Quelques jours seulement après la tenue d'un congrès extraordinaire du FFS, qui a vu l'élection d'une nouvelle instance présidentielle(IP) de 5 membres dont luimêmefait partie, Ali Laskri, le désormaisnouvel homme fort du parti, s'est présentédevant la presse en homme rassembleurcomme pour rassurer le camp rival,emmené par les Baloul, qui a laissé desplumes lors de ce conclave en perdant lecontrôle de l'appareil. Quelques jours seulement après la tenue d'un congrès extraordinaire du FFS, qui a vu l'élection d'une nouvelle instance présidentielle(IP) de 5 membres dont luimêmefait partie, Ali Laskri, le désormaisnouvel homme fort du parti, s'est présentédevant la presse en homme rassembleurcomme pour rassurer le camp rival,emmené par les Baloul, qui a laissé desplumes lors de ce conclave en perdant lecontrôle de l'appareil. "Nous sommes sortisvainqueurs de ce congrès, unis et plusforts face aux actions de déstabilisation,voire de division initiées, voire encouragéesde l'extérieur visant à porter préjudiceà l'image du parti", dira Laskri lors de laconférence de presse organisée au siègenational du parti au cours de laquelle ilétait entouré de trois autres membres del'IP, à savoir Brahim Meziani, HayatTaiati et Sofiane Chioukh, mais en l'absencede Mohand-Amokrane Cherifi, le cinquiéme membre de cette instance de direction collégiale qui se trouve, selon lesexplications fournies, "en mission àl'étranger". Et comme pour rassurer encoresur le fait que le parti est resté soudé malgrécette dernière épreuve du congrès extraordinairedu 20 avril ou deux groupes sesont affrontés par la voie de l'urne, AliLaskri s'est aussi clairement engagé enmartelant : "Nous sommes déterminées à organiser un 6e congrès national rassembleur".Un congrès qui aura normalement lieu l'année prochaine mais qui pourrait être reporté si les conditions ne s'y prêtent pas. "La date du prochain congrès sera fixée lorsque toutes les conditions de sa tenue seront réunies", dira le conférencier. Il a aussi tenu à récuser que la tenue du congrès n'aura aucun rapport avec l'élection présidentielle de 2019 car cette dernière échéance "ne figure pas dans l'agenda de notre parti". Mais il est incontestable que le point nodal de cette sortie médiatique reste l'affirmation de Laskri selon laquelle "le parti sera restitué à ses militants". Une affirmation qui laisse clairement penser qu'il ne l'était pas jusque-là. Ce d'autant que d'aucuns considéraient que le FFS était l'otage de ce qui est appelé "cabinet noir". Interrogé sur sa déclaration Laskri a précisé que "Ça ne veut pas dire que ce n'était pas le cas, mais dans le cadre de notre fonctionnement démocratique on doit s'améliorer". Dans la déclaration préliminaire, Laskri, qui a éludé une question sur le "cabinet noir", a aussi laissé penser q e le fonctionnement n'était pas entièrement démocratique, d'où son engagement à restituer le parti à ses militants par, notamment, la consécration de la voie de l'urne à tous les échelons de la responsabil i t é . "Notre élection constitue un tournant historique dans notre parti car résultant d'une compétition transparente et démocratique entre militants, que nous considéronscomme exemplaire. Cette pratique politique marquera désormais systématiquement les élections internes ou externes au parti, avec un choix démocratique des candidatures.Nous veillerons à restituer le parti à ses militants dans toutes les structures et dans son mode de fonctionnement. Pour corriger les dysfonctionnements, nous procéderons chaque fois en cas de besoin à un assainissement démocratique comme préconisé par notre feu président Hocine Aït Ahmed" dira-t-il. Par ailleurs interrogé sur le retour des anciens cadre et si les portes du parti leursont ouvertes, il a souligné que ce sera lecas pour "ceux qui n'ont pas fait de mal au parti". Mais il a vite précisé que "le FFS n'est pas une auberge espagnole" pour dire que le parti ne va pas récupérer dans ses rangs tous ceux qui l'ont quitté pour une raison ou pour une autre. Notons que le conférencier est resté évasif sur le sort de l'actuel premier secrétaire, Hadj Djilani, et si oui ou non il sera reconduit dans ses fonctions. "La décision revient aux instances du parti" a-t-il répondu à ce propos. "Nous sommes sortisvainqueurs de ce congrès, unis et plusforts face aux actions de déstabilisation,voire de division initiées, voire encouragéesde l'extérieur visant à porter préjudiceà l'image du parti", dira Laskri lors de laconférence de presse organisée au siègenational du parti au cours de laquelle ilétait entouré de trois autres membres del'IP, à savoir Brahim Meziani, HayatTaiati et Sofiane Chioukh, mais en l'absencede Mohand-Amokrane Cherifi, le cinquiéme membre de cette instance de direction collégiale qui se trouve, selon lesexplications fournies, "en mission àl'étranger". Et comme pour rassurer encoresur le fait que le parti est resté soudé malgrécette dernière épreuve du congrès extraordinairedu 20 avril ou deux groupes sesont affrontés par la voie de l'urne, AliLaskri s'est aussi clairement engagé enmartelant : "Nous sommes déterminées à organiser un 6e congrès national rassembleur".Un congrès qui aura normalement lieu l'année prochaine mais qui pourrait être reporté si les conditions ne s'y prêtent pas. "La date du prochain congrès sera fixée lorsque toutes les conditions de sa tenue seront réunies", dira le conférencier. Il a aussi tenu à récuser que la tenue du congrès n'aura aucun rapport avec l'élection présidentielle de 2019 car cette dernière échéance "ne figure pas dans l'agenda de notre parti". Mais il est incontestable que le point nodal de cette sortie médiatique reste l'affirmation de Laskri selon laquelle "le parti sera restitué à ses militants". Une affirmation qui laisse clairement penser qu'il ne l'était pas jusque-là. Ce d'autant que d'aucuns considéraient que le FFS était l'otage de ce qui est appelé "cabinet noir". Interrogé sur sa déclaration Laskri a précisé que "Ça ne veut pas dire que ce n'était pas le cas, mais dans le cadre de notre fonctionnement démocratique on doit s'améliorer". Dans la déclaration préliminaire, Laskri, qui a éludé une question sur le "cabinet noir", a aussi laissé penser q e le fonctionnement n'était pas entièrement démocratique, d'où son engagement à restituer le parti à ses militants par, notamment, la consécration de la voie de l'urne à tous les échelons de la responsabil i t é . "Notre élection constitue un tournant historique dans notre parti car résultant d'une compétition transparente et démocratique entre militants, que nous considéronscomme exemplaire. Cette pratique politique marquera désormais systématiquement les élections internes ou externes au parti, avec un choix démocratique des candidatures.Nous veillerons à restituer le parti à ses militants dans toutes les structures et dans son mode de fonctionnement. Pour corriger les dysfonctionnements, nous procéderons chaque fois en cas de besoin à un assainissement démocratique comme préconisé par notre feu président Hocine Aït Ahmed" dira-t-il. Par ailleurs interrogé sur le retour des anciens cadre et si les portes du parti leursont ouvertes, il a souligné que ce sera lecas pour "ceux qui n'ont pas fait de mal au parti". Mais il a vite précisé que "le FFS n'est pas une auberge espagnole" pour dire que le parti ne va pas récupérer dans ses rangs tous ceux qui l'ont quitté pour une raison ou pour une autre. Notons que le conférencier est resté évasif sur le sort de l'actuel premier secrétaire, Hadj Djilani, et si oui ou non il sera reconduit dans ses fonctions. "La décision revient aux instances du parti" a-t-il répondu à ce propos.