Àla grande joie de ses fans le chanteur Idir sera, bel et bien et comme annoncé, de retour sur la scène nationale. Après 38 ans d'absence il chantera de nouveau en Algerie. Àla grande joie de ses fans le chanteur Idir sera, bel et bien et comme annoncé, de retour sur la scène nationale. Après 38 ans d'absence il chantera de nouveau en Algerie. Ce sera au début du mois de janvier 2018. Idir animera, en effet deux concerts à Alger à la salle la Coupole plus exactement, les 4 et 5 janvier prochain. Mais pas que, puisqu'il effectuera également une tournée en Algérie où il se produira dans de nombreuses villes, à l'exemple de Tizi-Ouzou, Batna, Bouira, Constantine, Annaba et Tlemcen. Les dates de cette tournée, qui sera organisée à l'initiative de l'Office national des droits d'auteur (Onda), n'ont pas, pour le moment, été fixées. "Idir est un grand monsieur. C'est l'un des plus grands auteurs qui est très modeste. Il n'a rien exigé pour revenir chanter dans son pays, si ce n'est l'amour grandissant qu'il porte pour son pays", a dit Sami Bencheikh Al Hocine, directeur général de l'Onda, lors de la conférence de presse tenue hier. Pour marquer le retour de la star, un coffret de CD retraçant la carrière de l'artiste sera dévoilé le jour du concert. Côté technique, "nous avons sollicité une boite spécialisée pour assurer un spectacle de qualité. Tout est fin prêt pour assurer le bon déroulement de cet événement. Ces deux spectacles qui sont organisés en présence de plusieurs artistes nationaux et étrangers constituent un hommage, un retour et des retrouvailles de l'artiste avec ses fans", affirme Sami Bencheikh Al Hocine. Amorçant cette rencontre, Idir répond àune question relative à son absence de lascène artistique nationale. "Pourquoi pas !", ironise-t-il avant de reprendre :"Notre métier est ainsi fait, d'une colline à l'autre. Ensuite, il y a les péripéties de l'histoire de notre pays, qui font que l'on traverse des zones de turbulence où il était difficile de venir pousser la chansonnette", dira Idir . Pour lui, le moment est venu de faire le"come back" : "Tout d'abord, il y a l'âge, jes ens que les années filent beaucoup plusvite qu'avant. Ça serait dramatique pourquelqu'un comme moi de ne pas venirchanter ne serait-ce que venir saluer pourla dernière fois le public qui m'a donnétant, et j'espère avoir apporté quelquechose. Il y a autant de constantes qui sont làet autant de variables qui entrent en ligne de compte, mais, en aucun moment je n'ai émis le non-désir de ne pas chanter dansmon pays. J'ai toujours aimé ce pays, sibien qu'après 40 ans d'immigration, je suis resté algérien. C'est ce qui est très important",expique-t-il. Ce sera au début du mois de janvier 2018. Idir animera, en effet deux concerts à Alger à la salle la Coupole plus exactement, les 4 et 5 janvier prochain. Mais pas que, puisqu'il effectuera également une tournée en Algérie où il se produira dans de nombreuses villes, à l'exemple de Tizi-Ouzou, Batna, Bouira, Constantine, Annaba et Tlemcen. Les dates de cette tournée, qui sera organisée à l'initiative de l'Office national des droits d'auteur (Onda), n'ont pas, pour le moment, été fixées. "Idir est un grand monsieur. C'est l'un des plus grands auteurs qui est très modeste. Il n'a rien exigé pour revenir chanter dans son pays, si ce n'est l'amour grandissant qu'il porte pour son pays", a dit Sami Bencheikh Al Hocine, directeur général de l'Onda, lors de la conférence de presse tenue hier. Pour marquer le retour de la star, un coffret de CD retraçant la carrière de l'artiste sera dévoilé le jour du concert. Côté technique, "nous avons sollicité une boite spécialisée pour assurer un spectacle de qualité. Tout est fin prêt pour assurer le bon déroulement de cet événement. Ces deux spectacles qui sont organisés en présence de plusieurs artistes nationaux et étrangers constituent un hommage, un retour et des retrouvailles de l'artiste avec ses fans", affirme Sami Bencheikh Al Hocine. Amorçant cette rencontre, Idir répond àune question relative à son absence de lascène artistique nationale. "Pourquoi pas !", ironise-t-il avant de reprendre :"Notre métier est ainsi fait, d'une colline à l'autre. Ensuite, il y a les péripéties de l'histoire de notre pays, qui font que l'on traverse des zones de turbulence où il était difficile de venir pousser la chansonnette", dira Idir . Pour lui, le moment est venu de faire le"come back" : "Tout d'abord, il y a l'âge, jes ens que les années filent beaucoup plusvite qu'avant. Ça serait dramatique pourquelqu'un comme moi de ne pas venirchanter ne serait-ce que venir saluer pourla dernière fois le public qui m'a donnétant, et j'espère avoir apporté quelquechose. Il y a autant de constantes qui sont làet autant de variables qui entrent en ligne de compte, mais, en aucun moment je n'ai émis le non-désir de ne pas chanter dansmon pays. J'ai toujours aimé ce pays, sibien qu'après 40 ans d'immigration, je suis resté algérien. C'est ce qui est très important",expique-t-il.