Si ces pluies sont salutaires pour enrayer un peu lemanque de ressources en eau, elles n'ont pas fait la joie de nombreux citoyens victimes d'infrastructures défaillantes, face aux intempéries. Si ces pluies sont salutaires pour enrayer un peu lemanque de ressources en eau, elles n'ont pas fait la joie de nombreux citoyens victimes d'infrastructures défaillantes, face aux intempéries. En effet, plusieurs régions du Nord du pays sont submergées ces derniersjours, par des pluies torrentielleset qui se poursuivent toujours,n'ont pas été sans conséquences. Lesdégâts causés par les intempéries sontnombreux, notamment des inondations,des éboulements, les routes bloquéeset des infiltrations d'eau dans desmaisons, provoquées par les effondrements partiels de toits dans certainesrégions du pays. Même si les élémentsde la Protection civile sont au four etau moulin, les citoyens pointent dudoigt l'irresponsabilité des pouvoirspublics, notamment les autoritéslocales. En effet, la Protection civile aeffectué des dizaines d'interventions unpeu partout à travers le pays, notammentpour l'ouverture des routes, lepompage des eaux infiltrées dans leshabitations suite à la forte pluviométrieet à la crue des oueds. La wilaya deMédéa est isolée du reste du monde,selon la Protection civile. La crued'Oued Harbine a carrément coupé laroute nationale numéro 18 reliantMédéa à la wilaya d'Ain Defla. Surplace, les éléments de la Protectioncivile étaient volontaires afin de dégagerla route et dévier la crue de la rivièrepour rétablir la circulation automobile.Toujours à Médéa, plusieurs quartiersdu chef-lieu de la wilaya sont privésd'électricité, depuis la matinée de vendredi.Les vents forts qui soufflent surla ville et les autres wilayas du Nordont arraché un poteau électrique, provoquantune panne qui a entrainé une coupure d'électricité dans plusieurs quartiers de la ville de Médéa. A Alger, les agents de la Protection civile ont dégagé les eaux pluviales infiltrées dans quatre habitations à la Casbah, Alger centre, Birkhadem et Kouba. A Bab El Oued, le toit d'une maison s'est partiellement effondré sans faire de victimes, ajoute-t-on de même source. A Blida, Oued Azza a débordé de son cours à Ouled Aich, ce qui a causé des inondations à plusieurs habitationsconstruites aux abords de cet Oued. Le débordement d'Oued Azza a également provoqué des inondations au centre ville de la wilaya de Blida. A Relizane, 10 habitations ont été submergées par les eaux de pluie, en raison de la forte pluviométrie, en sus de l'effondrement du mur d'une habitation précaire dans la commune de Had Echkalla, ajoute-t-on. Des infiltrations d'eau de pluie ont affecté également plusieurs habitations dans les communes de Cherchell, Hadjout, Ahmer el Aïn (W.Tipasa), et un poteau d'électricité est tombé sur une maison dans la commune de Khemisti. Par ailleurs, 20 personnes incommodées au monoxyde de carbone ont été évacuées par les éléments de la Protection civile d'Alger, Tizi-Ouzou, Bouira, Batna, Saïda, Blida, Sétif, Oran et El Bayadh, selon la même source. Sans enregistrer de pertes humaines, il s'agit d'un bilan provisoire dans la mesure où les intempéries se poursuivrontet la neige est annoncée pour ce vendredi soir, sur les hauteurs dépassant les 1.000 mètres d'altitude au Nord du pays. En effet, plusieurs régions du Nord du pays sont submergées ces derniersjours, par des pluies torrentielleset qui se poursuivent toujours,n'ont pas été sans conséquences. Lesdégâts causés par les intempéries sontnombreux, notamment des inondations,des éboulements, les routes bloquéeset des infiltrations d'eau dans desmaisons, provoquées par les effondrements partiels de toits dans certainesrégions du pays. Même si les élémentsde la Protection civile sont au four etau moulin, les citoyens pointent dudoigt l'irresponsabilité des pouvoirspublics, notamment les autoritéslocales. En effet, la Protection civile aeffectué des dizaines d'interventions unpeu partout à travers le pays, notammentpour l'ouverture des routes, lepompage des eaux infiltrées dans leshabitations suite à la forte pluviométrieet à la crue des oueds. La wilaya deMédéa est isolée du reste du monde,selon la Protection civile. La crued'Oued Harbine a carrément coupé laroute nationale numéro 18 reliantMédéa à la wilaya d'Ain Defla. Surplace, les éléments de la Protectioncivile étaient volontaires afin de dégagerla route et dévier la crue de la rivièrepour rétablir la circulation automobile.Toujours à Médéa, plusieurs quartiersdu chef-lieu de la wilaya sont privésd'électricité, depuis la matinée de vendredi.Les vents forts qui soufflent surla ville et les autres wilayas du Nordont arraché un poteau électrique, provoquantune panne qui a entrainé une coupure d'électricité dans plusieurs quartiers de la ville de Médéa. A Alger, les agents de la Protection civile ont dégagé les eaux pluviales infiltrées dans quatre habitations à la Casbah, Alger centre, Birkhadem et Kouba. A Bab El Oued, le toit d'une maison s'est partiellement effondré sans faire de victimes, ajoute-t-on de même source. A Blida, Oued Azza a débordé de son cours à Ouled Aich, ce qui a causé des inondations à plusieurs habitationsconstruites aux abords de cet Oued. Le débordement d'Oued Azza a également provoqué des inondations au centre ville de la wilaya de Blida. A Relizane, 10 habitations ont été submergées par les eaux de pluie, en raison de la forte pluviométrie, en sus de l'effondrement du mur d'une habitation précaire dans la commune de Had Echkalla, ajoute-t-on. Des infiltrations d'eau de pluie ont affecté également plusieurs habitations dans les communes de Cherchell, Hadjout, Ahmer el Aïn (W.Tipasa), et un poteau d'électricité est tombé sur une maison dans la commune de Khemisti. Par ailleurs, 20 personnes incommodées au monoxyde de carbone ont été évacuées par les éléments de la Protection civile d'Alger, Tizi-Ouzou, Bouira, Batna, Saïda, Blida, Sétif, Oran et El Bayadh, selon la même source. Sans enregistrer de pertes humaines, il s'agit d'un bilan provisoire dans la mesure où les intempéries se poursuivrontet la neige est annoncée pour ce vendredi soir, sur les hauteurs dépassant les 1.000 mètres d'altitude au Nord du pays.