Des centaines de travailleursont organisé, mercredi, un sitinde protestation à la place dela Grande Poste àAlger en soutienaux revendications du "Hirak" Des centaines de travailleursont organisé, mercredi, un sitinde protestation à la place dela Grande Poste àAlger en soutienaux revendications du "Hirak" populaire appelant auchangement du système et audépart de tous ses symboles.En réponse à l'appel de 13 syndicatsautonomes relevant de laConfédération des syndicatsalgériens (CSA) à des marchesimposantes à l'occasion de la Journée internationale du travail,les manifestants se sontrassemblés à la place de laGrande Poste pour "faire entendrela voix des travailleurs, réitérerleur détermination à opérerle changement global et àconcrétiser la volonté du peuplesouverain".La CSA avait indiqué que cerassemblement se veut uneconfirmation de "son attachementà l'option de poursuivrele mouvement de protestation populaire pacifique et ses revendications pour instaurer un nouvel Etat algérien". Les participants à ce rassemblement ont scandé plusieurs slogans appelant au départ de tous les symboles du systèmeen place et à la nécessité de répondre aux revendications du peuple exprimées lors des marches organisées chaquevendredi, depuis le 22 février dernier. Par ailleurs la marche qui devait s'ébranler de la place du 2- Mai vers la Grande Poste a été empêché par un important cordon de sécurité., En effet cette marche qui a démarré dans un climat bon enfant a rencontré un premierobstacle avec un cordon policier. Le tête à tête a duré plusieurs minutes avant que le cordon policier ne cède devant la poussée des manifestants. A l'entrée de la rue Hassiba- Ben-Bouali, au niveau de l'hôpital Mustapha, la police a déployé un nombre impressionnant decamions pour bloquer le chemin. On scande les mots de "silmiya, khawa" comme pour conjurer une confrontation que la tension, soudain plus palpable,annonçait. Le cordon policier est plus fourni et résiste à la poussée des manifestants. Les policiers lâchent des lacrymogènes, en spray, en abondance. Les manifestants reculent, sortent la panoplie des mouchoirset du vinaigre et tentent de reprendre l'assaut. En vain. populaire appelant auchangement du système et audépart de tous ses symboles.En réponse à l'appel de 13 syndicatsautonomes relevant de laConfédération des syndicatsalgériens (CSA) à des marchesimposantes à l'occasion de la Journée internationale du travail,les manifestants se sontrassemblés à la place de laGrande Poste pour "faire entendrela voix des travailleurs, réitérerleur détermination à opérerle changement global et àconcrétiser la volonté du peuplesouverain".La CSA avait indiqué que cerassemblement se veut uneconfirmation de "son attachementà l'option de poursuivrele mouvement de protestation populaire pacifique et ses revendications pour instaurer un nouvel Etat algérien". Les participants à ce rassemblement ont scandé plusieurs slogans appelant au départ de tous les symboles du systèmeen place et à la nécessité de répondre aux revendications du peuple exprimées lors des marches organisées chaquevendredi, depuis le 22 février dernier. Par ailleurs la marche qui devait s'ébranler de la place du 2- Mai vers la Grande Poste a été empêché par un important cordon de sécurité., En effet cette marche qui a démarré dans un climat bon enfant a rencontré un premierobstacle avec un cordon policier. Le tête à tête a duré plusieurs minutes avant que le cordon policier ne cède devant la poussée des manifestants. A l'entrée de la rue Hassiba- Ben-Bouali, au niveau de l'hôpital Mustapha, la police a déployé un nombre impressionnant decamions pour bloquer le chemin. On scande les mots de "silmiya, khawa" comme pour conjurer une confrontation que la tension, soudain plus palpable,annonçait. Le cordon policier est plus fourni et résiste à la poussée des manifestants. Les policiers lâchent des lacrymogènes, en spray, en abondance. Les manifestants reculent, sortent la panoplie des mouchoirset du vinaigre et tentent de reprendre l'assaut. En vain.