Le travail des enfants en Algérie est "marginal et reste insignifiant", a affirmé hier àAlger, le directeur desrelations professionnelles etdu contrôle des conditions dutravail à l'Inspection générale du travail, Yataghène Mourad. Le travail des enfants en Algérie est "marginal et reste insignifiant", a affirmé hier àAlger, le directeur desrelations professionnelles etdu contrôle des conditions dutravail à l'Inspection générale du travail, Yataghène Mourad. ContenuLes "enquêtes menées par les services de l'Inspection du travail pour contrôler sur le terrain le respect des lois, avaient démontré que le travail des enfants en Algérie était marginal et reste insignifiant", a souligné le même responsable dans une déclaration à l'APS, à la veille dela Journée mondiale contre le travail desenfants, célébrée le 12 juin de chaque année. M.Yataghène a précisé que "l'enquête effectuée en mars2018 par les services de l'Inspection du travail dans le secteur privé, toutes branches d'activités confondues, a démontré que sur 9.748 organismes employeurs contrôlés ayant un effectifglobal de 81.068 travailleurs, seulement 4 enfants de moins de 16 ans ont été enregistrés, soit un taux de 0.004 %".Il a fait remarquer que le faible taux du recours au travail des enfants se confirme d'année en année, passant de 0.09 % en 2015 à 0.01 en 2016, précisant que la question du travail des enfants "n'atteint pas de proportions importantes et se trouve surtout circonscrit à certaines activités centrées autour de petites entreprises du secteur privé". Le même responsable a estimé que le phénomène du travail des enfants en Algérie "n'est pas inquiétant", du fait du système de l'Education nationale qui est à la fois généralisé, gratuit et obligatoire jusqu'à l'âge de 16 ans et que la protection de l'enfance est prise en charge par de multiples secteurs. M. Yataghène a indiqué que le souci des pouvoirs publics vis à vis de la problématique du travail des enfants est "beaucoup plus préventif en raison de l'extrême faiblesse du phénomène", soulignant que la sensibilisation, l'information et le contrôle restent toutefois de mise. Dans un même contexte, le même responsable a rappelé le rôle de la Commission nationale de prévention et de lutte contre le travail des enfants, créée en 2003.Composée de plusieurs secteurs, elle est chargée de la mise en oeuvre d'un programme riche de sensibilisation sur les dangers du travail des enfants outre la proposition de mesures avec l'implication de tous les acteurs sociaux et le mouvement associatif. Par ailleurs, le représentant de l'Inspection du travail a rappelé que "l'Algérie est signataire de 5 conventions internationales en rapport avec le travail des enfants, notamment, celle relatives au travail denuit des enfants, à l'âge minimum et aux pires formes de travail des enfants", affirmant que la "législation algérienne a prévu des dispositions fermes concernant l'âge minimal requis pour être admis à exercer un emploi". ContenuLes "enquêtes menées par les services de l'Inspection du travail pour contrôler sur le terrain le respect des lois, avaient démontré que le travail des enfants en Algérie était marginal et reste insignifiant", a souligné le même responsable dans une déclaration à l'APS, à la veille dela Journée mondiale contre le travail desenfants, célébrée le 12 juin de chaque année. M.Yataghène a précisé que "l'enquête effectuée en mars2018 par les services de l'Inspection du travail dans le secteur privé, toutes branches d'activités confondues, a démontré que sur 9.748 organismes employeurs contrôlés ayant un effectifglobal de 81.068 travailleurs, seulement 4 enfants de moins de 16 ans ont été enregistrés, soit un taux de 0.004 %".Il a fait remarquer que le faible taux du recours au travail des enfants se confirme d'année en année, passant de 0.09 % en 2015 à 0.01 en 2016, précisant que la question du travail des enfants "n'atteint pas de proportions importantes et se trouve surtout circonscrit à certaines activités centrées autour de petites entreprises du secteur privé". Le même responsable a estimé que le phénomène du travail des enfants en Algérie "n'est pas inquiétant", du fait du système de l'Education nationale qui est à la fois généralisé, gratuit et obligatoire jusqu'à l'âge de 16 ans et que la protection de l'enfance est prise en charge par de multiples secteurs. M. Yataghène a indiqué que le souci des pouvoirs publics vis à vis de la problématique du travail des enfants est "beaucoup plus préventif en raison de l'extrême faiblesse du phénomène", soulignant que la sensibilisation, l'information et le contrôle restent toutefois de mise. Dans un même contexte, le même responsable a rappelé le rôle de la Commission nationale de prévention et de lutte contre le travail des enfants, créée en 2003.Composée de plusieurs secteurs, elle est chargée de la mise en oeuvre d'un programme riche de sensibilisation sur les dangers du travail des enfants outre la proposition de mesures avec l'implication de tous les acteurs sociaux et le mouvement associatif. Par ailleurs, le représentant de l'Inspection du travail a rappelé que "l'Algérie est signataire de 5 conventions internationales en rapport avec le travail des enfants, notamment, celle relatives au travail denuit des enfants, à l'âge minimum et aux pires formes de travail des enfants", affirmant que la "législation algérienne a prévu des dispositions fermes concernant l'âge minimal requis pour être admis à exercer un emploi".