Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar, a admis qu'un des problèmes majeurs auquel fait face l'université cette année a trait à la surcharge des amphithéâtres et des classes de cours. Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Tahar Hadjar, a admis qu'un des problèmes majeurs auquel fait face l'université cette année a trait à la surcharge des amphithéâtres et des classes de cours. Avant-hier, dans une déclaration en marge d'une rencontre avec les représentants des syndicats des étudiants, le ministre a déclaré que cette situation est due à plusieurs facteurs. Pour lui, en effet, la rentrée universitaire, a été "émaillée de quelques problèmes" dont celui de la surcharge. Il a estimé que cette situation a découlé d'une forte demande sur des spécialités précises et du fait que la plupart des étudiants préféraient poursuivre leurs études dans l'université la plus proche de leur lieux de résidence, nonobstant le manque de places pédagogiques. "Une série de mesures a été arrêtée", prévoit Hadjar à cet effet, pour qui la prise en charge de cette question se fera en fonction des moyens disponibles, tout en soulignant "la nécessité de renoncer à l'idée de poursuivre systématiquement des études dans les établissements situés dans les wilayas de résidence ou dans les grandes wilayas", a-t-il soutenu. Le ministre a aussi fait savoir que, "concernant la recherche scientifique, la question allait être examinée, laissant entrevoir, à ce chapitre, la possibilité de création de 250 nouveaux laboratoires au cours des cinq annéesà venir". Pour la formation, le ministre a fait état de l'ouverture de 125 nouvelles spécialités durant l'année en cours,ajoutant que la carte de formation professionnelle pourrait être revue.Hadjar a tenu à démentir la réductiondes postes de doctorat, soutenant queson secteur prévoyait annuellement des postes selon la demande exprimée et les moyens offerts. Dans ce sens, Il a ajouté que 5.300postes avaient été ouverts pour le doctoratde troisième cycle auxquels s'ajoutaient3.800 postes en médecinedans le cadre de cette présente rentrée.Enfin, Hadjar annonce la tenueprochaine, probablement début 2018,d'une conférence nationale sur lesoeuvres universitaires, consacrée àl'examen de certaines questions liéesaux oeuvres sociales, notammentl'hébergement, le transport et larestauration, appelant les partenaires ày participer par des propositions et observations. Avant-hier, dans une déclaration en marge d'une rencontre avec les représentants des syndicats des étudiants, le ministre a déclaré que cette situation est due à plusieurs facteurs. Pour lui, en effet, la rentrée universitaire, a été "émaillée de quelques problèmes" dont celui de la surcharge. Il a estimé que cette situation a découlé d'une forte demande sur des spécialités précises et du fait que la plupart des étudiants préféraient poursuivre leurs études dans l'université la plus proche de leur lieux de résidence, nonobstant le manque de places pédagogiques. "Une série de mesures a été arrêtée", prévoit Hadjar à cet effet, pour qui la prise en charge de cette question se fera en fonction des moyens disponibles, tout en soulignant "la nécessité de renoncer à l'idée de poursuivre systématiquement des études dans les établissements situés dans les wilayas de résidence ou dans les grandes wilayas", a-t-il soutenu. Le ministre a aussi fait savoir que, "concernant la recherche scientifique, la question allait être examinée, laissant entrevoir, à ce chapitre, la possibilité de création de 250 nouveaux laboratoires au cours des cinq annéesà venir". Pour la formation, le ministre a fait état de l'ouverture de 125 nouvelles spécialités durant l'année en cours,ajoutant que la carte de formation professionnelle pourrait être revue.Hadjar a tenu à démentir la réductiondes postes de doctorat, soutenant queson secteur prévoyait annuellement des postes selon la demande exprimée et les moyens offerts. Dans ce sens, Il a ajouté que 5.300postes avaient été ouverts pour le doctoratde troisième cycle auxquels s'ajoutaient3.800 postes en médecinedans le cadre de cette présente rentrée.Enfin, Hadjar annonce la tenueprochaine, probablement début 2018,d'une conférence nationale sur lesoeuvres universitaires, consacrée àl'examen de certaines questions liéesaux oeuvres sociales, notammentl'hébergement, le transport et larestauration, appelant les partenaires ày participer par des propositions et observations.