Amnesty international a déploré hier, l'absence d'un cadre juridique en Algérie, pourprotéger les droits des milliers demigrants, réfugiés et demandeurs d'asileoriginaires d'Afrique subsaharienne, Amnesty international a déploré hier, l'absence d'un cadre juridique en Algérie, pourprotéger les droits des milliers demigrants, réfugiés et demandeurs d'asileoriginaires d'Afrique subsaharienne, qui setrouvent dans le pays."Malgré le nombre considérable demigrants, de demandeurs d'asile et de réfugiéssubsahariens présents en Algérie,notre pays ne dispose toujours pas d'uncadre juridique clair, définissant le statutdes travailleurs migrants, ni d'une loi surl'asile, plus de cinquante ans après avoirratifié la Convention de 1951 sur les réfugiés",a déclaré Hassina Oussedik, directriced'Amnesty International Algérie, citédans un communiqué publié par l'ONG. Amnesty international Algérie a lancé cette semaine, une campagne appelant les autorités algériennes, à mettre fin aux expulsions sommaires vers le Niger et le Mali, et à adopter une loi sur l'asile. Pas moins de 12.913 ressortissants nigériens et 649 personnes originaires de pays tiers, ont été expulsées vers le Niger, dans le cadre de convois organisés par les autorités, rappelle l'ONG. Au moins 11.238 migrants originaires d'Afrique centrale ou occidental et 386 Nigériens, ont été abandonnés à la frontière et contraints de passer au Niger et au moins 3.000 migrants originaires d'Afrique centrale ou occidentale, ont été abandonnés à la frontière et contraints de passer au Mali, selon elle. "Ces expulsions massives, c'est-à-dire réalisées en dehors de toute procédure légitime et sans prise en considération des circonstancespropres à chaque individu, sont contraires aussi bien à la Loi algérienne n° 08-11 du 25 ju n 2008, qu'aux engagements internationaux pris par l'Algérie (…)", écrit l'ONG. qui setrouvent dans le pays."Malgré le nombre considérable demigrants, de demandeurs d'asile et de réfugiéssubsahariens présents en Algérie,notre pays ne dispose toujours pas d'uncadre juridique clair, définissant le statutdes travailleurs migrants, ni d'une loi surl'asile, plus de cinquante ans après avoirratifié la Convention de 1951 sur les réfugiés",a déclaré Hassina Oussedik, directriced'Amnesty International Algérie, citédans un communiqué publié par l'ONG. Amnesty international Algérie a lancé cette semaine, une campagne appelant les autorités algériennes, à mettre fin aux expulsions sommaires vers le Niger et le Mali, et à adopter une loi sur l'asile. Pas moins de 12.913 ressortissants nigériens et 649 personnes originaires de pays tiers, ont été expulsées vers le Niger, dans le cadre de convois organisés par les autorités, rappelle l'ONG. Au moins 11.238 migrants originaires d'Afrique centrale ou occidental et 386 Nigériens, ont été abandonnés à la frontière et contraints de passer au Niger et au moins 3.000 migrants originaires d'Afrique centrale ou occidentale, ont été abandonnés à la frontière et contraints de passer au Mali, selon elle. "Ces expulsions massives, c'est-à-dire réalisées en dehors de toute procédure légitime et sans prise en considération des circonstancespropres à chaque individu, sont contraires aussi bien à la Loi algérienne n° 08-11 du 25 ju n 2008, qu'aux engagements internationaux pris par l'Algérie (…)", écrit l'ONG.