Après plusieurs jours de vive tension entre l'Algérie et l'Union européenne (UE) ilsemble que les relations entreles deux parties sont revenues à la normale. Après plusieurs jours de vive tension entre l'Algérie et l'Union européenne (UE) ilsemble que les relations entreles deux parties sont revenues à la normale. Un dénouement intervenu jeudi suite à la position du Parlement européen dans laquelle il a explicitement exprimé ses "regrets" suite à la diffusion d'une vidéo attentatoire aux symboles de l'Etat algérien, enregistrée dans les espaces de l'UE et grâce à des moyens mis par celle-ci à la disposition des médias. C'est l'ambassade d'Algérie à Bruxelles, qui en a fait l'annonce avanthier jeudi par le biais d'un communiqué. En effet c'est lechef de cabinet du président du Parlement européen, Diego Canga Fano, qui "a exprimé à l ambassadeurn d'Algérie, Amar Belani, ses regrets suite à cet incident", a indiqué l'ambassade dans son communiqué. M. Fano a affirmé à l'ambassadeur d ' A l g é r i e qu'"une enquête interne" a été menée par ses services pour connaître les circonstances dans lesquelles cette vidéo a été tournée, a ajouté la même source. "Les éléments de l'enquête ont fait ressortir que Mme Haddad Lefèvre a délibérément enfreint les règles internes de l'institution et a abusé de la confiance des opérateurs du plateaude télévision du Parlement européen en dissimulant ses intentions malveillantes", a-t-on souligné. Ainsi donc la journaliste à l'origine de cette vidéo attentatoire à l'Algérie a été incriminée et même sanctionnée suite à son acte qui a provoqué une crise entre Alger et Bruxelles. Selon l'ambassade d'Algérie à Bruxelles, la direction générale de la Communication au Parlement européen a adressé, suite à l'enquête, "une lettre d'avertissement" à Mme Haddad- Lefèvre. La direction générale de la Communication au Parlement européen adécidé également le 6 juin, et à titre conservatoire, de suspendre l'accès de Mme Haddad-Lefèvre aux studios d'enregistrement de l'institution européenne, "jusqu' a ce qu'elle rende compte de ses agissements irresponsables devant unecommission appelée à statuer sur son accréditation", a-t-on encore affirmé. L'ambassadeur d'Algérie à Bruxelles a "pris acte" de ces explications ainsi que des mesures adoptées en vue de "mettre un terme à cette manoeuvre malveillante". C'est sur instruction du ministère des Affaires étrangères, que l'ambassadeur d'Algérie à Bruxelles, Amar Belani, a effectué "une démarche pressante" auprès de M. Diego Canga Fano, afin de demander des explications et clarifications sur l'utilisation frauduleuse par la correspondante de la chaîne satellitaire Al-Hiwar TV des installations du Parlement pour l'enregistrement d'une vidéo attentatoire à l'honneur et à la dignité des symboles et des institutions algériennes. L'Algérie aréagi vivement à la diffusion de cettevidéo dans laquelle cette journaliste demande au président Bouteflika de ne pas briguer un 5e mandat. Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères (MAE) a, dans un communiqué, vivement dénoncé cette attitude. En outre l'ambassadeur de l'UE à Alger a aussi été convoqué au MAE " où il lui a été signifié l'indignation et la réprobation des autorités algériennes suite à l'utilisation des espaces et des moyens de l'UE à des fins de propagande et l'instrumentalisation de ses symboles pour attenter aux institutions de l'Etat algérien". Mais le représentant de l'UE a, par le biais d'un tweet, rajouté à la colère d'Alger . "Nous avons souligné aux autorités algériennes que les journalistes accrédités auprès des institutions européennes ne parlent pas au nom des institutions maisen leur propre nom, en ligne avec les principes de liberté d'expression et liberté des médias", a t-il précisé dans ce tweet ce qui n'a pas été du goût des autorités algériennes qui ont alors, de nouveau, réagi Un dénouement intervenu jeudi suite à la position du Parlement européen dans laquelle il a explicitement exprimé ses "regrets" suite à la diffusion d'une vidéo attentatoire aux symboles de l'Etat algérien, enregistrée dans les espaces de l'UE et grâce à des moyens mis par celle-ci à la disposition des médias. C'est l'ambassade d'Algérie à Bruxelles, qui en a fait l'annonce avanthier jeudi par le biais d'un communiqué. En effet c'est lechef de cabinet du président du Parlement européen, Diego Canga Fano, qui "a exprimé à l ambassadeurn d'Algérie, Amar Belani, ses regrets suite à cet incident", a indiqué l'ambassade dans son communiqué. M. Fano a affirmé à l'ambassadeur d ' A l g é r i e qu'"une enquête interne" a été menée par ses services pour connaître les circonstances dans lesquelles cette vidéo a été tournée, a ajouté la même source. "Les éléments de l'enquête ont fait ressortir que Mme Haddad Lefèvre a délibérément enfreint les règles internes de l'institution et a abusé de la confiance des opérateurs du plateaude télévision du Parlement européen en dissimulant ses intentions malveillantes", a-t-on souligné. Ainsi donc la journaliste à l'origine de cette vidéo attentatoire à l'Algérie a été incriminée et même sanctionnée suite à son acte qui a provoqué une crise entre Alger et Bruxelles. Selon l'ambassade d'Algérie à Bruxelles, la direction générale de la Communication au Parlement européen a adressé, suite à l'enquête, "une lettre d'avertissement" à Mme Haddad- Lefèvre. La direction générale de la Communication au Parlement européen adécidé également le 6 juin, et à titre conservatoire, de suspendre l'accès de Mme Haddad-Lefèvre aux studios d'enregistrement de l'institution européenne, "jusqu' a ce qu'elle rende compte de ses agissements irresponsables devant unecommission appelée à statuer sur son accréditation", a-t-on encore affirmé. L'ambassadeur d'Algérie à Bruxelles a "pris acte" de ces explications ainsi que des mesures adoptées en vue de "mettre un terme à cette manoeuvre malveillante". C'est sur instruction du ministère des Affaires étrangères, que l'ambassadeur d'Algérie à Bruxelles, Amar Belani, a effectué "une démarche pressante" auprès de M. Diego Canga Fano, afin de demander des explications et clarifications sur l'utilisation frauduleuse par la correspondante de la chaîne satellitaire Al-Hiwar TV des installations du Parlement pour l'enregistrement d'une vidéo attentatoire à l'honneur et à la dignité des symboles et des institutions algériennes. L'Algérie aréagi vivement à la diffusion de cettevidéo dans laquelle cette journaliste demande au président Bouteflika de ne pas briguer un 5e mandat. Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères (MAE) a, dans un communiqué, vivement dénoncé cette attitude. En outre l'ambassadeur de l'UE à Alger a aussi été convoqué au MAE " où il lui a été signifié l'indignation et la réprobation des autorités algériennes suite à l'utilisation des espaces et des moyens de l'UE à des fins de propagande et l'instrumentalisation de ses symboles pour attenter aux institutions de l'Etat algérien". Mais le représentant de l'UE a, par le biais d'un tweet, rajouté à la colère d'Alger . "Nous avons souligné aux autorités algériennes que les journalistes accrédités auprès des institutions européennes ne parlent pas au nom des institutions maisen leur propre nom, en ligne avec les principes de liberté d'expression et liberté des médias", a t-il précisé dans ce tweet ce qui n'a pas été du goût des autorités algériennes qui ont alors, de nouveau, réagi