore été appliquées, il n'y a pas d'urgence à tenir une autre tripartite, dans un délai aussi court », estime une source patronale.