RACIM NIDAL La rentrée professionnelle 2017- 2018, prévue le 24 de ce mois, sera caractérisée par la mise en oeuvre de la nouvelle organisation du cursus d'enseignement professionnel, pour mieux répondre aux besoins et à la demande, a indiqué dimanche à Alger le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Mohamed Mebarki. Dans une déclaration à la presse en marge de la réunion des directeurs de wilaya de la formation et de l'enseignement professionnels, le ministre a souligné que cette nouvelle organisation s'articule autour du brevet d'enseignement professionnel, en remplacement du diplôme d'enseignement professionnel du premier degré et du diplôme d'enseignement professionnel du deuxième degré, ainsi que le brevet d'enseignement professionnel supérieur (BEPS), sanctionnant le deuxième cycle de l'enseignement professionnel. Le ministre a expliqué qu'après avoir constaté que l'enseignement professionnel "ne répondait pas beaucoup à toutes les attentes escomptées", le gouvernement a décidé alors de la mise en place d'une "nouvelle architecture pour le rendre plus attractif etpour répondre aux besoins et à lademande des élèves admis du cyclemoyen vers le secondaire"." L'alignement de la durée des étudesdu premier cycle d'enseignement(aBEP), à celle fixée dans le cycle , des systèmesénergétiques : option/froid et industrielleainsi que techniques d'électricité, productique mécanique, informatique:option/ réseau et la nouvelle filière technique de vente". Tout enindiquant que son départementprévoit à l'avenir, l'élaboration d'unrépertoire de filières propres à l'enseignementprofessionnel, le minist a souligné que son département s'intéresse,cette année, "un peu plus qued'habitude", à la formation à distance,pour "offrir de nouvelles disponibilitésde formation à ceux qui, pourdiverses raisons, ne peuvent pasaccéder aux établissements, ou suivred'autres modes de formation". Quelque 372.000 nouveaux postes Le secteur de la formation professionnelleoffre, cette année, quelque"372.000 nouveaux postes de formation,dont 277.820 postes pour la formationdestinés à la formation diplômante,et 94.140 postes pour la formationqualifiante", a indiqué le ministre.Concernant les nouvelles formationset spécialités prévues cette année,Mebarki a cité 380 réparties sur 22branches professionnelles sanctionnéespar des diplômes, et sont programméesà travers les différents établissementssur les 442 spécialités queompte la nomenclature des brancheset des spécialités. "Les nouvelles spécialitésconcernent notamment, a-t-ilfait savoir, le BTS développeur d'applicationsmultiplateformes, BTSadministrateur Datacenter et BTSCloud computing et virtualisation".Selon le ministre, "les offres et les spécialitésouvertes doivent répondre auxexigences de l'économie nationale, etfaciliter l'insertion des diplômés dansle monde du travail, suivant descritères bien définis dont les spécificitéslocales, les évolutions techniqueset des métiers et les spécialitésqui facilitent l'accès et l'insertion autravail pour les diplômés de la formationprofessionnelle". Par ailleurs,Mebarki n'a pas manqué de rappelerla politique d'associer l'entreprisedans la conduite de centres d'excellencedans certaines filièresstratégiques. "Un bilan d'étape seraélaboré et évalué au cours de cetteannée, avec nos partenaires, (...).Nous élargirons, nous aussi, cette initiativeà d'autres entreprises etsecteurs importants, comme l'agroalimentaire, la mécanique, l'utilisationde l'énergie solaire...", a-t-il faitsavoir. RACIM NIDAL La rentrée professionnelle 2017- 2018, prévue le 24 de ce mois, sera caractérisée par la mise en oeuvre de la nouvelle organisation du cursus d'enseignement professionnel, pour mieux répondre aux besoins et à la demande, a indiqué dimanche à Alger le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Mohamed Mebarki. Dans une déclaration à la presse en marge de la réunion des directeurs de wilaya de la formation et de l'enseignement professionnels, le ministre a souligné que cette nouvelle organisation s'articule autour du brevet d'enseignement professionnel, en remplacement du diplôme d'enseignement professionnel du premier degré et du diplôme d'enseignement professionnel du deuxième degré, ainsi que le brevet d'enseignement professionnel supérieur (BEPS), sanctionnant le deuxième cycle de l'enseignement professionnel. Le ministre a expliqué qu'après avoir constaté que l'enseignement professionnel "ne répondait pas beaucoup à toutes les attentes escomptées", le gouvernement a décidé alors de la mise en place d'une "nouvelle architecture pour le rendre plus attractif etpour répondre aux besoins et à lademande des élèves admis du cyclemoyen vers le secondaire"." L'alignement de la durée des étudesdu premier cycle d'enseignement(aBEP), à celle fixée dans le cycle , des systèmesénergétiques : option/froid et industrielleainsi que techniques d'électricité, productique mécanique, informatique:option/ réseau et la nouvelle filière technique de vente". Tout enindiquant que son départementprévoit à l'avenir, l'élaboration d'unrépertoire de filières propres à l'enseignementprofessionnel, le minist a souligné que son département s'intéresse,cette année, "un peu plus qued'habitude", à la formation à distance,pour "offrir de nouvelles disponibilitésde formation à ceux qui, pourdiverses raisons, ne peuvent pasaccéder aux établissements, ou suivred'autres modes de formation". Quelque 372.000 nouveaux postes Le secteur de la formation professionnelleoffre, cette année, quelque"372.000 nouveaux postes de formation,dont 277.820 postes pour la formationdestinés à la formation diplômante,et 94.140 postes pour la formationqualifiante", a indiqué le ministre.Concernant les nouvelles formationset spécialités prévues cette année,Mebarki a cité 380 réparties sur 22branches professionnelles sanctionnéespar des diplômes, et sont programméesà travers les différents établissementssur les 442 spécialités queompte la nomenclature des brancheset des spécialités. "Les nouvelles spécialitésconcernent notamment, a-t-ilfait savoir, le BTS développeur d'applicationsmultiplateformes, BTSadministrateur Datacenter et BTSCloud computing et virtualisation".Selon le ministre, "les offres et les spécialitésouvertes doivent répondre auxexigences de l'économie nationale, etfaciliter l'insertion des diplômés dansle monde du travail, suivant descritères bien définis dont les spécificitéslocales, les évolutions techniqueset des métiers et les spécialitésqui facilitent l'accès et l'insertion autravail pour les diplômés de la formationprofessionnelle". Par ailleurs,Mebarki n'a pas manqué de rappelerla politique d'associer l'entreprisedans la conduite de centres d'excellencedans certaines filièresstratégiques. "Un bilan d'étape seraélaboré et évalué au cours de cetteannée, avec nos partenaires, (...).Nous élargirons, nous aussi, cette initiativeà d'autres entreprises etsecteurs importants, comme l'agroalimentaire, la mécanique, l'utilisationde l'énergie solaire...", a-t-il faitsavoir.