Les marches populaires se sont poursuivies à Alger etdans d'autres wilayas dupays, pour le 12e vendrediconsécutif avec les mêmesmots d'ordre réclamant lechangement radical et ledépart de "tous les symbolesdu système". Les marches populaires se sont poursuivies à Alger etdans d'autres wilayas dupays, pour le 12e vendrediconsécutif avec les mêmesmots d'ordre réclamant lechangement radical et ledépart de "tous les symbolesdu système". Les marches d'hier ont coïncidé avec le premier vendredi du mois deRamadhan, soit au 5e jour du mois sacré, caractérisé par un temps chaud avec des températures estivales, ce qui n'a pas dissuadé les Algériens de sortir, pour poursuivreleur mouvement de protestation quia débuté le 22 février dernier. A Alger et àl'instar des précédents vendredis, la mobilisationdes citoyens n'a pas trop faibli, lespremiers groupes des manifestants ayantcommencé à affluer vers l'esplanade de laGrande poste et de la Place MauriceAudin,dès la matinée, avant d'être rejoints pard'autres en début d'après-midi.Les manifestants ont battu le pavé poursillonner les différentes artères de la capitale, dans un climat serein et en présence d'un dispositif sécuritaire renforcé pour lacirconstance. Drapés de l'Emblème national et brandissantdes banderoles, les citoyens ontréclamé le départ de tous les symboles dusystème politique, le jugement de tousceux qui sont impliqués dans des affairesde corruption, tout en exprimant leur attachementà l'unité nationale et réaffirmant,que "la souveraineté appartient exclusivementau peuple".Ils ont également signifié leur refus de l'organisation de l'élection présidentielle du 4 juillet prochain, réitérant en même temps leur revendication quant au départ des trois B, en référence notamment au chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, au Premier ministre Noureddine Bedoui et au président de l'Assemblée populaire nationale, Moad Bouchareb. Notons qu'à l'instar des autres vendredis, le tunnel des facultés a été fermé par les forces de l'ordre. Dans les autres villes du pays, les Algériens ont aussi manifesté, confirmantainsi leur inébranlable détermination à imposer le changement, en refusantnotamment la feuille de route qui leur est proposée et qui conduit, inéluctablement, vers l'élection présidentielle du 4 juillet.Une échéance électorale qui est refusée. Les marches de ce vendredi interviennent après le placement dimanche dernier en détention provisoire, de Athmane Tartag, Mohamed Mediene et Saïd Bouteflika,pour "atteinte à l'autorité de l'Armée" et "complot contre l'autorité de l'Etat", surdécision du juge d'instruction militaireprès le tribunal militaire de Blida. Dans le cadre de la même enquête, LouisaHanoune, la secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), a été également placéehier jeudi en "détention provisoire" par le tribunal militaire de Blida, dans une prisoncivile de cette wilaya Les marches d'hier ont coïncidé avec le premier vendredi du mois deRamadhan, soit au 5e jour du mois sacré, caractérisé par un temps chaud avec des températures estivales, ce qui n'a pas dissuadé les Algériens de sortir, pour poursuivreleur mouvement de protestation quia débuté le 22 février dernier. A Alger et àl'instar des précédents vendredis, la mobilisationdes citoyens n'a pas trop faibli, lespremiers groupes des manifestants ayantcommencé à affluer vers l'esplanade de laGrande poste et de la Place MauriceAudin,dès la matinée, avant d'être rejoints pard'autres en début d'après-midi.Les manifestants ont battu le pavé poursillonner les différentes artères de la capitale, dans un climat serein et en présence d'un dispositif sécuritaire renforcé pour lacirconstance. Drapés de l'Emblème national et brandissantdes banderoles, les citoyens ontréclamé le départ de tous les symboles dusystème politique, le jugement de tousceux qui sont impliqués dans des affairesde corruption, tout en exprimant leur attachementà l'unité nationale et réaffirmant,que "la souveraineté appartient exclusivementau peuple".Ils ont également signifié leur refus de l'organisation de l'élection présidentielle du 4 juillet prochain, réitérant en même temps leur revendication quant au départ des trois B, en référence notamment au chef de l'Etat, Abdelkader Bensalah, au Premier ministre Noureddine Bedoui et au président de l'Assemblée populaire nationale, Moad Bouchareb. Notons qu'à l'instar des autres vendredis, le tunnel des facultés a été fermé par les forces de l'ordre. Dans les autres villes du pays, les Algériens ont aussi manifesté, confirmantainsi leur inébranlable détermination à imposer le changement, en refusantnotamment la feuille de route qui leur est proposée et qui conduit, inéluctablement, vers l'élection présidentielle du 4 juillet.Une échéance électorale qui est refusée. Les marches de ce vendredi interviennent après le placement dimanche dernier en détention provisoire, de Athmane Tartag, Mohamed Mediene et Saïd Bouteflika,pour "atteinte à l'autorité de l'Armée" et "complot contre l'autorité de l'Etat", surdécision du juge d'instruction militaireprès le tribunal militaire de Blida. Dans le cadre de la même enquête, LouisaHanoune, la secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), a été également placéehier jeudi en "détention provisoire" par le tribunal militaire de Blida, dans une prisoncivile de cette wilaya