libération d'Idlib, dernier fief syrien encoreaux mains des terroristes, le vice-ministre russe des Affaires étrangères SergueïVerchinine a affirmé que tout serait fait afin d'éviter les souffrances descivils. libération d'Idlib, dernier fief syrien encoreaux mains des terroristes, le vice-ministre russe des Affaires étrangères SergueïVerchinine a affirmé que tout serait fait afin d'éviter les souffrances descivils. En cas d'offensive dans la province syrienned'Idlib, il devrait s'agir d'opérations de précisionet non de manoeuvres d'envergure, adéclaré à Sputnik le vice-ministre russe desAffaires étrangères Sergueï Verchinine."Nous comptons éviter les souffrances civilesprovoquées par des hostilités d'envergure", at-il indiqué. Prié de préciser s'il sous-entendaitl'éventualité de frappes de précision, le responsablerusse a répondu par l'affirmative. Legouvernorat d'Idlib se trouve entre les mainsdes terroristes du Front al-Nosra depuis 2015.Les membres des groupes radicaux qui avaientrefusé de se rendre aux forces gouvernementalessyriennes lors des opérations antiterroristes à Alep, à Homs et dans la Ghouta orientaleont été évacués par des couloirs humanitairesaux termes des accords sur la réconciliation. Vladimir Poutine et Recep TayyipErdoğan se sont précédemment entendus à Sotchi afin de mettre en place une zone démilitariséelarge de 15 à 20 km le long de la lignede contact entre les forces gouvernementaleset les groupes d'opposition armés dans le gouvernorat d'Idlib d'ici au 15 octobreprochain.Les ministres de la Défense des deux pays ontsigné de leur côté un mémorandum sur la stabilisationde la situation dans la zone de désescaladed'Idlib. Téhéran a de son côté constatéque l'accord entre la Russie et la Turquie sur la Syrie avait aidé à prévenir une guerre à Idlib. En cas d'offensive dans la province syrienned'Idlib, il devrait s'agir d'opérations de précisionet non de manoeuvres d'envergure, adéclaré à Sputnik le vice-ministre russe desAffaires étrangères Sergueï Verchinine."Nous comptons éviter les souffrances civilesprovoquées par des hostilités d'envergure", at-il indiqué. Prié de préciser s'il sous-entendaitl'éventualité de frappes de précision, le responsablerusse a répondu par l'affirmative. Legouvernorat d'Idlib se trouve entre les mainsdes terroristes du Front al-Nosra depuis 2015.Les membres des groupes radicaux qui avaientrefusé de se rendre aux forces gouvernementalessyriennes lors des opérations antiterroristes à Alep, à Homs et dans la Ghouta orientaleont été évacués par des couloirs humanitairesaux termes des accords sur la réconciliation. Vladimir Poutine et Recep TayyipErdoğan se sont précédemment entendus à Sotchi afin de mettre en place une zone démilitariséelarge de 15 à 20 km le long de la lignede contact entre les forces gouvernementaleset les groupes d'opposition armés dans le gouvernorat d'Idlib d'ici au 15 octobreprochain.Les ministres de la Défense des deux pays ontsigné de leur côté un mémorandum sur la stabilisationde la situation dans la zone de désescaladed'Idlib. Téhéran a de son côté constatéque l'accord entre la Russie et la Turquie sur la Syrie avait aidé à prévenir une guerre à Idlib.