Le tribunal criminel près lacour de Skikda a prononcé, hierdimanche, des verdicts allant del'acquittement à 7 ans de prisonferme, en plus de l'exclusiondes marchés publics pour unedurée de 5 ans, à l'encontred'entreprises étrangères Le tribunal criminel près lacour de Skikda a prononcé, hierdimanche, des verdicts allant del'acquittement à 7 ans de prisonferme, en plus de l'exclusiondes marchés publics pour unedurée de 5 ans, à l'encontred'entreprises étrangères etnationales, impliquées dansl'affaire de dilapidation dedeniers publics de la société demaintenance industrielle(Somik) de Skikda.Les 32 mis en cause, dont deuxanciens P-dg de Somik (filialede Sonatrach), ont été accusésde "dilapidation de denierspublics, abus de fonction, établissementde faux documentsentravant l'enquête au sujet demalversations, attributiond'avantages indus en matière demarchés publics, faux et usagede faux, et exploitation du pouvoird'agents publics pourl'augmentation des prix".Selon l'arrêt de renvoi, l'affairea été déclenchée suite à uneplainte contre x déposée parl'administration de Somik,après la constatation de changementdans les contrats passésavec d'autres opérateurs, dans le cadre du projet de réhabilitation et de rénovation du complexeGNL engagé après del'explosion de 2004, et dont le marché a été attribué à la société d'ingénierie américaine KBR, pour 2,4 milliards Da.L'enquête préliminaire avait été menée en deux phases, par la brigade économique de laSûreté de wilaya, puis par la brigade d'investigation de laGendarmerie nationale et arévélé des dépassements dans la passation de marchés, selon l'arrêt de renvoi. Dans son réquisitoire, le représentant du droit public a qualifié l'affaire de "scandale financier grave" ayant causé des dommages majeurs à l'économie nationale, au regard de l'ampleur du projet, lequelau lieu d'être hautement bénéfique pour Somik, lui a étépréjudiciable. Il a également relevé, que les marchés ont été passés avec des opérateurs nouvellement installés, sans aucune compétence.Il a égalementsouligné, que certainsaccusés ont dissimulé au cours de l'enquête, des documents dont des ordres de mission, estimant que "la mauvaise gestionà Somik a servi l'intérêt d'un petit groupe et nuit à tout un pays". Le parquet avaitrequis 10 ans de prison et 1million DA d'amende, contre les 32 mis en cause, dont deux anciens P-dg de Somik, N. K.et N. A., le chef de département de production K. B., le directeur du département technique et commercial A. K., ainsi que des chefs de services et cadres administratifs et financiers etnationales, impliquées dansl'affaire de dilapidation dedeniers publics de la société demaintenance industrielle(Somik) de Skikda.Les 32 mis en cause, dont deuxanciens P-dg de Somik (filialede Sonatrach), ont été accusésde "dilapidation de denierspublics, abus de fonction, établissementde faux documentsentravant l'enquête au sujet demalversations, attributiond'avantages indus en matière demarchés publics, faux et usagede faux, et exploitation du pouvoird'agents publics pourl'augmentation des prix".Selon l'arrêt de renvoi, l'affairea été déclenchée suite à uneplainte contre x déposée parl'administration de Somik,après la constatation de changementdans les contrats passésavec d'autres opérateurs, dans le cadre du projet de réhabilitation et de rénovation du complexeGNL engagé après del'explosion de 2004, et dont le marché a été attribué à la société d'ingénierie américaine KBR, pour 2,4 milliards Da.L'enquête préliminaire avait été menée en deux phases, par la brigade économique de laSûreté de wilaya, puis par la brigade d'investigation de laGendarmerie nationale et arévélé des dépassements dans la passation de marchés, selon l'arrêt de renvoi. Dans son réquisitoire, le représentant du droit public a qualifié l'affaire de "scandale financier grave" ayant causé des dommages majeurs à l'économie nationale, au regard de l'ampleur du projet, lequelau lieu d'être hautement bénéfique pour Somik, lui a étépréjudiciable. Il a également relevé, que les marchés ont été passés avec des opérateurs nouvellement installés, sans aucune compétence.Il a égalementsouligné, que certainsaccusés ont dissimulé au cours de l'enquête, des documents dont des ordres de mission, estimant que "la mauvaise gestionà Somik a servi l'intérêt d'un petit groupe et nuit à tout un pays". Le parquet avaitrequis 10 ans de prison et 1million DA d'amende, contre les 32 mis en cause, dont deux anciens P-dg de Somik, N. K.et N. A., le chef de département de production K. B., le directeur du département technique et commercial A. K., ainsi que des chefs de services et cadres administratifs et financiers